Documents pour «fables»

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"Le petit coq et son diamant" et autres contes hongrois

Gyula Macskassy

1h38min48

  • Animation
  • Films pour enfants
  • Conte / Mythe
- Le petit coq et son diamant (1951) : Une vieille femme très pauvre a un petit coq qui, en picorant dans la cour, trouve un diamant. Le Roi avare, qui traverse le village le voit et confisque la pierre précieuse. Le Petit Coq courageux, va aller le confronter directement pour récupérer son bien. - Les deux petits taureaux (1955) : Un garçon pauvre mais de bon bon cœur, rencontre dans la forêt un vieil homme affamé et partage avec lui son petit pain. Le vieux lui offre deux taureaux minuscules qui sont d’une force inouïe. Le baron local veut les voler mais il va rencontrer des sérieuses difficultés dans son acte injuste. - Les Jeux Olympiques de la forêt (1952) : Les habitants de la forêt décident d’organiser leur propre événement de sport où tous les animaux peuvent participer. Le petit cochon paresseux est le seul à ne pas venir. Le loup veut profiter de l’occasion et l’attraper. Les autres animaux, bien sportifs, viendront à son aide. - Le lion et la souris (1957) : C’est l’adaptation du fable d’Ésope. Une souris imprudente trotte sur la patte d’un lion endormi, mais celui-ci la laisse repartir sans lui faire de mal. Un jour la souris viendra à l’aide du lion à son tour... - La petite abeille insatiable (1958) : Une petite abeille veut toujours plus de miel que ses frères et sœurs. Elle se fait piéger par la guêpe qui lui fait croire qu’elle peut créer son propre stock de miel sans partager avec les autres. Mais la guêpe la trahit et la chasse. La petite abeille jure qu’elle restera fidèle à sa famille. - Le hibou qui a regardé trop la télé (1969) : Le petit hibou qui regardait sans cesse la télé au lieu d’aller à l’école n’a jamais apprit à voler. Un jour le renard veut l’attraper, et il se rend vite compte qu’il aurait du suivre ses cours. - La petite fille sage (1955) : Il était une fois une petite fille sage qui connaissait la réponse à toutes les questions qu’on lui posait. Un jour, le prince charmant décide d’aller la voir avec trois questions et avec l’idée de lui demander sa main si elle sait bien répondre...
Forfait
Affiche du document La moraline et les moralistes - Jean-Charles Darmon

La moraline et les moralistes - Jean-Charles Darmon

UTLS - la suite

1h19min14

  • Savoir et communication
  • Littérature des langues romanes. Littérature de langue française
Une conférence du cycle : "Quels humanismes pour quelle humanité aujourd'hui ?"
La moraline et les moralistes par Jean-Charles Darmon
La tentation a souvent été grande de légitimer l’enseignement de la littérature en mettant au premier plan des raisons et des finalités morales. Mais ce type de démarche, encouragé aujourd’hui par tout un courant critique et philosophique outre-Atlantique, a souvent pour effet d’occulter l’inquiétante étrangeté des expériences de pensée que la littérature (même la plus « classique ») permet d’explorer, loin, très loin assurément des « leçons de morale » qui l’on prétend parfois y puiser.
Ceux que l’on nomma, précisément, les « moralistes », furent des maîtres du soupçon impitoyablement critiques et prodigieusement inventifs à cet égard. On pourrait montrer, notamment, qu’avec Montaigne et ses grands successeurs s’ouvre une crise de l’exemplarité morale sans précédent, faisant de la lecture un exercice éthique d’un style nouveau. Je voudrais réexaminer, de ce point de vue, un cas, célèbre entre tous, celui des Fables de Jean de La Fontaine ; et, en abordant les jeux complexes qu’il instaure avec la notion même d’exemplarité, rappeler quelle fut la profondeur souvent déroutante des allégories de la pensée morale dont certaines Fables offrent le spectacle.
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