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Affiche du document La Course au bonheur — La Course au bonheur
Jules Mary
59min15
Littérature régionale
79 pages. Temps de lecture estimé 59min.
La Course au Bonheur (1891) - Jules Mary Un roman d'amour, de drame et de mystère, où une jeune femme, sortie de l'inconscience, découvre les passions et les épreuves de la vie. Résumé : Cécile du Vernoy, recluse à Montoire, un château isolé en pays châtillonnais, après un mariage malheureux et la naissance de son fils Philippe, y élève ce dernier dans un cadre mélancolique et solitaire. Philippe, devenu médecin, voit sa vie bouleversée par l'arrivée d'André, un jeune garçon adopté, et par la maladie de sa femme, Marie-Louise. Après des années de dévouement, Philippe se retrouve seul, hanté par des secrets de famille et des regrets. Il décide de s'installer à Misabran, en Sologne, espérant y trouver la paix. C'est là qu'il rencontre Frédérique de Salnève, une jeune fille sortant d'un long état d'inconscience, et qu'il entreprend de la ramener à la vie. Alors que Frédérique s'éveille à l'intelligence et aux sentiments, une série d'événements dramatiques vient perturber leur existence. Un amour naissant, des jalousies, des non-dits, des révélations douloureuses, et même un crime, tissent une toile complexe autour d'eux. Frédérique, confrontée à la réalité de la vie et aux passions humaines, devra faire face à des choix difficiles et apprendre à naviguer dans un monde qu'elle découvre à peine. Points forts : Un récit captivant : Une intrigue riche en rebondissements, où les secrets de famille, les passions et les drames s'entremêlent. Des personnages complexes et attachants : Suivez le parcours de Frédérique, une jeune femme qui s'éveille à la vie, et de Philippe, un homme tourmenté par son passé et en quête de rédemption. L'exploration de thèmes universels : L'amour, la jalousie, le sacrifice, le deuil, la quête du bonheur, la rédemption, sont au cœur de ce roman. Un cadre pittoresque : Voyagez entre le pays châtillonnais et la Sologne sauvage, des décors propices à la rêverie et au mystère. Un style fluide et accessible : Laissez-vous emporter par la plume de Jules Mary, un maître du roman populaire. Un portrait d'une société : L'auteur dépeint à travers ses personnages, les mœurs d'une époque révolue. Un regard sur la médecine : Le roman aborde le traitement et la guérison des troubles mentaux. Public cible : Les amateurs de romans psychologiques et de drames familiaux. Les lecteurs en quête d'histoires d'amour et de rédemption. Ceux qui apprécient les récits situés dans un cadre rural et authentique. Les passionnés de littérature populaire du XIXe siècle. Auteur : Jules Mary (1851-1922) est un romancier français prolifique, auteur de nombreux romans-feuilletons à succès. Il est reconnu pour son talent à créer des intrigues captivantes et à dépeindre des personnages attachants. (Description générée par IA)

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Affiche du document Cristal de Fer — Cristal de Fer
Didier Paris
15min00
Littérature régionale
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20 pages. Temps de lecture estimé 15min.
Un corps est découvert dans un canal, à Lille : celui d’Alban Dutilleux, professeur à l’université de Bruxelles, spécialiste en histoire de l’art du Proche-Orient. Son frère Maxime, adjoint à l’urbanisme, disparaît au même moment. Quel lien entre les deux affaires ? Alexandre Verstraete et Marianne Weber mènent l’enquête. Mais quelle piste suivre ? Celle du trafic d’art depuis le Proche-Orient en lien avec le terrorisme international, ce qui expliquerait les nombreux voyages de la victime ? Celle d’un conflit familial ? Celle de la spéculation immobilière autour d’une villa Art déco qu’une association de défense veut protéger de la démolition ? Quel rôle joue son président, Valentin Herbaut, un architecte lillois ? Mais alors que l’enquête piétine, la menace d’un attentat terroriste se précise. Europol est sur le coup. L'intrigue se déploie entre Lille et Bruxelles et fait voyager le lecteur d’Istanbul à Samarcande, mais aussi à Paris, Dunkerque et Hambourg. « Un super bon premier livre » (France Bleu Nord, émission Côté Culture).

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Affiche du document Pâques sanglantes en bord de Garonne — Pâques sanglantes en bord de Garonne
Fernand Campariol
16min30
Littérature régionale
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22 pages. Temps de lecture estimé 16min.
Alors que Napoléon 1er abdique le 6 avril 1814, battu par une coalition russo-prussienne et autrichienne, à Toulouse, quatre jours plus tard, se joue dans le Sud-Ouest une des dernières batailles de l'Empire. Le futur duc de Wellington a chassé de la péninsule ibérique ce qui reste de l'armée d'Espagne sous les ordres du maréchal Soult. Ayant pris un peu d'avance, ce dernier organise le siège de Toulouse. Les deux armées vont s'affronter durant une longue et sanglante journée. Deux frères qui se vouent une haine farouche ont choisi leur camp. L'aîné, José Gomez, est lieutenant au 10e Chasseur. Le cadet, Pedro, est sergent-major d'artillerie légère. Tous deux ont dans les yeux des rêves de gloire perdue et veulent abattre une dernière carte. Des questions se posent. Quelle est l'origine d'un tel antagonisme entre les deux frères ? Quel rôle va jouer celui qui a choisi la cause des Coalisés ? Cette singulière bataille, à son issue, désigne-t-elle un vrai vainqueur ? Pâques sanglantes en bord de Garonne est surtout un raccourci des guerres napoléoniennes évoquées avec un réalisme saisissant, suivant une chronologie précise des évènements et la topographie des lieux. La narration révèle l'héroïsme des soldats mais parfois leur bassesse, dans le fracas des armes qui, bien que d'une autre époque, n'en sont pas moins meurtrières. C'est aussi le tableau de la société civile du Premier Empire, une petite galerie de personnages saisis dans leur vérité, avec une tonalité parfois romantique dans la peinture du sentiment amoureux.

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Affiche du document La vie singulière d’un paysan en Beaujolais — La vie singulière d’un paysan en Beaujolais
Daniel Esnault
12min00
Littérature régionale
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16 pages. Temps de lecture estimé 12min.
Né en 1917 à Morancé dans ce qu’il est convenu d’appeler depuis les années 1960 le Beaujolais des Pierres Dorées, Pierre Laurençon a connu une enfance douloureuse qui va le marquer toute sa vie. Privé très tôt de son père et éloigné à plusieurs reprises d’une mère qu'il chérit, soumis aux durs travaux des champs, il grandit au sein d’une famille dont la situation économique confine parfois à la misère. En octobre 1936, alors âgé de 19 ans, à la fois mû par le goût de l'aventure mais aussi par un ressort intime qui le pousse toujours à progresser au travers de nouveaux défis, il part pour trois ans au Maroc en s’engageant dans le régiment du 1er Zouaves. Cette échappée va lui apprendre la vie en communauté et lui permettre de découvrir un autre mode de vie, tandis que l’éloignement le conforte dans son amour pour sa promise qui doit mûrir. La foi, de plus en plus, va le guider dans ses décisions. La « drôle de guerre » éclate en septembre 1939. Elle va le ramener en métropole, directement sur le front et non, comme il l’espère, vers le village de sa fiancée. Fait prisonnier en juin 1940 il vit, pendant plus de deux mois, les pires instants de sa vie dans ce qu’il désignait lui-même comme un « terrier » au camp de Romilly-sur-Seine avant de partir, dans un wagon de chemin de fer en compagnie de chevaux de trait, pour un camp de travail à Krefeld en Allemagne. Au Stalag VI les conditions d’existence lui paraissent moins dures qu’à Romilly, mais après une préparation des plus minutieuses il s’en évade le 20 juin 1942. De retour parmi les siens, marié plus tôt que prévu, il travaille dans un premier temps chez sa belle-mère avant de prendre un métayage pour finalement s’installer à Saint-Jean-des-Vignes comme propriétaire d'une ferme qu’il lui faut défricher. Paysan, arboriculteur-vigneron, premier Président du Bio dans le Rhône, ses huit enfants – 4 garçons et 4 filles – le comblent de bonheur jusqu’à la perte de son épouse, Marthe, en 1982. Cette dernière, très attachée à la religion chrétienne, semble avoir pressenti sa fin et guide son époux vers la dernière étape de sa vie. Début 1983, Pierre réalise son noviciat à Châteauroux auprès de son fils prêtre, et Frère en rejoignant sa fille religieuse à l’Étoile du Matin, tout en apportant à la communauté ses merveilleuses compétences en jardinage.

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Affiche du document Le grand frère de la côte — Le grand frère de la côte
Michel Sibra
25min30
Littérature régionale
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34 pages. Temps de lecture estimé 25min.
Judex et Mélissa, deux chenapans du cirque de Mafate, à l’île de La Réunion, ont séché l’école pour voir la mer. Quel paradoxe ! Vivre sur une île grande comme une feuille de bananier perdue au milieu de l’océan Indien et n’avoir jamais vu la mer ! Car ils vivent avec leurs parents, descendants d’esclaves, dans les Hauts de l’effondrement spectaculaire d’un volcan éteint d’où, pourtant si proche, la mer n’est pas visible. Parallèlement, Félix Mahé, un grand Noir détenu à la prison Juliette-Dodu de Saint-Denis, coupable d’une passion dévorante pour les vieux manuscrits et les livres incunables, profite d’un transfert vers un centre détention moins vétuste pour prendre la poudre d’escampette vers les Hauts de Mafate, au cours d’un accident opportun sur la route du littoral. Rencontre improbable entre l’évadé passionné de chasses au trésor et les deux petits diables qui rêvent de se laisser chahuter par les rouleaux de l’océan. Rencontre bien réelle qui va déclencher le plan Épervier pour enlèvement d’enfants. Rencontre merveilleuse entre un grand enfant, atteint du syndrome de Peter Pan, et des gamins qui rêvent en grand de devenir les héros de la flibusterie au XVIIe siècle, dans l’océan Indien, et d’appartenir à la confrérie des Frères de la côte. Tous trois se lancent dans la quête du trésor d’un pirate célèbre de La Réunion, Olivier Levasseur, dit La Buse, tel le busard de Maillard, rapace endémique de l’île. Mais ont-ils compris que le plus beau des trésors se cache en réalité dans le cœur de chacun ?

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Affiche du document Rapa et le Bougainville — Rapa et le Bougainville
Patrick Fischer Naudin
37min30
Littérature régionale
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50 pages. Temps de lecture estimé 37min.
Rapa est l’île la plus au sud de la Polynésie française, celle qui intrigue car, difficile d’accès et si différente des autres îles de l’archipel des Australes, avec sa baie, ses forts, Rapa surnommée l’île du bout du monde. J’ai eu la chance de pouvoir m’y rendre deux fois. La première fois avec le bateau militaire le Bougainville fut épique. Ce récit relate cette traversée et ce séjour à Rapa. Cependant, quand on pense à Rapa Iti, comment ne pas évoquer Rapa Nui, l’île de Pâques, le nombril du monde, et ses statues monumentales, les moaï, ainsi que le mystère de son peuplement. Comment ne pas évoquer les grands navigateurs, Cook, Bougainville et les autres, qui ont bravé les océans et l’inconnu pour tracer la carte du monde, comment ne pas évoquer la culture de la Polynésie si riche et son passé avec ses troublantes pratiques religieuses, avant l’arrivée des missionnaires en 1797. La Polynésie avec ses superbes lagons, ses danses si évocatrices, ses particularités, fait rêver. Mais Rapa, si loin de Tahiti, reste à découvrir. Alors, embarquons-nous pour cette longue course dans l’océan Pacifique vers Opano, l’île aux pare.

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Affiche du document Les couleurs basques — Les couleurs basques
Alexandre Minda
06min00
Littérature régionale
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8 pages. Temps de lecture estimé 06min.
Qui pourrait rester indifférent aux couleurs basques, à cette luminosité qui vous transporte dès que vous en êtes imprégné ? Ces couleurs omniprésentes jouent des rôles différents. Tantôt prédominantes, tantôt en toile de fond ou en éclairage subtil, elles viennent renforcer ces six nouvelles de leur chaleureuse présence. Et si cette admiration pour le Pays basque et ses couleurs était aussi l’occasion de mettre en scène une réalité tout autre ? Des personnages étonnants s’amusent à improviser, souvent avec humour, pour transcender des situations plus douloureuses. Dans des décors colorés et des scènes parfois surréalistes, beaucoup de personnages vivent des moments clés de leur existence. L’optimisme naïf des dénouements heureux peut surprendre, mais ne sert qu’à adoucir une réalité plus morose et à donner une lueur d’espoir.

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Affiche du document Une vie de riens — Une vie de riens
Michel Brignot
59min15
Littérature régionale
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79 pages. Temps de lecture estimé 59min.
Printemps 1944. La Bourgogne est encore occupée par les Allemands qui ont compris qu’ils vont perdre la guerre et sont prêts à tout. Marie est mariée à Louis, mère de 3 fils dont l’aîné, presque adulte, a choisi le mauvais camp. Elle partage sa vie entre Dijon, la grande ville, et Comblanchien, le modeste village familial en plein cœur du vignoble, au pied des carrières de marbre. Très souvent seule, elle n’a personne à qui se confier, à qui révéler ses doutes et ses peurs. Alors elle écrit. Jour après jour. Son cahier est son seul confident. Ce roman est l’histoire des derniers mois de l’Occupation racontée par cette femme, épouse et mère, prise au cœur de la tourmente. Avec son cœur et ses tripes. Et la vie de Marie va basculer quand tout s’écroulera autour d’elle.

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Affiche du document Fernand Rabant — Fernand Rabant
Jacques Tétu
03min45
Littérature régionale
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5 pages. Temps de lecture estimé 03min45.
Fernand Rabant, un nom que beaucoup de personnes ont encore en mémoire, même si l’homme était discret. À Saint-Aubin-du-Jura, son village, on l’appelait « Fernand ». Dans ce bourg agricole, il a cultivé ses champs sans très grande motivation. En fait, ses parents l’ont obligé à poursuivre l’exploitation de la ferme, refusant même qu’il passe son baccalauréat, considérant qu’un cultivateur n’avait pas besoin de diplômes, et surtout pour ne pas être tenté de poursuivre des études qui l’éloigneraient du métier de paysan. Fils unique, il se conforma à leurs désirs, mais il ne cacha pas préférer se cultiver lui-même, plutôt que cultiver ses terres. L’archéologie et l’histoire de sa région natale furent ses distractions. Les locaux d’archives et les sites historiques furent ses lieux privilégiés. Les archéologues, historiens et autres érudits furent ses amis. Labourant la terre avec ses bœufs, Fernand s’arrêtait à chaque émergence d’une pierre qu’il observait minutieusement. Durant sa vie qui couvre presque la totalité du XXe siècle, il a écrit des centaines de notes et d’articles relatant l’histoire de sa région. Edmond Vadant et moi-même, anciens correspondants de presse, l’avons souvent sollicité pour écrire nos articles relatant l’histoire. Dans ce livre qui est un hommage à cet érudit et autodidacte saint-aubinois, près de 130 notes et articles relatant l’histoire locale et régionale sont reproduits.

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