Documents pour «HERMES SCIENCE PUBLICATIONS / LAVOISIER»

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Affiche du document Raisonnements divins

Raisonnements divins

Günter M. Ziegler

3h43min30

  • Sciences formelles
298 pages. Temps de lecture estimé 3h43min.
Cet ouvrage regroupe quelques démonstrations mathématiques choisies pour leur élégance. Il expose des idées brillantes, des rapprochements inattendus et des observations remarquables qui apportent un éclairage nouveau sur des problèmes fondamentaux.Selon le mathématicien Paul Erdös, qui a lui-même suggéré plusieurs des thèmes présentés, les preuves développées ici mériteraient d'être retenues pour figurer dans le Livre où Dieu aurait répertorié les démonstrations parfaites.Le livre aborde différents domaines (théorie des nombres, géométrie, analyse, combinatoire et théorie des graphes). Il évoque aussi bien des résultats établis depuis longtemps que des théorèmes récemment démontrés. Dans tous les cas, leur compréhension ne fait appel qu'à des connaissances mathématiques de niveau premier cycle.Cette troisième édition française propose une traduction de la quatrième édition anglaise revue et augmentée. Elle comporte cinq nouveaux chapitres, de nombreuses améliorations et corrections. L'ouvrage séduira tous ceux qui s'intéressent aux mathématiques.• Six preuves de l’infinité de l’ensemble des nombres premiersAigner, Martin (et al.)Pages 3-6 • Le postulat de BertrandAigner, Martin (et al.)Pages 7-13 • Les coefficients binomiaux ne sont (presque) jamais des puissancesAigner, Martin (et al.)Pages 15-18 • Représentation des nombres comme somme de deux carrésAigner, Martin (et al.)Pages 19-25 • La loi de réciprocité quadratiqueAigner, Martin (et al.)Pages 27-34 • Tout corps fini est commutatifAigner, Martin (et al.)Pages 35-39 • Quelques nombres irrationnelsAigner, Martin (et al.)Pages 41-47 • Trois méthodes pour calculer πAigner, Martin (et al.)Pages 49-58 • Le troisième problème de Hilbert : la décomposition des polyèdresAigner, Martin (et al.)Pages 61-70 • Droites du plan et décompositions de graphesAigner, Martin (et al.)Pages 71-76 • Le problème des pentesAigner, Martin (et al.)Pages 77-82 • Trois applications de la formule d’EulerAigner, Martin (et al.)Pages 83-89 • Le théorème de rigidité de CauchyAigner, Martin (et al.)Pages 91-94 • Simplexes contigusAigner, Martin (et al.)Pages 95-99 • Tout grand ensemble de points determine un angle obtusAigner, Martin (et al.)Pages 101-107 • La conjecture de BorsukAigner, Martin (et al.)Pages 109-115 • Ensembles, fonctions et hypothèse du continuAigner, Martin (et al.)Pages 119-136 • À la gloire des inégalitésAigner, Martin (et al.)Pages 137-143 • Le théorème fondamental de l’algèbreAigner, Martin (et al.)Pages 145-147 • Un carré et un nombre impair de trianglesAigner, Martin (et al.)Pages 149-158 • Un théorème de Pólya sur les polynômesAigner, Martin (et al.)Pages 159-165 • Sur un lemme de Littlewood et OffordAigner, Martin (et al.)Pages 167-170 • La fonction cotangente et l’astuce de HerglotzAigner, Martin (et al.)Pages 171-176 • Le problème de l’aiguille de BuffonAigner, Martin (et al.)Pages 177-180 • Le principe des tiroirs et le double décompteAigner, Martin (et al.)Pages 183-194 • Pavages de rectanglesAigner, Martin (et al.)Pages 195-200 • Trois théorèmes célèbres sur les ensembles finisAigner, Martin (et al.)Pages 201-206 • Mélanger un jeu de cartesAigner, Martin (et al.)Pages 207-218 • Chemins dans les treillis et déterminantsAigner, Martin (et al.)Pages 219-224 • La formule de Cayley pour le nombre d’arbresAigner, Martin (et al.)Pages 225-231 • Identités et bijectionsAigner, Martin (et al.)Pages 233-238 • Comment compléter un carré latinAigner, Martin (et al.)Pages 239-245 • Le problème de DinitzAigner, Martin (et al.)Pages 249-255 • Cinq-coloration des graphes planairesAigner, Martin (et al.)Pages 257-260 • Comment surveiller un muséeAigner, Martin (et al.)Pages 261-264 • Le théorème de TuránAigner, Martin (et al.)Pages 265-270 • Communiquer sans erreurAigner, Martin (et al.)Pages 271-280 • Le nombre chromatique des graphes de KneserAigner, Martin (et al.)Pages 281-286 • Amis et politiciensAigner, Martin (et al.)Pages 287-290 • Les probabilités facilitent (parfois) le dénombrementAigner, Martin (et al.)Pages 291-299
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Affiche du document Phénomènes sismiques (Génie parasismique, Vol. 1)

Phénomènes sismiques (Génie parasismique, Vol. 1)

Jacques Betbeder-Matibet

4h00min00

  • Sciences de la vie et de la nature
320 pages. Temps de lecture estimé 4h00min.
Il est incontestable que les connaissances et les outils de prévention ont considérablement progressé depuis l'émergence, dans les années 1960-1970, du génie parasismique moderne. Ces progrès ont porté sur la compréhension des causes et l'évolution des caractéristiques des mouvements sismiques de fort niveau, sur l'appréciation, pour un site donné, du type et du niveau des mouvements sismiques susceptibles de s'y produire (aléas sismiques) et enfin sur le comportement des structures soumises à de fortes secousses. L'amélioration des connaissances et des moyens d'étude a-t-elle pour autant entraîné des avancées concomitantes en matière de prévention du risque sismique ? La réponse à cette question doit être nuancée, car les progrès mentionnés ont souvent davantage souligné la complexité et la variabilité des phénomènes qu'ils n'ont permis de réduire les incertitudes dans leur prise en compte pratique. Le présent volume se consacre, dans une première partie, aux phénomènes sismiques. Dans un premier chapitre sont énoncées les causes des séismes, le second chapitre s'intéresse aux paramètres utilisés pour caractériser les séismes. Enfin, le troisième chapitre traite des manifestations des phénomènes sismiques en surface. La seconde partie de ce volume aborde les mouvements vibratoires forts en présentant, dans un premier chapitre, les connaissances sur ces mouvements. L'ouvrage s'achève sur un second chapitre qui s'attache à présenter les modèles de calcul des mouvements.
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Evaluation des performances des systèmes de production

Christian Tahon

3h50min15

  • Economie
307 pages. Temps de lecture estimé 3h50min.
La performance d'un système de production est plurielle et multidimensionnelle. Elle doit être évaluée globalement et sur l'ensemble du cycle vie du système et des produits réalisés. Elle intègre non seulement les notions de coût, délais, qualité, mais aussi de flexibilité, (capacité de changement rapide de la planification en cours et/ou modification de l'outil de production), de robustesse (comportement stable vis à vis de variations de la demande et d'occurrence d'aléas) et de valeur (liée à la satisfaction du client). Les facteurs humains et sociaux, longtemps sous-estimés, en sont des paramètres prépondérants. Il en résulte un besoin fort de méthodologies et d'outils pouvant aider les décideurs à mieux appréhender la notion de performance et à l'évaluer lors de la conception, l'exploitation et la reconfiguration d'un système de production. Cet ouvrage a pour objectif de décrire l'historique de l'évaluation de performance et de préciser le champ thématique qu'elle recouvre. Les auteurs y définissent le contexte dans lequel l'évaluation de performance doit se concevoir et se déployer, puis présentent, d'une part, un certain nombre d'expérimentations industrielles où les concepts et méthodes présentés dans les parties précédentes ont été mis en œuvre et, d'autre part, plusieurs approches prospectives de l'évaluation de la performance.
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Affiche du document Yield Management : optimisation du revenu dans les services

Yield Management : optimisation du revenu dans les services

Alain Capiez

2h38min15

  • Economie
211 pages. Temps de lecture estimé 2h38min.
Le Yield Management a pour objectif de maximiser les recettes de l'entreprise de service. Il identifie des segments de marché, en évalue les potentialités et fixe des prix. Il crée des règles de réduction de tarifs et de déplacement pour établir un processus avancé de réservation. Il en contrôle l'efficacité et la mise en œuvre. Il assure la gestion de la capacité disponible par une tarification et une offre de services adaptées à la spécificité de chaque segment identifié. Apparu dans le transport aérien après la déréglementation de ce secteur, le Yield Management s'est étendu à l'hôtellerie puis à un grand nombre de services (transport de marchandises, location de voitures, industrie, télécommunications, activités de loisir, médias) car les résultats financiers qu'il apporte sont réels. Ce livre décrit clairement ses fondements méthodologiques et stratégiques. Les grands modèles de gestion des capacités utilisés dans le transport aérien et l'hôtellerie sont présentés, accompagnés de nombreuses applications chiffrées et d'exercices corrigés. Enfin, il propose une approche concrète pour mettre en œuvre de façon efficace un tel système. Cet ouvrage s'adresse aux universitaires et aux étudiants concernés par un outil novateur du marketing et aux professionnels des services qui désirent implanter ou améliorer un système de Yield Management.
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Affiche du document Ingénierie des protocoles et qualité de service

Ingénierie des protocoles et qualité de service

Ana Cavalli

3h13min30

  • Techniques
258 pages. Temps de lecture estimé 3h13min.
Avec l'arrivée des nouvelles technologies de communication comme l'internet, des architectures de réseaux et des protocoles ont été créés afin d'offrir de nouveaux services. Ces services ne garantissent pas toujours un fonctionnement correct ni une qualité des prestations offertes acceptable par l'utilisateur final. Cela donne lieu à de nombreuses recherches sur la qualité de service. Il est évident que si l'on veut garantir un bon fonctionnement des services, il faut commencer par faire une description de leurs besoins la plus précise possible. Le but de cet ouvrage est de présenter des techniques de spécification formelle permettant l'expression des contraintes de QdS. Nous voulons, d'une part, présenter des techniques ou des langages permettant de décrire des protocoles et des services de manière précise et non ambiguë et, d'autre part montrer au lecteur comment décrire des contraintes de QdS en utilisant ces langages, ceci à travers la présentation des mécanismes qu'ils offrent et d'exemples d'applications. Elles couvrent différentes techniques de description formelle et différents aspects de la QdS, par exemple les exigences temporelles de celle-ci, ses mécanismes de support dans l'internet, la QdS et les normes, l'évaluation et la modélisation des performances, etc. ? Le premier chapitre expose les techniques d'expression de la QdS basées sur les automates finis temporisés. L'auteur présente les automates finis temporisés et la manière d'exprimer des contraintes de QdS en utilisant ce formalisme. Il s'intéresse essentiellement aux exigences temporelles de la QdS, telles qu'elles sont perçues par les utilisateurs finaux. Les services sont présentés comme des enchaînements d'interactions et les automates temporisés servent de base pour exprimer les contraintes de QdS requises. ? Le chapitre 2 porte sur les normes pour la QdS. Il existe aujourd'hui un grand intérêt dans les organismes de normalisation pour la définition de la QdS. Différentes définitions ont été proposées et ce chapitre les présente et illustre le traitement de la QdS dans les normes de l'ISO, de l'ATM (Asynchronous Transfer Mode) et de l'internet. Le langage E-LOTOS est normalisé par l'ISO et utilisé pour décrire les paramètres de la QdS et leur négociation à un niveau abstrait. E-LOTOS est un langage basé sur les algèbres de processus temporisées. ? Le chapitre 3 porte sur la spécification formelle des mécanismes de support des qualités de service dans l'internet l'architecture initiale de l'internet ne permettait pas de satisfaire les besoins de QdS de certaines classes d'applications. Aujourd'hui, des architectures comme les services intégrés et différenciés essaient de satisfaire ces exigences par l'ajout de protocoles et de mécanismes spécifiques. Après avoir exposé les concepts centraux liés aux QdS dans ces nouvelles architectures, ce chapitre présente la manière de les décrire avec le langage de spécification E-LOTOS. Des exemples de mécanismes de gestion de files d'attente, d'ordonnancement, de décongestion, de régulation de trafic, de vérification de la conformité du trafic et de contrôle d'admission illustrent l'approche proposée. ? Le chapitre 4 présente une méthodologie et des exemples sur l'évaluation des performances, pour des systèmes spécifiés dans le langage de spécification formelle Estelle. La méthode proposée pour exprimer et vérifier les performances et d'autres contraintes de la QdS sera l'annotation dynamique de la spécification, supportée par des outils de simulation avec des fonctions consacrées Des cas d'étude complexes provenant du monde réel seront évalués. ? Le chapitre 5 présente la notation ASN.1 et son utilisation pour améliorer la qualité des transferts de données. La notation ASN.1 est utilisée dans des applications comme le courrier électronique sécurisé, la téléphonie cellulaire, le contrôle aérien, ainsi que le transport de la voix et de la vidéo sur internet. ? Le chapitre 6 est une introduction au langage E-LOTOS. Il a pour but de présenter les éléments principaux du langage E-LOTOS, qui est une révision du langage.
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Images de profondeur

Jean Gallice

3h59min15

  • Informatique
319 pages. Temps de lecture estimé 3h59min.
Nous entendons par images de profondeur des images dont l'information correspond aux coordonnées 3D (x, y, z) de chaque point de la surface de l'objet observé. Plus exactement, en chaque point de coordonnées (x, y) du plan image, nous avons l'information de profondeur notée Z (x, y) : représentation analytique de la surface dans un repère lié au capteur. On peut également y associer l'information de luminance et de chrominance. C'est essentiellement ce type d'images qui nous préoccupe dans cet ouvrage. Ces dix dernières années, des progrès technologiques considérables ont été réalisés dans le domaine de la mesure tridimensionnelle sans contact. Dans le même temps, les méthodes et les outils pour le traitement et l'exploitation de ces données ont rapidement évolué, permettant de rendre accessible ce type d'information et d'envisager sérieusement le développement d'applications nouvelles dans de nombreux domaines. Citons comme exemples : acquérir, modéliser et reproduire à l'identique un objet aussi complexe qu'une pièce de musée ou une pièce manufacturière, acquérir et modéliser un environnement afin de se déplacer virtuellement dans une centrale nucléaire, dans une usine ou un musée, acquérir, modéliser, identifier, classifier des terrains puis détecter, localiser les obstacles pour la navigation terrestre autonome ou l'observation des fonds marins, contrôler, caractériser des défauts de surface. L'objectif de cet ouvrage est de donner un éclairage sur les possibilités offertes par ce nouveau type de capteurs 3D qui permettent d'obtenir, à des cadences élevées (plus de 200 000 points 3D par seconde), des images denses de points 3D de la surface d'un objet. Le lecteur y trouvera, dans le premier chapitre, des informations sur le principe des capteurs, les performances et les résolutions associées. La segmentation, prétraitement des données brutes qui permet de fournir une information sémantiquement plus riche est traitée dans le second chapitre. Un objet complexe ne pouvant être entièrement contenu dans le champ de vision du capteur, il est nécessaire d'acquérir plusieurs vues pour sa reconstruction. Se pose alors le problème du recalage des vues. Ce point est développé au chapitre 3. Le chapitre 4 montre l'intérêt de l'utilisation simultanée des images de profondeur et de luminance pour résoudre des problèmes de modélisation et de reconnaissance de formes 3D. Les chapitres 5 et 6 traitent plus spécifiquement de l'utilisation des capteurs 3D pour des applications ciblées : perception des robots pour la navigation autonome en environnement naturel , navigation sous-marine à des fins de cartographie des fonds marins. Le dernier chapitre montre les développements récents dans le domaine de la microscopie confocale et de son utilisation pour l'inspection et la caractérisation fine de l'état de surface de différents matériaux, la reconnaissance de formes 3D à l'échelle du micron.
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Affiche du document La tomographie. Fondements mathématiques, imagerie microscopique et imagerie industrielle

La tomographie. Fondements mathématiques, imagerie microscopique et imagerie industrielle

Pierre Grangeat

3h35min15

  • Sciences formelles
287 pages. Temps de lecture estimé 3h35min.
Sont rassemblés dans cet ouvrage les fondements mathématiques associés à la reconstruction d'image et les applications liées à l'imagerie microscopique et à l'imagerie industrielle. L'ouvrage commence par une introduction à la tomographie et dresse une synthèse du domaine. Comme ce traité IC2 porte sur le traitement de l'information, nous avons rassemblé dans une première partie les fondements mathématiques servant à développer les algorithmes de reconstruction d'image. Nous abordons successivement les approches analytiques, l'échantillonnage des mesures en tomographie et les approches discrètes. Explorer la matière conduit à rechercher des structures de plus en plus fines, à améliorer la résolution spatiale, à réduire l'échelle des images. On quitte alors les dimensions du corps humain pour s'intéresser à des échantillons, des cellules, des protéines, voire des gènes. C'est le domaine de la microtomographie auquel nous consacrons la deuxième partie de l'ouvrage. Certains instruments consistent en une miniaturisation des systèmes tomographiques utilisés pour l'imagerie médicale, tels que les microtomographes à rayons X, les microtomographes RMN, les microtomographes d'émission monophotonique, les microtomographes d'émission à positons. Nous nous sommes plutôt attachés à décrire les instruments spécifiques.
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Affiche du document La tomographie médicale. Imagerie morphologique et imagerie fonctionnelle

La tomographie médicale. Imagerie morphologique et imagerie fonctionnelle

Pierre Grangeat

2h20min15

  • Sciences formelles
187 pages. Temps de lecture estimé 2h20min.
L'imagerie médicale constituant le domaine où les systèmes tomographiques sont les plus développés, nous proposons dans le deuxième tome deux parties dédiées aux modalités applicables à l'homme, soit à des fins cliniques, soit pour des études cognitives. ? La première partie est consacrée à l'imagerie morphologique en considérant successivement la tomographie à rayons X, la radiologie tridimensionnelle et la tomographie par résonance magnétique nucléaire. ? La deuxième partie développe l'imagerie fonctionnelle sous ses différentes formes, à savoir la tomographie d'émission monophotonique, la tomographie d'émission à positons, la tomographie fonctionnelle cérébrale par résonance magnétique nucléaire, la tomographie de l'activité électrique en magnéto-encéphalographie et en électro-encéphalographie. Pour tous ces chapitres consacrés à des applications des systèmes tomographiques, nous nous sommes attachés à décrire les principes physiques, physiologiques et technologiques nécessaires à l'acquisition des mesures, à la création des contrastes et à la répartition des directions d'acquisition. Ces stratégies d'acquisition conduisent au problème direct de la description des mesures. Les algorithmes de reconstruction sont seulement évoqués en faisant référence à la première partie de l'ouvrage complémentaire à celui-ci, La tomographie, pour les développements mathématiques.
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Affiche du document Conception des commandes robustes

Conception des commandes robustes

Alain Oustaloup

4h35min15

  • Techniques
367 pages. Temps de lecture estimé 4h35min.
Les modèles des procédés étant par nature incertains, la robustesse des méthodes de synthèse de commande constitue depuis deux décennies un objectif fondamental. Cette notion de robustesse définit l'insensibilité ou la quasi-insensibilité de la commande aux variations paramétriques ou aux dynamiques non modélisées du procédé. Derrière cette définition générale et suite à une volonté de clarification initialisée au début des années 1990, chacun s'accorde à ne plus uniquement considérer la robustesse en stabilité de la loi de commande. La robustesse en performance, qui est beaucoup plus générale, est maintenant au cœur de toutes les préoccupations. L'objectif de cet ouvrage est la présentation, aussi exhaustive que possible, des méthodes de synthèse proposées par les différentes écoles de pensée actuelles. Tendant toutes vers des objectifs semblables, ces méthodes peuvent être considérées comme complémentaires. Toutefois, la commande robuste étant un sujet extrêmement large et qui reste encore ouvert, ces méthodes sont de nature très variée et utilisent des outils mathématiques assez différents. En effet, elles consistent en une mise en forme de la réponse fréquentielle en boucle ouverte pour les approches QFT et CRONE présentées respectivement aux chapitres 1 et 2. Elles sont fondées sur le placement des pôles et/ou des vecteurs propres en boucle fermée pour les chapitres 3, 4 et 5. Au chapitre 6, l'obtention de performances robustes est subordonnée à l'obtention de fonctions de Lyapunov dépendant de paramètres, tandis qu'elle découle d'une optimisation multicritère au chapitre 7 et d'une interpolation entre différents correcteurs au chapitre 8. Au chapitre 9, cette robustesse résulte à chaque instant et sur un horizon fuyant, de la minimisation entre une trajectoire de référence et la sortie du procédé.
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Affiche du document Lois d'échelle, fractales et ondelettes - Volume 1

Lois d'échelle, fractales et ondelettes - Volume 1

Patrice Abry

3h24min00

  • Sciences formelles
272 pages. Temps de lecture estimé 3h24min.
Dans de nombreuses sciences, on est habitué à conduire l'étude d'un système, d'un signal, à partir de la recherche d'échelles (d'espaces, de temps) caractéristiques. On les utilise alors comme références, unités ou étalons servant à exprimer toutes les autres mesures. Le physicien, par exemple, s'appuie sur plusieurs types d'échelles de temps (la période, la taille d'une structure, le taux de croissance d'un transitoire). Le traiteur du signal, lui, identifie souvent une longueur de corrélation, pour utiliser comme ingrédient essentiel dans l'analyse de données que deux échantillons (ou bloc d'échantillons) séparés de plusieurs longueurs de corrélation peuvent être considérés comme sans liaison statistique. La notion d'invariance d'échelle s'appréhende comme la négation de cette démarche, comme une non-propriété : l'absence d'échelle caractéristique. En d'autres termes, on ne peut pas identifier dans le système ou le signal étudié des échelles jouant un rôle spécifique : on doit considérer que toutes les échelles interviennent simultanément. C'est cette « non-propriété » que l'on nomme couramment phénomène d'invariance d'échelle, comportement en loi d'échelle ou simplement loi d'échelle, sans chercher à être plus précis, et qui est communément désignée de façon très économique en anglais par scaling. Un renversement de perspective permet également d'envisager l'invariance d'échelle comme la signature de l'existence d'une organisation forte dans les données ou les systèmes. En physique, par exemple, les propriétés d'invariance et de quantités conservées rendent compte, de façon fondamentale, de la structure des systèmes.
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Affiche du document Lois d'échelle, fractales et ondelettes - Volume 2

Lois d'échelle, fractales et ondelettes - Volume 2

Patrice Abry

3h21min45

  • Sciences formelles
269 pages. Temps de lecture estimé 3h22min.
Dans de nombreuses sciences, on est habitué à conduire l'étude d'un système, d'un signal, à partir de la recherche d'échelles (d'espaces, de temps) caractéristiques. On les utilise alors comme références, unités ou étalons servant à exprimer toutes les autres mesures. Le physicien, par exemple, s'appuie sur plusieurs types d'échelles de temps (la période, la taille d'une structure, le taux de croissance d'un transitoire). Le traiteur du signal, lui, identifie souvent une longueur de corrélation, pour utiliser comme ingrédient essentiel dans l'analyse de données que deux échantillons (ou bloc d'échantillons) séparés de plusieurs longueurs de corrélation peuvent être considérés comme sans liaison statistique. La notion d'invariance d'échelle s'appréhende comme la négation de cette démarche, comme une non-propriété : l'absence d'échelle caractéristique. En d'autres termes, on ne peut pas identifier dans le système ou le signal étudié des échelles jouant un rôle spécifique : on doit considérer que toutes les échelles interviennent simultanément. C'est cette «non-propriété» que l'on nomme couramment phénomène d'invariance d'échelle, comportement en loi d'échelle ou simplement loi d'échelle, sans chercher à être plus précis, et qui est communément désignée de façon très économique en anglais par scaling. Un renversement de perspective permet également d'envisager l'invariance d'échelle comme la signature de l'existence d'une organisation forte dans les données ou les systèmes. En physique, par exemple, les propriétés d'invariance et de quantités conservées rendent compte, de façon fondamentale, de la structure des systèmes.
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Affiche du document Propriétés des bétons armés et précontraints

Propriétés des bétons armés et précontraints

Roger Lacroix

3h57min45

  • Techniques
317 pages. Temps de lecture estimé 3h58min.
Au cours de la seconde moitié du siècle dernier, le béton armé et le béton précontraint ont connu une évolution considérable. Dans les années 1960, sous l'impulsion du Comité européen du béton, les calculs semi-probabilistes et l'introduction dans les codes des vérifications aux états limites sont entrés dans les mœurs. De plus, le développement exponentiel des programmes et des matériels informatiques permet aujourd'hui de résoudre dans un délai et à un coût raisonnables les problèmes de résistance des matériaux les plus complexes. L'analyse non linéaire et les méthodes de calcul aux éléments finis ne sont que des exemples des possibilités offertes à l'ingénieur pour la conception des structures, ou pour la confirmation d'un diagnostic en cas de désordres. Plus récemment, des progrès rapides ont été accomplis dans la production des deux principaux matériaux de la construction : le béton et l'acier. Durant les vingt dernières années, la résistance à la compression des bétons fabriqués en centrale a quasiment doublé, tandis que l'emploi des armatures à haute adhérence de 500 MPa de limite élastique se généralisait pour le béton armé et que les torons de précontrainte atteignaient une résistance supérieure à 2 000 MPa. Le présent ouvrage, rédigé par les meilleurs spécialistes de chacun des compartiments de la théorie des structures, se veut un témoin de ces évolutions. Il a pour objet non seulement de guider le concepteur dans l'élaboration des structures à construire ou l'évaluation des structures existantes, mais aussi d'exposer les raisons qui ont conduit les rédacteurs des codes à adopter les principes et règles de calcul qui y figurent, et les limites de leur emploi. Notre souhait est qu'il contribue à l'amélioration de la qualité des constructions en béton, en permettant aux ingénieurs de réaliser le meilleur compromis entre hardiesse et sécurité, contribuant ainsi au développement durable.
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Affiche du document Lois incrémentales, viscoplasticité, endommagement, modèles de comportement des sols et des roches - Volume 2

Lois incrémentales, viscoplasticité, endommagement, modèles de comportement des sols et des roches - Volume 2

Pierre-Yves Hicher

2h54min45

  • Sciences de la vie et de la nature
233 pages. Temps de lecture estimé 2h55min.
Les sols et les roches ont en commun de nombreuses caractéristiques physiques : ce sont des matériaux fortement hétérogènes, à base granulaire naturelle. Cela leur confère certaines caractéristiques rhéologiques qui les distinguent d'autres matériaux solides : ils ont un caractère fortement non linéaire, leur comportement à la rupture dépend de la contrainte moyenne et leur cisaillement induit des variations de volume, souvent de dilatance, qui confère un caractère non associé des déformations plastiques. Ces matériaux, sols et roches, peuvent être étudiés à différentes échelles. À l'échelle du grain ou de quelques grains (du mm au cm), on s'intéresse aux phénomènes discrets qui régissent les interactions que l'on s'attache à décrire par des modèles micromécaniques ou que l'on cherche à caractériser pour mieux appréhender le comportement à une échelle plus grande, en général celle de l'échantillon : c'est le passage du milieu discontinu au milieu continu équivalent. La taille de ce dernier est variable : elle doit être suffisamment grande (typiquement du cm au dm) vis-à-vis des discontinuités de la matière pour être représentative d'un milieu continu équivalent si l'on cherche à modéliser son comportement avec les outils de la mécanique des milieux continus qui, dans ses équations de base, ignore la notion d'échelle. C'est à cette échelle que l'on s'est volontairement placé dans cet ouvrage.
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