Catalogue - page 2

Affiche du document Pour une école publique émancipatrice

Pour une école publique émancipatrice

Véronique Decker

59min15

  • Politique
  • Youscribe plus
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79 pages. Temps de lecture estimé 59min.
« Si l’école recule, ce n’est pas la responsabilité des maths modernes, des méthodes globales, du collège unique, c’est parce que socialement notre pays recule, car nous ne nous battons plus suffisamment pour maintenir ce qui paraissait être des acquis sociaux inébranlables. L’école ne fait que suivre l’abandon de la médecine scolaire, de la formation des enseignants, l’explosion de la précarité des familles et le désintérêt pour la “politique”. On ne saurait faire l’école sans se soucier de la société qui nous entoure, sans trouver des chaussures au petit Syrien qui arrive, sans chercher des solutions de relogement pour les enfants du bidonville rom, sans s’interroger sur ce qui nous pousse à avoir besoin d’aller dans des magasins le dimanche alors que tout le monde se doute que les enfants des caissières sont à l’abandon pendant ce temps. » Véronique Decker vit et travaille à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Institutrice puis directrice d’école depuis plus de trente ans, elle revendique la puissance éducative, créatrice et émancipatrice de l’école publique. Un message fort, combatif, plein d’humanité et d’empathie. Elle est l’autrice de Trop classe ! (Libertalia, 2016) et L’École du peuple (Libertalia, 2017). Véronique Decker est directrice d'école à Bobigny (93) et militante Freinet.
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Affiche du document Trop classe !

Trop classe !

Véronique Decker

48min00

  • Divers
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64 pages. Temps de lecture estimé 48min.
« Je m'appelle Véronique Decker. Depuis plus de trente ans, je suis institutrice. Et depuis quinze ans, directrice d'une école élémentaire à Bobigny : l'école Marie-Curie, cité scolaire Karl-Marx. À part sa localisation au pied des tours et au coeur des problèmes, notre école présente l'intérêt d'être une école "Freinet" où, dans le respect des règles du service public, nous pratiquons une pédagogie active, fondée sur la coopération. Même si l'expérience, parfois, peut me dicter des silences provisoires, je ne suis pas réputée pour mon habitude de me taire. » De Zébulon à Zyed et Bouna, sans oublier Albertine et Mélisa, N'Gwouhouno ou Yvette… du syndicat à la pédagogie de la « gaufre », des Roms à la maman sur le toit, Véronique Decker éclaire par petites touches le quotidien d'une école de « banlieue ». Au fil de ses billets, il est question de pédagogie, de luttes syndicales, de travail en équipe, mais surtout des élèves, des familles, des petits riens, des grandes solidarités qui font de la pédagogie un sport de combat… social. De l'autre côté du périph. Trop classe ! Véronique Decker est institutrice depuis plus de 30 ans. Et depuis quinze ans, directrice d’une école élémentaire à Bobigny : l’école Marie-Curie, cité scolaire Karl-Marx. Cette école présente l’intérêt d’être une école « Freinet ».
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Affiche du document Pédagogie et Révolution

Pédagogie et Révolution

Grégory CHAMBAT

1h00min00

  • Sciences humaines et sociales
  • Youscribe plus
  • Livre epub
  • Livre lcp
80 pages. Temps de lecture estimé 1h00min.
Cantonné à la seule question des moyens ou englué dans l’artificielle querelle opposant « réac-publicains » et pédagogistes, le débat autour de l’école est aujourd’hui dans l’impasse.Proposer une relecture des classiques de la pédagogie et questionner leur actualité à la lumière des enjeux présents est une manière de réactiver l’inspiration qui guidait les éducateurs d’hier.De Francisco Ferrer à Jacques Rancière, en passant par Célestin Freinet, Paulo Freire, Pierre Bourdieu ou Ivan Illich, ce recueil esquisse le bilan d’un siècle de pratiques et de luttes pour une éducation réellement émancipatrice.Ce parcours pédagogique empreinte également des chemins oubliés ou plus inattendus : l’apport du syndicalisme révolutionnaire, de Fernand Pelloutier à Albert Thierry, ou l’œuvre éducative de la révolution libertaire espagnole.Si la postérité a conservé la trace de quelques-unes des figures convoquées ici, elle ne doit pas nous faire oublier que le combat pour une école de la liberté et de l’égalité fut toujours une pratique collective et sociale. Enseignant depuis 1995, Grégory Chambat (né en 1974) travaille avec des élèves non francophones dans un collège de Mantes-la-Ville (78). Il coanime la revue N’Autre École. Il a publié Apprendre à désobéir (Libertalia, 2012) et L’École des barricades (Libertalia, 2014).
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Affiche du document Souvenirs d’une morte vivante

Souvenirs d’une morte vivante

Victorine Brocher

1h06min00

  • Histoire
  • Youscribe plus
  • Livre epub
  • Livre lcp
88 pages. Temps de lecture estimé 1h06min.
" Je défais mon drapeau qui était enroulé autour de ma poitrine. Je me souviens du premier jour où il nous fut remis, frais et brillant, avec son inscription en lettres dorées : “Défenseurs de la République” ; comme nous étions enthousiastes ce jour-là. Je me souviens des luttes que nous avons soutenues à l'ombre de ses plis flottants au vent lorsqu'il reçut les cinq premières balles, ses glorieuses blessures ranimaient notre courage. […] Que de héros morts en le contemplant ! Maintenant, c'est moi qui dois le brûler ! Notre drapeau renaîtra de ses cendres ; alors l'idée renouvelée et plus vivace que jamais, mieux comprise, aidera la marche du progrès vers un avenir social meilleur et plus humain. " Publié initialement en 1909, ce texte de Victorine Brocher (1839-1921) est l'un des rares et forts témoignages de femme du peuple, issue d'une famille militante, ayant traversé les insurrections de 1848 et de 1871. Ambulancière pendant la Commune, elle relate en une langue simple des événements vécus dans sa chair : le Second Empire, le siège de Paris, les privations, la mort de ses enfants, les espoirs nés avec la République sociale, la Semaine sanglante, l'exil et la survie enfin. « Victorine B. (de son vrai nom Victorine Brocher, 1839-1921) : une femme du peuple, une Parisienne. Elle a connu, elle a intensément vécu deux révolutions : celle de 1848 et celle de 1871. Elle était encore enfant lors de la première. Sous l’Empire, elle a, avec son mari, participé, dans un milieu très populaire, aux activités des internationalistes. Elle a vécu la Commune comme l’explosion de la colère du peuple contre toutes les trahisons de la bourgeoisie. »
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