Documents pour «territoire»

Documents pour "territoire"
Affiche du document 12. Mise en valeur de la châtaigneraie à travers les espaces protégés : le cas du Parc National des Cévennes

12. Mise en valeur de la châtaigneraie à travers les espaces protégés : le cas du Parc National des Cévennes

Gérard BRIANE

13min28

  • Économie
  • Sciences de la vie, Biologie
  • Botanique
  • Agriculture, Exploitation de la faune et de la flore
En 1970, le Parc national des Cévennes est créé. S'il vise à conserver les paysages caussenards et cévenols de très haute qualité, il fonde aussi de nombreux espoirs sur la réactivation de l'économie locale alors tombée en déshérence. La crise de la châtaigne et de la soie, les deux guerres et l'exode rural avaient particulièrement malmené les Cévennes, dès lors en quête d'un nouveau projet de territoire.
Comment concilier le maintien de la population locale avec ses activités économiques et la protection du patrimoine naturel et culturel ? Autour de ces questionnements sont nées des initiatives locales d'individus, d'associations, d'organismes professionnels et du Parc des Cévennes. Son directeur Jacques Merlin témoigne dans ce film : "Le Parc National des Cévennes se trouve dans un milieu très habité et c'est un parc dont l'objet n'est pas de soustraire la nature à l'activité de l'homme mais au contraire de travailler avec l'homme et ses activités pour mieux protéger la nature". C'est un cas assez exceptionnel. Pourtant, beaucoup de gens ont parlé d'un "Parc National au rabais, puisqu'il y a plein d'activités humaines !".
Aujourd'hui, c'est plutôt un concept qui est recherché. Le modèle du Parc National des Cévennes se situe aux nouvelles frontières du développement durable : comment la société fait avec sa nature et son avenir, plutôt que de séparer les deux, la société et la nature. Et donc la châtaigneraie est un des espaces, un des objets, une des histoires qui sont au coeur de ce vaste territoire.
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Affiche du document Les Rencontres de l'UVED 2013 : Retour d’usage du module «Gestion des ressources en eau : des concepts aux territoires de l’action»

Les Rencontres de l'UVED 2013 : Retour d’usage du module «Gestion des ressources en eau : des concepts aux territoires de l’action»

SANDRINE VAUCELLE

21min56

  • Économie
  • Problèmes et services sociaux
  • Éducation
Dans un contexte de réflexions sur la question de l'apport du
numérique pour l'enseignement et l'éducation, et à l'heure où de
nouveaux dispositifs conduisent à s'interroger sur les modalités de
formation en ligne, l'Université Numérique Thématique UVED
(Université Virtuelle Environnement & Développement durable) a
organisé le 10 avril 2013, une journée de conférences et de débats.


Ces Rencontres de l'UVED (Escale à Bordeaux pour la première
édition), destinées aux enseignants du supérieur et du secondaire,
chercheurs, étudiants, responsables politiques universitaires,
responsables de services ou cellules TICE, ingénieurs et conseillers
pédagogiques, acteurs et décideurs publics ou privés du
développement durable, ont eu pour objectif de discuter des facteurs
qui motivent ou qui freinent la production et l'usage de ressources
numériques à haute valeur pédagogique ajoutée dans le domaine de
l'environnement et du développement durable.
Sandrine Vaucelle, Maître de conférence à l’Université Michel de
Montaigne Bordeaux 3, propose une synthèse des usages qu’elle et tous
les autres membres de l’équipe auteur du module UVED "Gestion des
ressources en eau : des concepts aux territoires de l’action" ont de
cette ressource.
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Affiche du document La géographie

La géographie

Marcel RONCAYOLO

1h18min46

  • Méthodes de la géographie. Explorations et voyages
Le paradigme de la géographie paraît évoluer entre deux termes depuis l'institutionnalisation de la discipline, à la fin du XIXè siècle. Enracinée dans la tradition, confortée par l'éclat des théories biologiques, la géographie privilégie, avec nuance et refus d'un déterminisme mécanique, la nature comme fixant les conditions de l'activité humaine. A la suite non d'une rupture mais d'un débat complexe, les espaces sont plutôt considérés comme des constructions humaines, sociales, même si on doit tenir compte des mécanismes individuels.
Toute une série de changements se dessinent, se chevauchant les uns les autres : par exemple, les paysages agraires sont rapportés d'abord au milieu naturel, puis aux traditions ethniques, enfin à une évolution historique de plus en plus précise qui conduit de l'économie domaniale à l'individualisme agraire. En même temps que la géographie devient historicité, elle fait une place aux rythmes sociaux, aux mouvements, au temps. La géographie se place ainsi comme instance de réflexion par rapport aux changements techniques qui peuvent la dissoudre, mondialisation, individualisme et surtout, plus humblement, distance et temps, proche et lointain, vieilles contraintes rassurantes. Elle s'interroge sur ce que devient la territorialité, quand la mobilité des hommes et celle de l'information se conjuguent, vers les processus de construction des espaces (mémoire et projet) et sur l'ampleur des risques dans une société vulnérable, y compris dans son environnement naturel.
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