Documents pour «Cactus»

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Affiche du document Ida - La Comédie bourgeoise

Ida - La Comédie bourgeoise

Irène Némirovsky

44min15

  • Romans et nouvelles
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59 pages. Temps de lecture estimé 44min.
Cela fait des années qu'Ida Sconin a descendu les trente marches du music-hall qui a consacré son succès, et bien que le public l'aime toujours, le temps passe et Ida vieillit. Un jour, ses impresarios présentent un nouveau numéro interprété par une danseuse américaine, qui se produit nue. Lorsqu'Ida voit la jeune fille, elle commence à avoir peur. Ce corps maigre et ferme lui rappelle sa propre jeunesse, ses débuts difficiles. La discrimination du public à son égard - étrangère, pauvre. Et puis, soudain, après un long apprentissage, le succès, la gloire, la richesse, grâce à un amant qui lui écrit des chansons. Pour cet homme, Ida abandonne un mari fidèle, avec lequel elle a eu un fils fragile dont personne dans le milieu du théâtre n'a jamais soupçonné l'existence. Mais il ne faut pas réveiller les souvenirs douloureux… En ce qui concerne « La Comédie bourgeoise », il s'agit d'une œuvre qui semble avoir été conçue pour le cinéma. Or, nous nous trouvons devant non pas un scénario de film, mais une splendide nouvelle. La Comédie bourgeoise est en effet le petit roman de la vie, qu'Irène Némirovsky retrace comme une succession d'épisodes saillants qui, tout en suivant la chronologie des événements, de la jeunesse à la vieillesse, se compose comme un flux rapide et inarrêtable. L'écrivain, en quelques traits aussi délicats qu'incisifs, nous raconte l'histoire de Madeleine, d'abord jeune fille chez ses parents, puis femme mariée et mère, et enfin grand-mère... Entre les deux extrémités, la vie s'est écoulée.
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Affiche du document Contro il fascismo : Prefazione di Carlo Rosselli

Contro il fascismo : Prefazione di Carlo Rosselli

Matteotti Giacomo

27min00

  • Politique
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36 pages. Temps de lecture estimé 27min.
«Matteotti è diventato il simbolo dell’antifascismo e dell’eroismo antifascista. In qualunque riunione si faccia il suo nome, il pubblico balza in piedi o applaude. Comitati Matteotti, Fondi Matteotti, Circoli Matteotti, Case Matteotti. Matteotti, come l’ombra di Banco, accompagna Mussolini. E Mussolini lo sa. Eppure, nessun uomo fu meno «simbolo», meno «eroe», nel senso usuale dell’espressione, di Matteotti.» Così scrive Carlo Rosselli nel testo che fa da introduzione a questo essenziale dittico di discorsi. Matteotti li pronunciò davanti al parlamento pavesato di camicie nere, di fronte al più totale disprezzo dei suoi avversari politici, a cominciare da Mussolini. Sono discorsi vibranti, che nel dibattito parlamentare, come nella sceneggiatura dialogica di un film, restituiscono la ferocia dello scontro, così come la posta in gioco. Il primo intervento - pronunciato nel 1921 - è una denuncia senza limiti delle violenze fasciste che imperversarono sull'Italia intera a seguito del Biennio Rosso, e sotto la direzione, e il finanziamento, del grande capitalismo italiano. La seconda prolusione è ancor più drammatica. Si tratta dell'ultimo discorso di Matteotti prima di essere ucciso, le sue ultime parole pubbliche. Il deputato socialista si scaglia qui contro le violenze nere che hanno caratterizzato la tornata elettorale appena conclusa, quella svoltasi sotto la truffaldina legge Acerbo. È una requisitoria appassionata, continuamente interrotta dai fascisti. Ma proprio a giudicare dagli insulti e dalle proteste sollevatesi dai banchi fascisti, a suo modo è anche un discorso in cui si presagisce la violenza che Matteotti, di lì a poco, sarà costretto a subire.
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