Catalogue - page 1

Affiche du document Bantu Holomisa

Bantu Holomisa

Bantu Holomisa

3h03min00

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244 pages. Temps de lecture estimé 3h03min.
Bantu Holomisa is one of South Africa’s most respected and popular political figures. Born in the Transkei in 1955, he attended an elite school for the sons of chiefs and headmen. While other men his age were joining Umkhonto weSizwe, Holomisa enrolled in the Transkeian Defence Force and rose rapidly through the ranks. As head of the Transkeian Defence Force, Holomisa led successive coups against the homeland regimes and then became the head of its military government. He turned the Transkei into a ‘liberated space’, giving shelter to ANC and PAC activists, and declared his intention of holding a referendum on the reincorporation of the Transkei into South Africa. These actions brought him immense popularity and the military dictator became a liberation hero for many South Africans. When the unbanned ANC held its first election for its national executive in 1994, Holomisa, who had by now joined the party, received the most votes, beating long-time veterans and party stalwarts. He and Mandela developed a close relationship, and Holomisa served in Mandela’s cabinet as deputy minister for environmental affairs and tourism. As this biography reveals, the relationship with both Mandela and the ANC broke down after Holomisa testified before the Truth and Reconciliation Commission, among other issues, that Stella Sigcau and her cabinet colleagues had accepted a bribe from Sol Kerzner. After being expelled from the ANC, Holomisa formed his own party, the United Democratic Movement, with Roelf Meyer. As leader of the UDM, Holomisa has played a prominent role in building coalitions among opposition parties and in leading important challenges to the dominant party. This biography, written in collaboration with Holomisa, presents an engaging and revealing account of a man who has made his mark as a game changer in South African politics.
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Affiche du document The Copyright Pentalogy

The Copyright Pentalogy

2h45min45

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221 pages. Temps de lecture estimé 2h46min.
In the summer of 2012, the Supreme Court of Canada issued rulings on five copyright cases in a single day. The cases represent a seismic shift in Canadian copyright law, with the Court providing an unequivocal affirmation that copyright exceptions such as fair dealing should be treated as users’ rights, while emphasizing the need for a technology neutral approach to copyright law. The Court’s decisions, which were quickly dubbed the “copyright pentalogy,” included no fees for song previews on services such as iTunes, no additional payment for music included in downloaded video games, and that copying materials for instructional purposes may qualify as fair dealing. The Canadian copyright community soon looked beyond the cases and their litigants and began to debate the larger implications of the decisions. Several issues quickly emerged. This book represents an effort by some of Canada’s leading copyright scholars to begin the process of examining the long-term implications of the copyright pentalogy. The diversity of contributors ensures an equally diverse view on these five cases, contributions are grouped into five parts. Part 1 features three chapters on the standard of review in the courts. Part 2 examines the fair dealing implications of the copyright pentalogy, with five chapters on the evolution of fair dealing and its likely interpretation in the years ahead. Part 3 contains two chapters on technological neutrality, which the Court established as a foundational principle of copyright law. The scope of copyright is assessed in Part 4 with two chapters that canvas the exclusive rights under the copyright and the establishment of new “right” associated with user-generated content. Part 5 features two chapters on copyright collective management and its future in the aftermath of the Court’s decisions. This volume represents the first comprehensive scholarly analysis of the five rulings. Edited by Professor Michael Geist, the Canada Research Chair in Internet and E-commerce Law at the University of Ottawa, the volume includes contributions from experts across Canada. This indispensable volume identifies the key aspects of the Court's decisions and considers the implications for the future of copyright law in Canada.Published in English.
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Affiche du document Robotum criminalis : Analyse prospective de l’application des concepts de droit pénal aux robots intelligents

Robotum criminalis : Analyse prospective de l’application des concepts de droit pénal aux robots intelligents

Kevin Moustapha Adou

3h00min00

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240 pages. Temps de lecture estimé 3h00min.
Le robot capable de penser et d’agir comme un être humain, c’est le fantasme de l’humanité depuis l’antiquité. De la même façon que Dieu nous créa à son image, nous estimons que nous avons le pouvoir et possiblement le devoir de créer une créature qui nous ressemble. C’est donc dans cette dynamique, dans cette sorte de transfert ontologique, que l’Homme s’inscrit lorsqu’il aborde toutes les questions relatives aux robots intelligents. Suscitant à la fois la crainte et la fascination, le phénomène s’est depuis quelques années invité dans les méandres du droit. En tentant de se frayer un chemin vers un monde que les sciences technologiques, la littérature, le cinéma et même la philosophie côtoient déjà, le droit et plus précisément le droit pénal, souhaite lui aussi pouvoir tirer son épingle du jeu afin d’anticiper les répercussions de cette révolution robotique. C’est donc sous le prisme du Robotum criminalis, une entité robotique intelligente qui de son propre chef ou sous le contrôle de l’être humain commet des crimes, qu’il faudra s’appuyer pour comprendre le phénomène. Par ce biais, il sera ainsi possible de démontrer que la norme pénale peut constituer un formidable instrument de décryptage de toutes les questions relatives à la robotique et à l’intelligence artificielle. Avant-gardiste sans pour autant verser dans l’imaginaire, cet ouvrage tente de tracer via le droit pénal, une avenue qui permettra d’anticiper les potentielles conséquences juridiques d’une introduction progressive de robots intelligents au sein de nos sociétés.
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Affiche du document Histoires de Notariat au Sénégal (1786 - 1986)

Histoires de Notariat au Sénégal (1786 - 1986)

Daniel-Sédar Senghor

6h11min15

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495 pages. Temps de lecture estimé 6h11min.
Le notariat sénégalais est l’un des plus anciens du continent africain, avec des origines remontant à 1786, peu après la fin de la guerre franco-britannique de Sept Ans et le retrait des Anglais de Saint-Louis-du-Sénégal. À cette époque, l’Administration coloniale avait institué des Greffiers-Notaires, fonctionnaires cumulant les rôles de Greffier et de Notaire, en attendant l’avènement d’une activité suffisante pour justifier leur séparation.L’auteur, à travers des recherches approfondies, a retracé la biographie des pionniers du notariat sénégalais dans leur contexte historique. Son étude, répartie en deux volumes, couvre deux siècles de pratique. Le premier volume (1786–1893) traite des « greffe-notariats » dans les îles de Saint-Louis et de Gorée, qui ont été les premiers arrondissements de la Colonie du Sénégal.Le second volume commence en 1893, avec le décret qui sépare les fonctions de Greffe et de Notariat, marquant le début de l’exercice libéral de la profession. Ce volume est divisé en deux parties : la première sur le Notariat colonial, la seconde sur la période post-indépendance, mettant en lumière les premiers notaires sénégalais qui fonderont, en 1987, la Chambre des Notaires du Sénégal.Bien que non exhaustive, cette étude rassemble un grand nombre d’informations issues de décennies de recherches, sans prétendre être une œuvre d’historien ni couvrir toute la documentation existante.
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Affiche du document Histoires de Notariat au Sénégal (1786 - 1986)

Histoires de Notariat au Sénégal (1786 - 1986)

Daniel-Sédar Senghor

6h11min15

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495 pages. Temps de lecture estimé 6h11min.
Le notariat sénégalais est l’un des plus anciens du continent africain, avec des origines remontant à 1786, peu après la fin de la guerre franco-britannique de Sept Ans et le retrait des Anglais de Saint-Louis-du-Sénégal. À cette époque, l’Administration coloniale avait institué des Greffiers-Notaires, fonctionnaires cumulant les rôles de Greffier et de Notaire, en attendant l’avènement d’une activité suffisante pour justifier leur séparation.L’auteur, à travers des recherches approfondies, a retracé la biographie des pionniers du notariat sénégalais dans leur contexte historique. Son étude, répartie en deux volumes, couvre deux siècles de pratique. Le premier volume (1786–1893) traite des « greffe-notariats » dans les îles de Saint-Louis et de Gorée, qui ont été les premiers arrondissements de la Colonie du Sénégal.Le second volume commence en 1893, avec le décret qui sépare les fonctions de Greffe et de Notariat, marquant le début de l’exercice libéral de la profession. Ce volume est divisé en deux parties : la première sur le Notariat colonial, la seconde sur la période post-indépendance, mettant en lumière les premiers notaires sénégalais qui fonderont, en 1987, la Chambre des Notaires du Sénégal.Bien que non exhaustive, cette étude rassemble un grand nombre d’informations issues de décennies de recherches, sans prétendre être une œuvre d’historien ni couvrir toute la documentation existante.
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