Catalogue - page 12

Affiche du document Le Bronze des Fédérés

Le Bronze des Fédérés

Bertrand Picard

18min45

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25 pages. Temps de lecture estimé 19min.
Antoine Frisquet, un jeune ouvrier de Belleville, est garde national comme son père, François, pendant le siège de Paris, en 1870. En accompagnant François blessé au cours d’un affrontement, il fait la connaissance d’une infirmière, Louise, qui soigne François à l’ambulance de la porte de Clichy. Les jeunes gens s’aiment malgré leurs différences sociales, Louise étant la fille d’un riche banquier de la plaine Monceau. Antoine et François prennent part à la sortie manquée de Buzenval puis à la manifestation du 22 janvier 71, à l’Hôtel de Ville, au cours de laquelle François est tué par les gardes municipaux. L’armistice, puis l’entrée des Prussiens dans la capitale et enfin la tentative du gouvernement Thiers de récupérer l’artillerie de la Garde nationale déclenchent l’insurrection du 18 mars à laquelle Antoine participe à Montmartre aux côtés de Louise Michel. Louise et Antoine poursuivent, malgré tout, leur idylle à travers Paris insurgé, assistent avec horreur à la répression puis contribuent à l’affrontent contre les troupes versaillaises au cours de la Semaine sanglante. Antoine est grièvement blessé au combat le 25 mai place du Château d’Eau aux côtés de Delescluze et Louise le soigne dans le réduit de Belleville. Elle parvient finalement à le sauver en organisant, avec l’aide de son père, son évasion de Paris.
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Affiche du document Fleur de bataille

Fleur de bataille

Philippe Penguy

58min30

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78 pages. Temps de lecture estimé 58min.
Un serviteur vint chuchoter quelque chose à l’oreille du duc. Celui-ci fit un geste en direction du peintre qui interrompit son travail. — Nous allons faire une pause, on m’annonce que Maître Fiore dei Liberi est arrivé. La musique se tut, le peintre posa son pinceau, et tous les regards se tournèrent vers le nouveau venu. Fiore entrait, vêtu simplement, ses bottes nettoyées, ses habits brossés. Il ne portait pas d’épée, juste sa dague au côté. Les courtisans richement vêtus regardaient avec curiosité cet homme de taille moyenne qui approchait la soixantaine, aux cheveux courts et gris, la taille mince sous la poitrine puissante, la démarche tranquille, les traits burinés sous les yeux gris. Il traversa la salle et posa un genou en terre au pied du trône. Le prince laissa passer un temps. — Ainsi donc, vous voici arrivé jusqu’à nous. Il y a longtemps que je vous fais chercher, Maître dei Liberi. — Je vous prie d’excuser le temps que j’ai mis à venir jusqu’à vous, Excellence. — Votre Art est puissant dit-on, et... secret également ? — Non point secret Excellence, simplement discret. Si tout le monde était au fait de l’Art du combat, il perdrait de son efficacité. — Ainsi donc, il suffit de connaître les techniques de l’Art du combat que vous enseignez pour vaincre ? — Je n’ai pas dit cela, votre Excellence. Sans le cœur et le courage, aucun homme ne peut gagner. L’homme dont la peur guide les pas n’a que faire de la science des armes. Mais en disant cela, je ne vous apprends rien. — Voilà une parole sensée. Mais pour moi j’ajouterai simplement que les coups secrets n’existent pas. Un cœur ferme, des muscles solides, l’entraînement aux armes sont suffisants. Le reste n’est que poudre aux yeux.
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