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Urban Gold in India
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Beaux-arts
Le golf est souvent considéré comme un sport de riches (ce qu’il est généralement), mais sa forme moderne et élitiste est issue d’un simple jeu rural. L’équipement essentiel consiste en un bâton courbé et des balles, et presque tout endroit peut servir de terrain de golf. Ainsi, des gens de tous les milieux peuvent y jouer.
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Garrido's Boxing Gym
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Presque trois milles ponts et viaducs marquent le paysage de Sao Paulo (Brésil), une ville de vingt millions d’habitants.
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Lucha Libre
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
La lucha libre, la version mexicaine de la lutte libre, a probablement pour seul rival le football, en terme de popularité auprès des Mexicains et son impact culturel est peut-être même plus important. Le sport comporte les contradictions au cœur de l’identité nationale : le jeu entre tradition et modernité, rituel et parodie obscène, machisme et expériences trans-genres étant donné que les lutteurs masculins souvent mélangent les codes vestimentaires et présentent des rôles féminins. Déguiser son identité est une part de la culture professionnelle des luchadores (lutteurs pratiquant la lucha libre) et l’utilisation de masques et de surnoms est la plus caractéristique image de la lucha libre. A la différence de la lutte aux Etats-Unis, le sport au Mexique est plus orienté vers des mouvements aériens et d’envols que sur la force pure, même s’il peut-être très sanglant dans certains cas extrêmes.
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Garrido's Boxing Gym - 04/05
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Presque trois milles ponts et viaducs marquent le paysage de Sao Paulo (Brésil), une ville de vingt millions d’habitants. L’un d’entre eux, localisé dans un district municipal de la section est, est devenu le site de la Garrido Boxing Academy, fondée par un ancien boxeur professionnel, Nelson Garrido qui s’ait donné pour mission de sortir les jeunes de la drogue et du crime à travers le sport et l’éducation (une bibliothèque fournie avec des livres donnés venant de partout occupe une partie de chaque gymnase). Le charismatique « O Louco do Viadutos », le fou des viaducs, a gagné en sympathie et en respect aussi bien auprès des locaux que des autorités municipales qui le soutiennent dans son idée d’apporter le sport aux populations pauvres et marginalisées en établissant des gymnases publics. Les gens qui fréquentent l’Academy sont vraiment très différents. Ils sont travailleurs réguliers et chômeurs, écoliers (et écolières) aussi bien que des jeunes sans abris pour qui c’est le seul endroit où ils sont protégés des dangers de la rue et peuvent même avoir leur seul repas chaud de la journée, préparé par Mrs. Garrido. A l’entrée, il y a une sorte d’arc de triomphe (un cadeau d’un groupe de jeunes designers de Hollande qui ont visité l’endroit il y a quelques années) avec une devise que l’on pourrait traduire par « Entres en tant que gamin, sors en tant que personne fière ».
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Garrido's Boxing Gym - 03/05
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Presque trois milles ponts et viaducs marquent le paysage de Sao Paulo (Brésil), une ville de vingt millions d’habitants. L’un d’entre eux, localisé dans un district municipal de la section est, est devenu le site de la Garrido Boxing Academy, fondée par un ancien boxeur professionnel, Nelson Garrido qui s’ait donné pour mission de sortir les jeunes de la drogue et du crime à travers le sport et l’éducation (une bibliothèque fournie avec des livres donnés venant de partout occupe une partie de chaque gymnase). Le charismatique « O Louco do Viadutos », le fou des viaducs, a gagné en sympathie et en respect aussi bien auprès des locaux que des autorités municipales qui le soutiennent dans son idée d’apporter le sport aux populations pauvres et marginalisées en établissant des gymnases publics. Les gens qui fréquentent l’Academy sont vraiment très différents. Ils sont travailleurs réguliers et chômeurs, écoliers (et écolières) aussi bien que des jeunes sans abris pour qui c’est le seul endroit où ils sont protégés des dangers de la rue et peuvent même avoir leur seul repas chaud de la journée, préparé par Mrs. Garrido. A l’entrée, il y a une sorte d’arc de triomphe (un cadeau d’un groupe de jeunes designers de Hollande qui ont visité l’endroit il y a quelques années) avec une devise que l’on pourrait traduire par « Entres en tant que gamin, sors en tant que personne fière ».
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Garrido's Boxing Gym - 02/05
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Presque trois milles ponts et viaducs marquent le paysage de Sao Paulo (Brésil), une ville de vingt millions d’habitants. L’un d’entre eux, localisé dans un district municipal de la section est, est devenu le site de la Garrido Boxing Academy, fondée par un ancien boxeur professionnel, Nelson Garrido qui s’ait donné pour mission de sortir les jeunes de la drogue et du crime à travers le sport et l’éducation (une bibliothèque fournie avec des livres donnés venant de partout occupe une partie de chaque gymnase). Le charismatique « O Louco do Viadutos », le fou des viaducs, a gagné en sympathie et en respect aussi bien auprès des locaux que des autorités municipales qui le soutiennent dans son idée d’apporter le sport aux populations pauvres et marginalisées en établissant des gymnases publics. Les gens qui fréquentent l’Academy sont vraiment très différents. Ils sont travailleurs réguliers et chômeurs, écoliers (et écolières) aussi bien que des jeunes sans abris pour qui c’est le seul endroit où ils sont protégés des dangers de la rue et peuvent même avoir leur seul repas chaud de la journée, préparé par Mrs. Garrido. A l’entrée, il y a une sorte d’arc de triomphe (un cadeau d’un groupe de jeunes designers de Hollande qui ont visité l’endroit il y a quelques années) avec une devise que l’on pourrait traduire par « Entres en tant que gamin, sors en tant que personne fière ».
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Garrido's Boxing Gym - 01/05
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Presque trois milles ponts et viaducs marquent le paysage de Sao Paulo (Brésil), une ville de vingt millions d’habitants. L’un d’entre eux, localisé dans un district municipal de la section est, est devenu le site de la Garrido Boxing Academy, fondée par un ancien boxeur professionnel, Nelson Garrido qui s’ait donné pour mission de sortir les jeunes de la drogue et du crime à travers le sport et l’éducation (une bibliothèque fournie avec des livres donnés venant de partout occupe une partie de chaque gymnase). Le charismatique « O Louco do Viadutos », le fou des viaducs, a gagné en sympathie et en respect aussi bien auprès des locaux que des autorités municipales qui le soutiennent dans son idée d’apporter le sport aux populations pauvres et marginalisées en établissant des gymnases publics. Les gens qui fréquentent l’Academy sont vraiment très différents. Ils sont travailleurs réguliers et chômeurs, écoliers (et écolières) aussi bien que des jeunes sans abris pour qui c’est le seul endroit où ils sont protégés des dangers de la rue et peuvent même avoir leur seul repas chaud de la journée, préparé par Mrs. Garrido. A l’entrée, il y a une sorte d’arc de triomphe (un cadeau d’un groupe de jeunes designers de Hollande qui ont visité l’endroit il y a quelques années) avec une devise que l’on pourrait traduire par « Entres en tant que gamin, sors en tant que personne fière ».
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Kalaripayatt - 4
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Le kalaripayatt est considéré comme le plus ancien des arts martiaux connus. Selon la légendei, son premier maître était le divin Parashurama, sixième avatar de Vishnou et le fondateur du royaume du Kerala dans le sud de l’Inde. Les historiens de leur côté sont d’accord pour dire qu’au début de notre ère, de nombreux temples possédaient des salles d’entraînement appelées kalari où la jeunesse aristocratique, pratiquait les arts martiaux à mains nues et à l’arme blanche. C’était dans ces lieux que devait pratiquer le jeune prince Bodhipatra avant de devenir, en tant que moine bouddhiste et sous le nom de Bodhidharma, le réformateur du temple Shaolin en Chine. Il y a introduit la méditation et le kung-fu. Pendant des siècles, les maîtres du kalaripayatt ont étudié les secrets du corps humain. Ils utilisent leur savoir pour guérir de nombreux troubles et contusions à l’aide de massages, et peuvent également, grâce à leur connaissance des points vitaux, tuer un adversaire sur le coup. Les compétences médicales sont extrêmement utiles car même la version sportive du kalaripayatt peut être très dangereuse, surtout lorsqu’on utilise de vraies armes comme des dagues ou des bâtons incurvés. Mais le plus surprenant c’est l’incroyable souplesse des pratiquants. Chaque duel est un spectacle d’une magnifique chorégraphie, ponctué de sauts synchronisés à la perfection qui semblent nier la loi de la pesanteur. Rien d’étonnant que les centres modernes de kalari forment aussi bien des escrimeurs que des artistes Kathakali – un théâtre frénétique de danse. Ces deux disciplines sont imprégnées directement des arts martiaux et de la vie de ses héros légendaires.
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Kalaripayatt - 3
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Le kalaripayatt est considéré comme le plus ancien des arts martiaux connus. Selon la légendei, son premier maître était le divin Parashurama, sixième avatar de Vishnou et le fondateur du royaume du Kerala dans le sud de l’Inde. Les historiens de leur côté sont d’accord pour dire qu’au début de notre ère, de nombreux temples possédaient des salles d’entraînement appelées kalari où la jeunesse aristocratique, pratiquait les arts martiaux à mains nues et à l’arme blanche. C’était dans ces lieux que devait pratiquer le jeune prince Bodhipatra avant de devenir, en tant que moine bouddhiste et sous le nom de Bodhidharma, le réformateur du temple Shaolin en Chine. Il y a introduit la méditation et le kung-fu. Pendant des siècles, les maîtres du kalaripayatt ont étudié les secrets du corps humain. Ils utilisent leur savoir pour guérir de nombreux troubles et contusions à l’aide de massages, et peuvent également, grâce à leur connaissance des points vitaux, tuer un adversaire sur le coup. Les compétences médicales sont extrêmement utiles car même la version sportive du kalaripayatt peut être très dangereuse, surtout lorsqu’on utilise de vraies armes comme des dagues ou des bâtons incurvés. Mais le plus surprenant c’est l’incroyable souplesse des pratiquants. Chaque duel est un spectacle d’une magnifique chorégraphie, ponctué de sauts synchronisés à la perfection qui semblent nier la loi de la pesanteur. Rien d’étonnant que les centres modernes de kalari forment aussi bien des escrimeurs que des artistes Kathakali – un théâtre frénétique de danse. Ces deux disciplines sont imprégnées directement des arts martiaux et de la vie de ses héros légendaires.
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Kalaripayatt - 2
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Le kalaripayatt est considéré comme le plus ancien des arts martiaux connus. Selon la légendei, son premier maître était le divin Parashurama, sixième avatar de Vishnou et le fondateur du royaume du Kerala dans le sud de l’Inde. Les historiens de leur côté sont d’accord pour dire qu’au début de notre ère, de nombreux temples possédaient des salles d’entraînement appelées kalari où la jeunesse aristocratique, pratiquait les arts martiaux à mains nues et à l’arme blanche. C’était dans ces lieux que devait pratiquer le jeune prince Bodhipatra avant de devenir, en tant que moine bouddhiste et sous le nom de Bodhidharma, le réformateur du temple Shaolin en Chine. Il y a introduit la méditation et le kung-fu. Pendant des siècles, les maîtres du kalaripayatt ont étudié les secrets du corps humain. Ils utilisent leur savoir pour guérir de nombreux troubles et contusions à l’aide de massages, et peuvent également, grâce à leur connaissance des points vitaux, tuer un adversaire sur le coup. Les compétences médicales sont extrêmement utiles car même la version sportive du kalaripayatt peut être très dangereuse, surtout lorsqu’on utilise de vraies armes comme des dagues ou des bâtons incurvés. Mais le plus surprenant c’est l’incroyable souplesse des pratiquants. Chaque duel est un spectacle d’une magnifique chorégraphie, ponctué de sauts synchronisés à la perfection qui semblent nier la loi de la pesanteur. Rien d’étonnant que les centres modernes de kalari forment aussi bien des escrimeurs que des artistes Kathakali – un théâtre frénétique de danse. Ces deux disciplines sont imprégnées directement des arts martiaux et de la vie de ses héros légendaires.
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Kalaripayatt - 1
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Le kalaripayatt est considéré comme le plus ancien des arts martiaux connus. Selon la légendei, son premier maître était le divin Parashurama, sixième avatar de Vishnou et le fondateur du royaume du Kerala dans le sud de l’Inde. Les historiens de leur côté sont d’accord pour dire qu’au début de notre ère, de nombreux temples possédaient des salles d’entraînement appelées kalari où la jeunesse aristocratique, pratiquait les arts martiaux à mains nues et à l’arme blanche. C’était dans ces lieux que devait pratiquer le jeune prince Bodhipatra avant de devenir, en tant que moine bouddhiste et sous le nom de Bodhidharma, le réformateur du temple Shaolin en Chine. Il y a introduit la méditation et le kung-fu. Pendant des siècles, les maîtres du kalaripayatt ont étudié les secrets du corps humain. Ils utilisent leur savoir pour guérir de nombreux troubles et contusions à l’aide de massages, et peuvent également, grâce à leur connaissance des points vitaux, tuer un adversaire sur le coup. Les compétences médicales sont extrêmement utiles car même la version sportive du kalaripayatt peut être très dangereuse, surtout lorsqu’on utilise de vraies armes comme des dagues ou des bâtons incurvés. Mais le plus surprenant c’est l’incroyable souplesse des pratiquants. Chaque duel est un spectacle d’une magnifique chorégraphie, ponctué de sauts synchronisés à la perfection qui semblent nier la loi de la pesanteur. Rien d’étonnant que les centres modernes de kalari forment aussi bien des escrimeurs que des artistes Kathakali – un théâtre frénétique de danse. Ces deux disciplines sont imprégnées directement des arts martiaux et de la vie de ses héros légendaires.
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Nada Kusti
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Dans presque toutes les cultures connues, de nombreuses formes de lutte rituelles ont été développées pour élire le chef de tribu. En Inde, l’une d’entre elles est le nada kusti, qui signifie tout simplement en langue kannada des habitants de l’état du Karnataka, «style local de lutte». Mysore, l’ancienne capitale de l’état, est le centre principal de ce sport. Les maharadjahs y ont parrainé les grandes compétitions organisées chaque année à l’occasion du festival religieux de Dasara. Autrefois, ce n’étaient que des tournois de cour où des gardes se battaient pour le divertissement de la famille royale mais avec le temps, ils sont devenus des jeux populaires organisés en dehors du palais, dans une arène couverte d’argile rouge et les gardes ont été remplacés par des lutteurs professionnels. Ils s’entraînent dans des clubs appelés garadis, équipés d’outils et d’instruments caractéristiques du Nada Kusti : des poids en pierre, des haltères en bois et des massues de tailles différentes. Le garadi n’est pas uniquement une salle d’entraînement, mais aussi une communauté unie par l’autorité d’un gourou et des cérémonies spéciales. La chute de la féodalité et la modernisation continue de l’Inde furent une catastrophe pour le Nada Kusti. L’intérêt du public, surtout parmi les jeunes générations, diminue sensiblement. Aujourd’hui à Mysore, il y a moins d’une dizaine de garadis en fonction. Les autres ont été fermés et transformés en salles de fitness. Sans l’aide du gouvernement ou des sponsors privés, ces derniers refuges de la tradition sportive partagerons sans doute le sort des autres garadis.
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Gymnastes chinois - 5
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Les enfants chinois qui rêvent de devenir gymnastes ont un long chemin devant eux, ils doivent passer par trois étapes d’entraînement. Les centres de troisième niveau, le plus bas, recherchent des talents. Après une courte période d’essai, une partie de ces enfants continue pendant deux ou trois ans leur entraînement pendant leur temps libre, après l’école. Les plus doués passent aux écoles de deuxième niveau qui réalisent le programme scolaire habituel accompagné d’un entraînement intensif. Les élèves participent aussi dans des compétitions au niveau national ; En général, une médaille gagnée leur permet d’entrer dans une école de premier niveau et ouvre devant eux des possibilités de faire une grande carrière internationale. Dans une école de deuxième niveau de Shanghai tenue par l’entraîneur Chen, la journée commence avec une heure de gymnastique. Après le petit-déjeuner, les élèves ont trois heures de classe, ensuite ils déjeunent et se reposent avant un nouvel entraînement technique qui dure quatre heures. Après une douche et le dîner, ils continuent leurs cours. A 21h15, tout le monde est au lit. Après une journée fatigante, le sommeil vient vite, en apportant des rêves probablement aussi uniformisés que la routine de leurs entraînements quotidiens.
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Gymnastes chinois - 4
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Les enfants chinois qui rêvent de devenir gymnastes ont un long chemin devant eux, ils doivent passer par trois étapes d’entraînement. Les centres de troisième niveau, le plus bas, recherchent des talents. Après une courte période d’essai, une partie de ces enfants continue pendant deux ou trois ans leur entraînement pendant leur temps libre, après l’école. Les plus doués passent aux écoles de deuxième niveau qui réalisent le programme scolaire habituel accompagné d’un entraînement intensif. Les élèves participent aussi dans des compétitions au niveau national ; En général, une médaille gagnée leur permet d’entrer dans une école de premier niveau et ouvre devant eux des possibilités de faire une grande carrière internationale. Dans une école de deuxième niveau de Shanghai tenue par l’entraîneur Chen, la journée commence avec une heure de gymnastique. Après le petit-déjeuner, les élèves ont trois heures de classe, ensuite ils déjeunent et se reposent avant un nouvel entraînement technique qui dure quatre heures. Après une douche et le dîner, ils continuent leurs cours. A 21h15, tout le monde est au lit. Après une journée fatigante, le sommeil vient vite, en apportant des rêves probablement aussi uniformisés que la routine de leurs entraînements quotidiens.
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Gymnastes chinois - 3
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Les enfants chinois qui rêvent de devenir gymnastes ont un long chemin devant eux, ils doivent passer par trois étapes d’entraînement. Les centres de troisième niveau, le plus bas, recherchent des talents. Après une courte période d’essai, une partie de ces enfants continue pendant deux ou trois ans leur entraînement pendant leur temps libre, après l’école. Les plus doués passent aux écoles de deuxième niveau qui réalisent le programme scolaire habituel accompagné d’un entraînement intensif. Les élèves participent aussi dans des compétitions au niveau national ; En général, une médaille gagnée leur permet d’entrer dans une école de premier niveau et ouvre devant eux des possibilités de faire une grande carrière internationale. Dans une école de deuxième niveau de Shanghai tenue par l’entraîneur Chen, la journée commence avec une heure de gymnastique. Après le petit-déjeuner, les élèves ont trois heures de classe, ensuite ils déjeunent et se reposent avant un nouvel entraînement technique qui dure quatre heures. Après une douche et le dîner, ils continuent leurs cours. A 21h15, tout le monde est au lit. Après une journée fatigante, le sommeil vient vite, en apportant des rêves probablement aussi uniformisés que la routine de leurs entraînements quotidiens.
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Gymnastes chinois - 2
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Les enfants chinois qui rêvent de devenir gymnastes ont un long chemin devant eux, ils doivent passer par trois étapes d’entraînement. Les centres de troisième niveau, le plus bas, recherchent des talents. Après une courte période d’essai, une partie de ces enfants continue pendant deux ou trois ans leur entraînement pendant leur temps libre, après l’école. Les plus doués passent aux écoles de deuxième niveau qui réalisent le programme scolaire habituel accompagné d’un entraînement intensif. Les élèves participent aussi dans des compétitions au niveau national ; En général, une médaille gagnée leur permet d’entrer dans une école de premier niveau et ouvre devant eux des possibilités de faire une grande carrière internationale. Dans une école de deuxième niveau de Shanghai tenue par l’entraîneur Chen, la journée commence avec une heure de gymnastique. Après le petit-déjeuner, les élèves ont trois heures de classe, ensuite ils déjeunent et se reposent avant un nouvel entraînement technique qui dure quatre heures. Après une douche et le dîner, ils continuent leurs cours. A 21h15, tout le monde est au lit. Après une journée fatigante, le sommeil vient vite, en apportant des rêves probablement aussi uniformisés que la routine de leurs entraînements quotidiens.
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Gymnastes chinois - 1
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
Les enfants chinois qui rêvent de devenir gymnastes ont un long chemin devant eux, ils doivent passer par trois étapes d’entraînement. Les centres de troisième niveau, le plus bas, recherchent des talents. Après une courte période d’essai, une partie de ces enfants continue pendant deux ou trois ans leur entraînement pendant leur temps libre, après l’école. Les plus doués passent aux écoles de deuxième niveau qui réalisent le programme scolaire habituel accompagné d’un entraînement intensif. Les élèves participent aussi dans des compétitions au niveau national ; En général, une médaille gagnée leur permet d’entrer dans une école de premier niveau et ouvre devant eux des possibilités de faire une grande carrière internationale. Dans une école de deuxième niveau de Shanghai tenue par l’entraîneur Chen, la journée commence avec une heure de gymnastique. Après le petit-déjeuner, les élèves ont trois heures de classe, ensuite ils déjeunent et se reposent avant un nouvel entraînement technique qui dure quatre heures. Après une douche et le dîner, ils continuent leurs cours. A 21h15, tout le monde est au lit. Après une journée fatigante, le sommeil vient vite, en apportant des rêves probablement aussi uniformisés que la routine de leurs entraînements quotidiens.
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Natation Synchronisée
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
La natation synchronisée, autrefois connue sous le nom de « ballet aquatique » s’est éloignée de ses humbles origines pour devenir avec le temps un vrai sport international, faisant partie depuis 1984 des disciplines olympiques. Elle reste une discipline principalement féminine même si dans certains concours internationaux les hommes sont admis. Les compétitions se font en quatre catégories : solo, duo, en équipe (quatre à huit nageuses) et ballet (dix nageuses). Bien que la natation synchronisée soit un sport qui allie grâce et élégance, cette discipline demande aussi une grande force, de la souplesse, une précision de mouvement, et surtout une endurance aérobique. C’est pourquoi les nageurs de niveau international consacrent jusqu’à cinq heures par jour à l’entraînement. La natation synchronisée a atteint le plus haut niveau dans des pays, comme les Etats-Unis, la Russie, le Japon, l’Espagne, la Chine et la France. L’équipe nationale ukrainienne, entraînée par Svetlana Saidova, fait partie des meilleures équipes au monde. Les spectacles présentés par les nageuses ukrainiennes sont aussi intéressants pour le public dans les tribunes que pour un observateur sous l’eau.
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Olympians - Marc Rakita
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
De leur temps, ils étaient des légendes du sport. Mais leur temps est passé. Et les années se sont écoulées. Sous la peau ridée et l’équipement de sport d’il y a des dizaines d’année se cache une histoire qui nous plonge au cœur de l’expérience humaine où la lutte contre le temps et la mise à l’épreuve des limites personnelles continuent. Marc Rakita : escrimeur russe. Il a gagné le Championnat du monde en 1965, 1967, 1969 et 1971. Aux Jeux olympiques, il a gagné deux médailles d’or et une médaille d’argent dans le classement par équipe, ainsi qu’une médaille d’or dans le classement individuel. En 1988, il a trouvé sa place dans le Hall of Fame des sportifs internationaux juifs (International Jewish Sports Hall of Fame).
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Olympians - Jan Kowalczyf
© Tomasz Gudzowaty / Focus / Cosmos
Tomasz Gudzowaty
Beaux-arts
De leur temps, ils étaient des légendes du sport. Mais leur temps est passé. Et les années se sont écoulées. Sous la peau ridée et l’équipement de sport d’il y a des dizaines d’année se cache une histoire qui nous plonge au cœur de l’expérience humaine où la lutte contre le temps et la mise à l’épreuve des limites personnelles continuent. Jan Kowalczyf : champion en saut d’obstacles. Dans les années 1955-1991, il a gagné 650 concours hippiques. Il a participé à trois Jeux olympiques. Aux Jeux olympiques de 1980, il a gagné la médaille d’or dans le classement individuel de saut d’obstacle et la médaille d’argent dans le classement par équipe.
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