Catalogue - page 121

Affiche du document Cubitus (Nouv.Aventures) - Tome 1 - En avant toute ! - Tome    1 -

Cubitus (Nouv.Aventures) - Tome 1 - En avant toute ! - Tome 1 -

Pierre Aucaigne

  • Humour
  • Jeunesse
Malgré une longue absence due à la disparition inopinée de son créateur, Cubitus est resté très cher au cœur des bédéphiles de 7 à 77 ans. Le revoici adopté par deux nouveaux maîtres, mais tout à fait égal à lui-même… Avec le gros toutou sympa Cubitus, star de la bande dessinée, de la télé, de la publicité et de produits dérivés très variés, le regretté Dupa avait réussi l’exploit de raconter les aventures délicieusement burlesques d’un autre lui-même. Les mésaventures humoristiques de cette «énooorme» et affectueuse boule de poils blancs, de son brave maître Sémaphore et de son meilleur ennemi, le chat Sénéchal, avaient donné lieu à un 39e album posthume. Depuis bientôt cinq ans, les fans se désolaient de devoir demeurer sans nouvelles de ces personnages qui les avaient amusés pendant plus de 30 ans. Que les nostalgiques de cette série se consolent ! La voici qui reprend avec la sortie d’un nouvel album réalisé par de nouveaux auteurs avec un respect au ton et au graphisme original qui force l’admiration. Le scénariste, et c’est une réjouissante révélation en BD, n’est autre que le populaire comique Pierre Aucaigne. Le dessinateur, c’est Michel Rodrigue qui assure la reprise des enquêtes du colonel Clifton. Croquis préparatoires de Rodrigue Clin d'oeil : quand Cubi se prend pour un héros de BD ! Avec Cubitus, Michel Rodrigue et Pierre Aucaigne sont les parrains d'une association suisse d'éducation de chiens d'assistance pour personnes handicapées moteur : photos et plus d'infos sur cette initiave
Forfait
Affiche du document Coeur Tam-Tam - Tome    1 -

Coeur Tam-Tam - Tome 1 -

Olivier Berlion

  • Jeunesse
  • Action et mystères
Installé dans sa cabane à l'écart de la ville, dans un coin de campagne française, Eugène Rabier coule une retraite paisible. Oh, il a bien ses petites contrariétés, comme tout le monde. Le maire veut à tout prix racheter son lopin de terre pour implanter une raffinerie, et les gosses se moquent un peu de lui. Mais dans l'ensemble, ça peut aller. Jusqu'au jour où une bande de types cagoulés et armés jusqu'aux dents viennent le réveiller en sursaut. Ils sont à la recherche d'un livre qu'Eugène a écrit, il y a bien longtemps, à l'époque où il s'occupait d'une palmeraie en Afrique. Son titre ? Précis de culture de l'elaeis au Congo belge. Attention, ils ne rigolent pas : voilà deux ans qu'ils essaient de mettre la main dessus. Coup de chance, Eugène possède le seul exemplaire survivant. Mais il se demande bien pourquoi ce bouquin anodin – 14 exemplaires vendus, une vraie misère ! – suscite une telle convoitise... Coeur Tam-tam, ce n'est pas vraiment un polar. Même si l'on croise quelques macchabées, un magot planqué, des coups de feu qui claquent et de vrais méchants. C'est d'abord une rencontre : celle entre un écrivain et un dessinateur. L'écrivain, c'est Tonino Benacquista. Auteur de polars comme La maldonne des sleepings ou Les Morsures de l'aube, scénariste pour le cinéma et la bande dessinée (L'Outremangeur et La Boîte noire, avec Jacques Ferrandez aux pinceaux). D'ailleurs, il n'aime pas tellement s'entendre qualifier d' " écrivain " ou de " scénariste ". Il préfère dire qu'il " travaille la fiction ", que " chaque histoire possède sa forme propre et exige une manière d'être racontée s'imposant d'elle-même : roman, nouvelle ou scénario ". Le dessinateur, c'est Olivier Berlion, qui s'est fait connaître avec les sagas des Soupetard et des Sales Mioches. L'histoire qui les a réunis est une nouvelle de quinze pages publiée par le premier, voilà une dizaine d'années, dans un recueil intitulé La Machine à broyer les petites filles. Un de ces textes qui faisaient naître des images dans sa tête et n'attendaient que de trouver leur prolongement visuel. Ensemble, ils ont composé une bande dessinée qui oscille entre réalisme et fantaisie pure. Avec quelques détours réjouissants par l'ethnologie amusante, la sociologie urbaine (ah, les relations de voisinage dans une petite ville de province, quel bonheur !), le joyeux délire et le polar classique de pure facture (dialogues savoureux dignes de Michel Audiard à l'appui). L'Afrique vue par Benacquista et Berlion possède un petit air de Tintin au Congo plutôt rigolo – le maniement du second degré étant bien sûr fortement conseillé, ami lecteur. Bref, c'est un récit complet, dans tous les sens du mot. Les décors sont particulièrement soignés, servis par ce sens subtil de la lumière qui caractérise le travail d'Olivier Berlion. Eugène Rabier est tout simplement parfait, et sa renaissance fait plaisir à voir. Dans Coeur Tam-tam, il y a de la nostalgie, de la tendresse, pas mal d'humour et un vrai suspense, mitonné aux petits soins par un Benacquista en grande forme. Mais jamais, au grand jamais, de cynisme, de mépris pour les personnages ou de " morale de l'histoire " (ou alors, peut-être, celle selon laquelle voler un voleur n'est pas vraiment du vol). À la fin, le lecteur se dit qu'Eugène Rabier a tout compris du bonheur. Lequel est finalement aussi simple qu'une partie de cartes à l'ombre d'un palmier africain, sous le regard protecteur d'un grand serpent à l'air nonchalant.
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