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Affiche du document Violences et médias - Juger et gérer la violence

Violences et médias - Juger et gérer la violence

4h59min42

  • Sciences médicales. Médecine
Sujets de réflexions et débats du 08 février 2013 :

 -Franck Baylé, psychiatre,
Traitement de la violence dans les médias et en justice : hésitation ou réflexion ?
 
 Thème 1 : Violences et médias
 
 -Boris Cyrulnik, neurologue, psychiatre
Violence et médias : la guerre des représentations
 
 -Anne-Claude Ambroise-Rendu, historienne
Les mises en scène médiatiques de la violence : quels effets ?
 
 -Laurent Bègue, psychologue
La question des relations entre jeux vidéos violents et conduites d’agression
 
Thème 2 : Juger et gérer la violence
 
-Kostas Nassikas, psychanalyste, directeur de la Maison des adolescents de Lyon
Violence individuelle et groupale à l’adolescence, comment la gérer ?
 
-Paul Valadier, théologien, philosophe
Comment juger la violence ?


Une initiative des Associations Université de tous les savoirs (UTLS) et Innovation et Psychiatrie (iPSY)
Un groupe de réflexion « VIOLENCES », pourquoi ?

La violence, individuelle ou collective, organisée ou "sauvage", avec ou sans discours accompagnateur,  réelle ou représentée, fait partie de la vie des sociétés.
Celles-ci l'organisent, l'utilisent, la circonscrivent, la traitent, la préviennent – en bref la gèrent. Cette gestion a été, selon les époques, plus ou moins perfectionnée et plus ou moins réfléchie et théorisée.

De nombreux spécialistes, au sein de disciplines diverses, s'attachent aujourd'hui à la connaître. Un savoir de la violence existe dans presque tous les domaines: psychologie, psychiatrie, éthologie, sociologie, neurologie et fonctionnement cérébral, art de la guerre, théorie du conflit, histoire, théorie politique, droit, etc., etc.

Ce savoir est toutefois de plus en plus spécialisé aussi bien en termes d'organisation académique que pour les besoins de l'action sociale qui se sectorise en même temps qu'elle se perfectionne.

Il nous a semblé qu'il serait bon de faire se rencontrer et communiquer les spécialistes et les disciplines de manière, d'une part, à ressaisir un regard généraliste et, d'autre part, à enrichir les recherches par la mise en relation des approches. Il y a aujourd'hui une fermeture des domaines les uns sur les autres qui ne relève pas de la prétention à, chacun, détenir la vérité, mais de l'activité d'investigation et des besoins de l'action eux-mêmes, souvent placés sous le signe de l'urgence.

Mais sans doute un dénominateur commun existe. Sans prétendre savoir lequel et sans prétendre à son caractère opératoire, il est nécessairement utile de tenter de le circonscrire. Il est tout aussi évident qu’un même savoir mesuré au travers de perspectives différentes doit être partagée, voire conceptualisé en commun.


Yves Michaud, philosophe
Fondateur de l’Université de tous les savoirs           
                                           
Franck Bayle, psychiatre
président de l’association innovation et psychiatrie


Prochains sujets de réflexions et débats :

-Juger et gérer la violence




Liste des personnalités participant au groupe de réflexion « VIOLENCES »

Le groupe de réflexion « VIOLENCES » est à l’initiative d’Yves Michaud, philosophe, directeur de l’Université de tous les savoirs et de Franck Baylé, psychiatre (Hôpital Sainte-Anne), professeur à l’Université Paris Descartes.

Sujets de réflexion : "L’influence de l’environnement dans la violence"
et  "Le passage à l’acte"

- Olivier Abel, théologien, philosophe

- Anne-Claude Ambroise-Rendu, historienne

- Stéphane Audoin-Rouzeau, historien

- Laurent Bègue, psychologue

- Jacques Bouchez, médecin

- Marc Bourgeois, psychiatre

- Boris Cyrulnik, neurologue, psychiatre, psychanalyste, éthologue

- Patrice Davost, magistrat

- Bertrand Deputte, éthologiste

- Michel Goya, militaire

- Michel Hamon, scientifique

- Michela Marzano, philosophe

- Jean-Dominique Merchet, journaliste, spécialiste de la guerre

- Kostas Nassikas, psychiatre, psychanalyste, responsable de la maison des adolescents du Rhone

- Frédéric Péchenard, délégué interministériel à la sécurité routière

- Chantal Roussy, vice présidente de l’Unafam

- Jacques Sémelin, politologue

- Isabelle Sommier, politologue

- Emmanuelle Titeux, vétérinaire

- Paul Valadier,théologien,philosophe

- Vanessa Wisnia-Weill, psychologue
Accès libre
Affiche du document L'influence de l'environnement sur la violence - Le passage à l'acte

L'influence de l'environnement sur la violence - Le passage à l'acte

6h21min32

  • Sciences médicales. Médecine
Sujets de réflexions et débats du vendredi 16
novembre 2012 :
Ouverture :
-Michel Hamon, scientifique
Connaissance neurobiologique de l’agressivité à partir des modèles animaux
 
Thème 1 :L’influence de l’environnement sur la violence
 
-Laurent Bègue, psychologue
Alcool et violence
 
-Isabelle Sommier, politologue
Les processus de radicalisation ; le passage de la question du pourquoi et celle du comment
 
 -Marc Bourgeois, psychiatre
La violence en milieu carcéral
 
Thème 2 : Le passage à l’acte
 
-Jacques Semelin, politologue
Le passage à l’acte de massacrer
 
-Michel Goya, militaire
La violence légitime vue par un de ses porteurs
-Bertrand Deputte, éthologiste
L’agression chez les vertébrés supérieurs : expression et fonction


Une initiative des Associations Université de tous les savoirs (UTLS) et Innovation et Psychiatrie (iPSY)

Un groupe de réflexion « VIOLENCES », pourquoi ?

La violence, individuelle ou collective, organisée ou "sauvage", avec ou sans discours accompagnateur,  réelle ou représentée, fait partie de la vie des sociétés.
Celles-ci l'organisent, l'utilisent, la circonscrivent, la traitent, la préviennent – en bref la gèrent. Cette gestion a été, selon les époques, plus ou moins perfectionnée et plus ou moins réfléchie et théorisée.

De nombreux spécialistes, au sein de disciplines diverses, s'attachent aujourd'hui à la connaître. Un savoir de la violence existe dans presque tous les domaines: psychologie, psychiatrie, éthologie, sociologie, neurologie et fonctionnement cérébral, art de la guerre, théorie du conflit, histoire, théorie politique, droit, etc., etc.

Ce savoir est toutefois de plus en plus spécialisé aussi bien en termes d'organisation académique que pour les besoins de l'action sociale qui se sectorise en même temps qu'elle se perfectionne.

Il nous a semblé qu'il serait bon de faire se rencontrer et communiquer les spécialistes et les disciplines de manière, d'une part, à ressaisir un regard généraliste et, d'autre part, à enrichir les recherches par la mise en relation des approches. Il y a aujourd'hui une fermeture des domaines les uns sur les autres qui ne relève pas de la prétention à, chacun, détenir la vérité, mais de l'activité d'investigation et des besoins de l'action eux-mêmes, souvent placés sous le signe de l'urgence.

Mais sans doute un dénominateur commun existe. Sans prétendre savoir lequel et sans prétendre à son caractère opératoire, il est nécessairement utile de tenter de le circonscrire. Il est tout aussi évident qu’un même savoir mesuré au travers de perspectives différentes doit être partagée, voire conceptualisé en commun.


 Yves Michaud, philosophe 
Fondateur de l’Université de tous les savoirs           
                                           

  Franck Bayle, psychiatre
président de l’association innovation et psychiatrie


Prochains sujets de réflexions et débats prévus pour la réunion du
vendredi 8 février 2013 :

-La
violence et les médias

-Juger
et gérer la violence





Liste des personnalités participant au groupe de réflexion « VIOLENCES »

Le groupe de réflexion « VIOLENCES » est à l’initiative d’Yves Michaud, philosophe, directeur de l’Université de tous les savoirs et de Franck Baylé, psychiatre (Hôpital Sainte-Anne), professeur à l’Université Paris Descartes.

Sujets de réflexion : "L’influence de l’environnement dans la violence"
et  "Le passage à l’acte"

- Olivier Abel, théologien, philosophe

- Anne-Claude Ambroise-Rendu, historienne

- Stéphane Audoin-Rouzeau, historien

- Laurent Bègue, psychologue

- Jacques Bouchez, médecin

- Marc Bourgeois, psychiatre

- Boris Cyrulnik, neurologue, psychiatre, psychanalyste, éthologue

- Patrice Davost, magistrat

- Bertrand Deputte, éthologiste

- Michel Goya, militaire

- Michel Hamon, scientifique

- Michela Marzano, philosophe

- Jean-Dominique Merchet, journaliste, spécialiste de la guerre

- Kostas Nassikas, psychiatre, psychanalyste, responsable de la maison des adolescents du Rhone

- Frédéric Péchenard, délégué interministériel à la sécurité routière

- Chantal Roussy, vice présidente de l’Unafam

- Jacques Sémelin, politologue

- Isabelle Sommier, politologue

- Emmanuelle Titeux, vétérinaire

- Paul Valadier,théologien,philosophe
- Vanessa Wisnia-Weill, psychologue
Accès libre
Affiche du document La recherche médicale - Métiers et formations

La recherche médicale - Métiers et formations

13min53

  • Généralités
  • Sciences médicales. Médecine
Description


Le but de ce film est de montrer

- différents parcours d’études à suivre pour faire de la recherche médicale

- la vie et les activités d’un chercheur.

Avec :

- Emmanuel Van Obberghen,MD,PhD

Professeur de Biochimie et de Biologie Moléculaire

Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis

IRCAN, Equipe Vieillissement et Diabète

Chef de Service, Laboratoire de Biochimie, CHU de Nice

Vice-Président Recherche, Directoire CHU de Nice

Président, Comité de Recherche Biomédicale et de Santé Publique, Nice

France

- Paul HOFMAN

Professeur d'Anatomie et cytologie pathologiques

Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis

IRCAN, Equipe Inflammation et Carcinogenèse

Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis

Chef de Service, Directeur de la Tumorothèque, CHU de Nice

- Valérie VOURET

Chargée de Recherche CNRS

IRCAN, Equipe Inflammation et Carcinogenèse,

Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis

- Sylvia KORZENIEWSKI

Interne en Médecine en Pneumologie

Étudiante MASTER Sciences

IRCAN, Equipe Inflammation et Carcinogenèse

Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis

- Delphine BAUDOUY

Médecin en cardiologie

IRCAN, Equipe Vieillissement et Diabète

Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis

- Virginie CASAMENTO

Étudiante MASTER Sciences

IRCAN, Equipe Vieillissement et Diabète

Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis

- Patrick BREST

Chargé de Recherche INSERM

IRCAN, Equipe Inflammation et Carcinogenèse

Faculté de Médecine - Université Nice Sophia Antipolis
medecine.unice.fr


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- Production :

Faculté de Médecine de Nice

Université Nice Sophia Antipolis

- Directeur de la publication

Pr Daniel BENCHIMOL

- Directrice de la production

Valérie HIZEBRY

- Scénario :

Emmanuelle DUCHEZ

Jean-Christophe VIALLE

- Réalisation:

Jean-Christophe VIALLE

2012

medecine.unice.fr
Accès libre
Affiche du document Le risque en médecine au regard des principes cardinaux de l’éthique - Sadek Beloucif

Le risque en médecine au regard des principes cardinaux de l’éthique - Sadek Beloucif

Sadek BELOUCIF

1h11min51

  • Sciences médicales. Médecine
« Avec le risque de voir l’humain devenu plus vulnérable, nous devons imaginer, pour tenter de les éviter, les conséquences potentiellement délétères de nos actions. S’il n’y a pas de domaine interdit dans la science ou dans la poursuite de la connaissance, la conduite des scientifiques et des médecins doit être appropriée. En considérant que les considérations éthiques peuvent être modifiées par les avancées scientifiques mêmes, il est essentiel de pouvoir se reposer sur des principes et valeurs fondamentales. Nous sommes ici à la confluence de la loi et de l’éthique.
« En médecine, la recherche d’une solution éthique s’articule habituellement en fonction des principes cardinaux de bienfaisance, non-malfaisance, respect de l’autonomie, et justice (équité).
« Avec les avancées techniques, en complément des traitements, des stratégies destinées à prévenir l’apparition des maladies apparaissent. En conséquence, la sécurité sociale (qui fournit protection et accès aux soins) émerge, avec une modulation progressive de la bienfaisance vers l’autonomie au fur et à mesure que la technologie et la défense des droits de la personne participent à ce qui est reconnu comme étant de l’ordre des bons soins.
« Nous sommes donc passés progressivement d’une logique purement paternaliste à une logique d’essence contractuelle (avec ses excès lorsque l’autonomie devient dominante en médecine), alors que nous devrions en fait déjà agir comme des philosophes ou des humanistes, en promouvant une véritable alliance thérapeutique entre les scientifiques et le public.
« Au-delà du principe de précaution, les interrogations et les craintes de la recherche scientifique sont essentielles car elles nous forcent à entrer dans une logique de comportement de prudence, en valorisant l’ouverture et la vérité.
Accès libre
Affiche du document Communiquer sur l’incertitude - Annick Alpérovitch

Communiquer sur l’incertitude - Annick Alpérovitch

Annick ALPEROVITCH

57min16

  • Sociologie et anthropologie
  • Sciences médicales. Médecine
"des maladies à prions à la grippe »

Pour de multiples raisons, dont certaines ont une dimension éthique, les politiques de santé publique visant à faire face à de nouveaux risques doivent être basées, en partie au moins,  sur une évaluation quantitative de ces risques. Les scientifiques-épidémiologistes et biostatisticiens disposent de modèles permettant d’évaluer ces risques, et en particulier de fournir des estimations de la taille de l’épidémie d’une maladie émergente, sous différentes hypothèses.

Au cours des dernières décennies, ces modèles ont été utilisés pour prédire l’épidémie de SIDA, ou encore celle du variant de la maladie de Creutzfeldt-Jakob dû à l’agent de l’encéphalopathie spongiforme bovine (maladie de la vache folle). Aujourd’hui, ils peuvent fournir des indications sur la taille possible de la pandémie grippale.

Dans le contexte d’inquiétude suscitée par ces maladies, ces travaux ont un large écho dans les médias. Dans l’ensemble des scénarios envisagés par les scientifiques, ce sont souvent les scénarios « catastrophes » qui sont privilégiés, conduisant les décideurs et les individus à des décisions inadaptées, voire délétères.

On peut donc se poser une question dérangeante : sachant le peu d’influence qu’ont les scientifiques sur les médias, sachant aussi le peu de poids qu’a une tribune libre rectificatrice face à un titre sur cinq colonnes à la une, sachant enfin la réelle difficulté de parler intelligiblement de risque et d’incertitude, faudrait-il que les scientifiques autocensurent certaines prédictions épidémiologiques ?

L’histoire de l’épidémie du variant de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, depuis la détection des premiers cas à la fin de 1995, servira de fil conducteur à cette réflexion.
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