Catalogue - page 207

Affiche du document Les Forceurs de blocus

Les Forceurs de blocus

Jules Verne

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68 pages. Temps de lecture estimé 51min.
LES FORCEURS DE BLOCUSJules VerneCollection« Les classiques YouScribe »Faites comme Jules Verne,publiez vos textes sur YouScribeYouScribe vous permet de publier vos écrits pour les partager et les vendre.C’est simple et gratuit.Suivez-nous sur : ISBN 978-2-8206-1048-5Le DelphinLe premier fleuve dont les eaux écumèrent sous les roues d'un bateau à vapeur fut la Clyde. C'était en 1812. Cebateau se nommait la Comète et il faisait un service régulier entre Glasgow et Greenock, avec une vitesse de sixmilles à l'heure. Depuis cette époque, plus d'un million de steamers ou de pocket-boats ont remonté ou descendu lecourant de la rivière écossaise, et les habitants de la grande cité commerçante doivent être singulièrementfamiliarisés avec les prodiges de la navigation à vapeur.Cependant, le 3 décembre 1862, une foule énorme, composée d'armateurs, de négociants, de manufacturiers,d'ouvriers, de marins, de femmes, d'enfants, encombrait les rues boueuses de Glasgow et se dirigeait vers Kelvin-Dock, vaste établissement de constructions navales, appartenant à MM. Tod et Mac Grégor. Ce dernier nom prouvesurabondamment que les fameux descendants des Highlanders sont devenus industriels, et que de tous cesvassaux des vieux clans ils ont fait des ouvriers d'usine.Kelvin-Dock est situé à quelques minutes de la ville, sur la rive droite de la Clyde ; bientôt ses immenseschantiers furent envahis par les curieux ; pas un bout de quai, pas un mur de wharf, pas un ...
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Affiche du document Vie et aventures de Martin Chuzzlewit - Tome II

Vie et aventures de Martin Chuzzlewit - Tome II

Charles Dickens

2h30min45

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201 pages. Temps de lecture estimé 2h31min.
VIE ET AVENTURES DE MARTIN CHUZZLEWIT -TOME IICharles DickensCollection« Les classiques YouScribe »Faites comme Charles Dickens,publiez vos textes sur YouScribeYouScribe vous permet de publier vos écrits pour les partager et les vendre.C’est simple et gratuit.Suivez-nous sur : ISBN 978-2-8206-0253-4CHAPITRE PREMIER. – Rencontre imprévue ; aperçuqui promet.Les lois sympathiques qui existent entre les barbes et les oiseaux, et la cause secrète de cette attraction en vertude laquelle celui qui rase les unes fait souvent commerce des autres, voilà des questions dignes d’exercer leraisonnement subtil des corps savants ; d’autant plus que leur examen pourrait bien n’aboutir à aucune conclusiondéfinitive. Il suffira de savoir que l’artiste capillaire qui avait l’honneur de loger mistress Gamp à son premier étage,cumulait la double profession de barbier et d’oiselier, et que ce n’était pas chez lui le fait d’une fantaisie originale, car ilavait en ce genre, dans les rues voisines et dans les faubourgs de la ville, une légion de rivaux.Ce digne logeur se nommait en réalité Paul Sweedlepipe. Mais on l’appelait généralement Poll Sweedlepipe ; etgénéralement aussi on était persuadé, entre amis et voisins, que c’était là son vrai nom de baptême.Hors l’escalier et l’appartement particulier du barbier logeur, la maison de Poll Sweedlepipe n’était qu’un vaste nidd’oiseaux. Des coqs de combat habitaient la cuisine ; des faisans arrachaient dans le grenier la ...
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Le Singe

Alphonse Daudet

06min45

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9 pages. Temps de lecture estimé 7min.
LE SINGEAlphonse DaudetCollection« Les classiques YouScribe »Faites comme Alphonse Daudet,publiez vos textes sur YouScribeYouScribe vous permet de publier vos écrits pour les partager et les vendre.C’est simple et gratuit.Suivez-nous sur : ISBN 978-2-8206-0263-3 Samedi, soir de paye. Dans cette fin de journée, qui est en même temps une fin de semaine, on sent déjà ledimanche arriver. Tout le long du faubourg, ce sont des cris, des appels, des poussées à la porte des cabarets.Parmi cette foule d'ouvriers qui déborde du trottoir et suit la grande chaussée en pente, une petite ombre se hâtefurtivement, remontant le faubourg en sens inverse. Serrée dans un châle trop mince, sa petite figure hâveencadrée d'un bonnet trop grand, elle a l'air honteux, misérable, et si inquiet ! Où va-t-elle ? Qu'est-ce qu'ellecherche ?… Dans sa démarche pressée, dans son regard fixe qui semble la faire aller plus vite encore, il y a cettephrase anxieuse : « Pourvu que j'arrive à temps… ! » Sur sa route on se retourne, on ricane. Tous ces ouvriers laconnaissent, et, en passant, accueillent sa laideur d'un affreux surnom : « Tiens, le singe… Le singe à Valentin quiva chercher son homme ». Et ils l'excitent : « Kss…kss…Trouvera, trouvera pas… » Sans rien entendre, elle va,elle va, oppressée, haletante, car cette rue qui mène aux barrières est bien dure à monter.Enfin la voilà arrivée. C'est tout en haut du faubourg, au coin des boulevards extérieurs. Une grande usine…On ...
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