Catalogue - page 11180

Affiche du document Garfield - Tome   32 - Le Début de la faim

Garfield - Tome 32 - Le Début de la faim

Jim Davis

  • Humour
  • Jeunesse
Voilà un grand jour, pour Jon : il va changer l'ampoule du frigo. Il faut dire que, dans l'ensemble, sa vie est toujours aussi vide. Pourtant, il est équipé : il a un répondeur, un e-mail, un portable et un biper, pour pouvoir être joint en toute circonstance. L'ennui, c'est que personne ne cherche à la joindre. Et toutes les filles avec qui il aimerait sortir sont prises samedi, et le samedi suivant, et le suivant, et le suivant, etc. Ou alors elles tombent malades en même temps. Pas de bol. Jon a tout de même des satisfactions. En tant que maître de maison, c'est lui qui donne des ordres à Garfield. Et en tant que chat de la maison, Garfield se permet de les ignorer. Comme ça, les vaches sont bien gardées. Garfield vit parfois des choses bizarres : il a l'air en forme, alors qu'il est de très mauvais poil. Ça lui complique la vie. Odie, lui, pète la forme sans aucune nuance. Le problème, c'est qu'il n'y a pas de bouton pour l'éteindre. Toujours aussi sportif, Garfield préfère le papier peint à fleurs aux expéditions dans la nature. Et la pâtée en boîte à la souris vivante, qui a une paix royale chez lui. Elle est sympa, d'ailleurs. Elle vient lui proposer de lui couper sa viande, puisqu'il atteint l'âge canonique de vingt ans. Et combien de kilos ? On ne sait pas, mais sa balance hurle; faites évacuer l'appareil; quand il monte dessus. Ça demanderait peut être un petit régime, mais c'est trop tard : Garfield vient de commander dix mille pizzas au Père Noël.
Forfait
Affiche du document Garfield - Tome   28 - fait des vagues

Garfield - Tome 28 - fait des vagues

Jim Davis

  • Humour
  • Jeunesse
Autrefois, les chats étaient des chasseurs intrépides. Aujourd'hui, ils demandent de l'aide pour sortir le fromage du plastique. Et quand Garfield attrape une souris, il lui met une étiquette et la relâche dans la nature. Ça s'appelle travailler à la conservation de l'espèce. Malgré tout, il a gardé une ouïe extrêmement fine, qui lui permet d'identifier sa proie : " crontch, crontch, crontch ", c'est du pain grillé. A part ça, il déteste toujours le lundi. C'est le jour où il se ramasse la figure sur les ballons, où Jon l'écrabouille entre la porte et le mur, où il rigole tellement qu'il avale une guêpe. Ce jour-là, pour se sentir d'attaque, Garfield a besoin de serrer deux fois son ours dans ses bras. Quant à Jon, sa cote amoureuse est au plus bas. Hélène ne veut pas sortir avec lui : elle ne ressent rien pour lui, même pas de pitié. Elle organise une fête, mais elle n'a pas envoyé d'invitation à Jon, et pour être plus sûre, elle a flingué le facteur. A part ça, le répondeur de Joanne lui raccroche au nez, et aucune fille ne veut passer le réveillon avec lui, même l'horloge parlante. Il paraît qu'au hit-parade du spécimen masculin pitoyable, il arrive deuxième. Garfield aimerait bien voir le premier. Côté états d'âme, la vie de Garfield est une lutte perpétuelle entre le bien et le mal : doit-il virer Odie d'un coup de pied, ou d'un petit coup de coude accidentel ? Et il se sent coupable d'avoir bouffé toute la boîte de beignets : c'étaient ses amis. Pour le reste, tout va bien : Jon travaille et il ne fait rien, ça nous donne un équilibre impeccable entre le yin et le yang.
Forfait

...

x Cacher la playlist

Commandes > x
     

Aucune piste en cours de lecture

 

 

--|--
--|--
Activer/Désactiver le son