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#135 Jason Brokerss : "ma soeur a pas Netflix"

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65 pages. Temps de lecture estimé 49min.
Jason Brokerss est un zigue apprécié pour sa franchise et le fait qu'il est dur en affaire. C'est à cause de sa famille qui vient de la périphérie (de Troyes dans l'Aube) donc en gros là bas pour dire qu'on s'aime on va pêcher à la rivière et après la mère elle t'enlève tes tiques.Jason et SML se sont rencontrés lors d'un tournage pour le lobby des fruits et légumes et d'ailleurs c'était aussi avec Léopold Lemarchand qui fait partie des prochains invités de À bientôt de te revoir voilà c'est juste pour dire que la vie est bien faite. On le remercie d'être venu dans le canapé pour nous raconter des faits et pas des opinions, comme que c'est sa femme qui prend ses rendez vous médicaux. C'est honnête et nous les gens honnêtes bah on adore.Pour venir assister à un enregistrement cliquez super fort sur ce lienCalme toi :Laura Laarman : productionLéa Jourdan : communicationLucie Meslien : illustration animation Caroline Bérault : illustrations Manon Carrour : vignette Joanna & Gaspar : générique Alexandre Duarte et Corentin Cohignac : programmationAnaïs Reinhardt : son Doriane Hugues : scenoDoriane Bossu : ass. déco Thibault Iacono : ass. déco Salomé Brussieux : stylisme Merci Agnès b studio paillettes et Levi’sMathilde Leroy : make up Etienne Rouillon & SML : montageMk2 : Isis Hobéniche : directrice de projetEmma Moschkowitz : directrice de production événementielleEtienne Rouillon : directeur de production audiovisuelleLou Poincheval : chargée de production audiovisuelle Vincent Desormeaux : directeur mk2 BibliothèqueJoao Carta : régisseur Philippe Leroy : régisseurMenad Mahiou : régisseur  Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Affiche du document L’Assemblée nationale lance une consultation citoyenne en ligne sur la toxicité de TikTok

L’Assemblée nationale lance une consultation citoyenne en ligne sur la toxicité de TikTok

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Depuis mercredi 23 avril, les Français sont invités à répondre à un questionnaire en ligne pour détailler leurs usages de TikTok et les dérives de l’application qu'ils ont constatées. Cette consultation citoyenne, ouverte à tous jusqu'au 31 mai, doit dresser un état des lieux sur les usages et le temps d'écrans des Français abonnés à la plateforme chinoise, indiquent les députés de la Commission « TikTok » de l’Assemblée nationale. Environ 40% des jeunes français entre 16 et 25 ans fréquentent quotidiennement TikTok. Le réseau social est depuis longtemps accusé dans de nombreuses études d’accélérer les « dépendances comportementales » de ses abonnés. Un phénomène inquiétant que les spécialistes de la protection de l’enfance nomment l'effet « rabbit hole ». Ce « terrier de lapin » est un gouffre sans fond, dénoncent-ils, dans lequel la plupart des jeunes, en consultant toujours les mêmes sujets en ligne, s’enfoncent de plus en plus profondément, jusqu’à l’enfermement. L'objectif de la consultation citoyenne en ligne qui vient d’être lancée par l’Assemblée nationale permettrait de dresser « un état des lieux des dérives et des contenus violents qui circulent sur la plateforme », indiquent les députés.Des outils de modération inefficacesLes députés s’interrogent aussi sur les outils de vérification de l’âge mis en place par TikTok, qu’ils jugent largement inefficaces. Des dispositifs qui ne respectent quasi jamais la législation française fixant la majorité numérique à 15 ans pour s’inscrire sans autorisation parentale sur un réseau social. Pourtant, le Règlement européen sur les services numériques, DSA, contraint les plateformes sociales, de mettre en place un « niveau élevé » de respect de la vie privée, de sûreté et de sécurité pour les enfants.Mais force est de constater que les dispositifs déployés par TikTok qui permettraient de protéger les mineurs, laissent franchement à désirer. D’autant que le réseau social fait désormais l’objet d’une plainte collective qui a été déposée par onze familles françaises. Elles reprochent à la plateforme de n’avoir rien fait pour supprimer la diffusion de vidéos incitant au suicide, à l’automutilation et dont certaines seraient à l’origine des troubles alimentaires sévères constatés chez de nombreux adolescents.Les contenus toxiques contaminent tous les réseaux sociauxLes pédopsychiatres soupçonnent aussi que les réseaux sociaux, et pas simplement TikTok, influenceraient certains jeunes à la santé mentale fragile à commettre des actes de violences. Un lien de cause à effet qui serait toutefois difficile de démontrer et toujours contredit par les enquêtes de terrain, quand survient un événement tragique comme celui du lycée de Nantes.Concrètement, l’enquête en ligne de l’Assemblée vise principalement les contenus de la plateforme chinoise en invitant les participants à répondre à une série de questions. Par exemple, « Trouvez-vous difficile de ne pas utiliser TikTok ? », ou plus précisément « Avez-vous déjà vu des contenus choquants ou violents sur TikTok ? ». La commission doit publier ses conclusions au plus tard ce 12 septembre. Ensuite, elle est chargée de déterminer les mesures à prendre ou les éventuelles sanctions qui obligeront TikTok à réguler plus efficacement ses contenus qui détruisent la santé mentale des jeunes internautes.
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Affiche du document Un dictionnaire pour démystifier les mots de l’actualité internationale

Un dictionnaire pour démystifier les mots de l’actualité internationale

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39 pages. Temps de lecture estimé 29min.
Des mots qui trompent, des mots vidés de leur sens, des formules toutes faites, instrumentalisées, qui évoluent avec le temps, au gré des conflits, et pour s’y retrouver : un nouveau « Dictionnaire de l’actualité internationale ». Ce travail mené par des chercheurs principalement spécialisés en droit, vise à décrypter l'actualité à travers les expressions employées par les médias. Ce sont quatre cent notices qui permettent une lecture critique de la façon dont les événements sont rapportés. Notre invité, Valère Ndior est professeur de droit public à l'Université de Brest et membre de l'Institut universitaire de France. Il est aussi membre de GEODE, pour Géopolitique de la datasphère, partenaire de cette émission.L’ouvrage collectif que nous présente le juriste Valère Ndior se veut avant tout un objet utile pour mieux comprendre le monde dans lequel on vit. Il a mobilisé 114 contributeurs provenant de 12 pays. Depuis la première édition du dictionnaire en 2021, une centaine de nouvelles entrées se sont ajoutées. Elles correspondent aux sujets qui ont fait l'actualité de ces quatre dernières années, avec une forte présence de termes liés au numérique, mais aussi à la crise sanitaire du Covid-19, et aux conflits en cours en Europe et au Moyen-Orient.Sa publication aux Éditions Pedone, a été permise grâce au soutien du laboratoire Lab-LEX (laboratoire de recherche en droit), de l'Université de Bretagne occidentale et de l'Institut universitaire de France.La chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : retour au franc, interdiction des espèces ? L’euro ciblé par les infoxLa chronique de Nora Litoussi des Observateurs de France 24 : Le Premier ministre britannique a-t-il embrassé un donateur controversé du Parti travailliste ?
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Affiche du document 100 jours d'économie sous Donald Trump : les États-Unis sur la corde raide ?

100 jours d'économie sous Donald Trump : les États-Unis sur la corde raide ?

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77 pages. Temps de lecture estimé 58min.
Cent jours après l’investiture de Donald Trump, Éco d’ici Éco d’ailleurs s'installe aux États-Unis et prend le pouls d’une Amérique plus divisée que jamais. De New York au Texas, en passant par la Californie, le Wisconsin et jusqu’à la frontière canadienne, nous explorons les grands enjeux économiques de la première puissance mondiale au centre des attentions : inflation, inégalités sociales, avenir des énergies, tensions migratoires, réactions des marchés financiers, du secteur de la tech, etc.  ????️ L’éclairage d'un expert???? Thomas Philippon, professeur à la Stern School of Business de New YorkAnalyse de la stratégie économique de Donald Trump, des risques de récession, du bras de fer avec la FED et des conséquences pour les petites entreprises.????️ « Les inégalités risquent de s’accroître et les PME de souffrir davantage. »????️ « Donald Trump a un plan autoritaire pour mettre au pas les milieux d'affaires. »????️ « La destruction de valeur par Elon Musk chez Tesla, je ne crois pas qu'il y ait d'équivalent dans l'histoire du capitalisme. »???? Son dernier ouvrage : Les Gagnants de la concurrence, Quand la France fait mieux que les États-Unis (Seuil) ???? Témoignages et reportagesVu de New York : Trump, le président du peuple ou des élites ????? Entretien avec Julie Girard, essayiste franco-américaine et auteure des Larmes de Narcisse (Gallimard).Elle partage son regard sur l’Amérique de Trump, ses divisions et ses paradoxes. ????️ « Le chaos rebat les cartes, et crée des opportunités. Mais pour qui ? »Texas : guerre commerciale et immigration???? Reportages de Nathanaël Vittrant à Houston et Dallas : conséquences économiques immédiates pour les commerçants, frayeurs dans la communauté latino et inquiétudes sur le pétrole et l’avenir énergétique.????️ Gustavo Reyes, commerçant à Houston :« Au niveau des prix, le marché est un peu fou »Wisconsin : secteur du café et droits de douane☕ Témoignage de Steve Yeazel, co-propriétaire de True Coffee Roasters :« Les droits de douane nous mettent à mal. Et les Américains sont-ils prêts à payer plus cher pour leur café ? Rien n’est moins sûr. » Windsor (Canada) : l’automobile à l’épreuve???? Reportage de Marine de La Moissonnière sur les lignes de production Chrysler à Windsor, côté canadien.Conséquences de la politique économique américaine sur l’emploi, le commerce et les relations transfrontalières.????️ Blaise Désaulniers, ouvrier chez Chrysler« Donald Trump veut toujours flouer les autres. Avec ses amis, il faut être équitable. »  Californie : la Silicon Valley désenchantée ????? Éclairage de Loïc Pialat en Californie sur les espoirs déçus des géants de la Tech et les défis économiques et sociaux du plus grand État américain. ???? Playlist de l’émission Jay Z & Alicia Keys - Empire State of Mind Clinton Fearon - Sleepwalking Tay Zonday - Mama Economy Texas Flood - Stevie Ray Vaughan Childish Gambino - This is America.
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Affiche du document «Olo», une nouvelle couleur que l’œil humain pourrait désormais voir

«Olo», une nouvelle couleur que l’œil humain pourrait désormais voir

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Des chercheurs de l’Université de Berkeley en Californie ont mis au point un dispositif qui a permis à cinq personnes de voir une couleur totalement nouvelle pour l’œil humain. Cette teinte, jamais observée dans des conditions naturelles, a été dénommée « Olo » par ses découvreurs. Cette découverte doit tout à la recherche fondamentale sur les rétines humaines qui sont composées d’une membrane tapissant le fond de nos globes oculaires. Elles sont recouvertes de millions de cellules photosensibles réagissant à la lumière. Les plus nombreuses, qui se nomment les bâtonnets, sont spécialisées dans une réception lumineuse de basse intensité, permettant ainsi de voir le monde dans des nuances de gris.Les autres, dénommées les cônes dont il existe uniquement trois types, réagissent aux différentes fréquences du spectre lumineux. Nous trouvons ainsi des cônes sensibles au rouge, d’autres au bleu et des cellules dotées d’une appétence certaine pour le vert. L’interaction entre les cônes qui mélangent à qui mieux mieux deux couleurs primaires et une secondaire, permet ainsi de générer la quasi-totalité des autres teintes que nous observons dans notre environnement.Ce phénomène qui semble magique est depuis toujours expérimenté par les enfants lors des activités ludiques consacrées à la peinture, en maternelle et en grande section. Les signaux électrochimiques de cette combinaison des couleurs seront transmis par les cellules au centre de la vision du cerveau, qui les interprétera alors en millions de nuances colorés. En revanche, les personnes atteintes de daltonisme, c’est-à-dire de la déficience de la vision des couleurs due à l’absence d’un ou deux de ces cônes, vivront dans un monde monochrome et plutôt tristounet.Oz, un dispositif expérimental complexeC'est en voulant aider des personnes à retrouver le sens perdu des couleurs que les chercheurs de Berkeley sont parvenus à voir la nouvelle teinte « Olo ». Et pour parvenir à ce résultat, les scientifiques ont manipulé le cône qui est sensible aux ondes correspondant au vert à l’aide d’un système expérimental complexe qu’ils ont dénommé Oz. Une référence directe, précisent-ils, aux lunettes vertes portées par le Magicien d’Oz. Des binocles colorés qui faussaient, par ailleurs, sa perception du monde, dans la Cité d’Émeraude.Concrètement, le dispositif des chercheurs qui est piloté par ordinateur, envoie des micro-impulsions laser ultra-localisées visant exclusivement les cônes sensibles au vert, mais sans jamais exciter les autres cellules. Les cinq scientifiques du laboratoire de Berkeley qui se sont portés volontaires, sont devenus ainsi les seuls au monde à avoir pu observer la nouvelle couleur « Olo ». Tous les participants la situent entre une teinte « de bleu et de vert, mais d'une saturation sans précédent ». Ils estiment, en revanche, manquer d’un vocabulaire adapté pour décrire ce qu’ils ont réellement vu.Augmenter artificiellement la perception des couleursLes chercheurs affirment que la teinte « Olo » ne résulte pas d’une hallucination visuelle. Ce que semblent confirmer leurs travaux qui ont été publiés dans la revue Science Advances. En revanche, « nous ne savions pas, si le cerveau était capable d’interpréter cette nouvelle couleur », indiquent-ils. Les chercheurs envisagent maintenant de développer un système pour reprogrammer les photorécepteurs de la rétine des personnes atteintes de daltonisme.Ils espèrent aussi pouvoir augmenter artificiellement la perception humaine assez limitée des couleurs, et bien au-delà de la lumière dite visible. Ils entrevoient ainsi la possibilité de percevoir les véritables teintes de l’infrarouge, des ondes wifi, ou encore des ultraviolets. Une vision surhumaine qui deviendrait, dans ce cas, infiniment supérieure à celle dont est prétendument doté Superman. Héros absolu, mais petit joueur, qui se contente de ne voir que les rayons X.
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Climat : Trump a-t-il les moyens de ses ambitions ?

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Le monde observe avec stupéfaction ou fascination, c’est selon, les décisions de Donald Trump depuis son investiture il y a maintenant trois mois. Ses nombreux décrets pour relancer l’exploration et l’exploitation du pétrole, du gaz et du charbon américains semblent très inquiétants. Alors oui cette politique symbolise un feu vert pour tous ceux qui ne veulent pas regarder la réalité du changement climatique en face et continuer à accélérer la croissance économique à tous prix. Mais contrairement à sa lutte frontale et méticuleuse contre la recherche et la science qui est dévastatrice, les ambitions de Donald Trump pour recréer un « paradis énergétique » américain basé sur les énergies fossiles risquent de se heurter à de nombreuses réalités économiques et sociales. Sa stratégie semble datée, basée sur celle du XXème siècle, quand les Etats-Unis bâtissaient leurs richesses sur l’exploitation de ces énergies au détriment de leur environnement.Avec Philippe Copinshi, docteur en relations internationales, spécialiste des questions énergétiques mondiales, maître de conférence à Science-Po et chercheur associé au think thank Zenon Research.Et le reportage de Cerise Maréchaud sur l’extraction du charbon dans les Appalaches :La chaîne montagneuse des Appalaches fait partie des merveilles naturelles américaine. C’est l'un de ses écosystèmes les plus riches mais cette région, qui embrasse la Virginie occidentale, la Virginie, l'est du Kentucky et le nord-est du Tennessee, est aussi surnommée "Coal Country", pour le charbon dont regorgent ses montagnes, exploité depuis 150 ans. A partir de la fin des années 70, quand le minerai noir devenait plus difficile à extraire en profondeur, une nouvelle méthode s'est imposée dans les Appalaches : l'extraction de surface, en anglais "mountain top removal". Cela signifie, littéralement, que le sommet des montagnes est éliminé, à la dynamite, laissant un cratère béant et stérile à la place. Cette méthode, qui aux Etats-Unis a ravagé une surface équivalant au Togo (50 000 km2), emploie très peu d'hommes mais a un impact énorme et irréversible sur l'environnement, la santé des mineurs et des habitants. Aujourd'hui, ces comtés miniers sont parmi les plus pauvres des Etats-Unis. Cerise Maréchaud s’est rendu à Black Mountain, en Virginie et à Eolia et Whitesburg, dans l'est du Kentucky. Programmation musicale : Jim Sullivan - So Natural
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Affiche du document Le Club de C'est pas du Vent - 23 avril 2025

Le Club de C'est pas du Vent - 23 avril 2025

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Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C’est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. AvecChaymaa Deb, rédactrice en chef de L'Iceberg, nous présente cette nouvelle revue sur les grands défis écologiques qui mêle sciences, arts et activisme. Vasile Damian, journaliste au service roumain de RFI nous parle du conflit qui oppose le Premier ministre roumain à des ONG, après l'annonce du début de forages pétroliers dans la Mer noire, au large des côtes roumaines. Le tout sur fond de campagne électorale et de guerre en Ukraine.Lucile Gimberg du service environnement de RFI nous présente la première étude sur l’impact de l’éco-anxiété sur la santé mentale des Français publiée par l'Observatoire de l’Eco-anxiété en partenariat avec l’ADEME.Pauline Gleize du service environnement de RFI revient sur la cartographie mondiale de la pollution aux métaux toxiques.La Chronique ePOP Science / (RFI Planète Radio/IRD) porte sur les abeilles, leur rôle dans la préservation de la biodiversité et les dangers qui les menacent, à partir du film Abeilles en détresse !, réalisé à Goma en RDC. Edmond Dounias, ethnobiologiste, directeur de recherche à l’IRD, apportera son éclairage sur ce sujet, au micro de Raphaëlle Pluskwa.La Chronique médias d’Anne-Sophie Novel.Programmation musicale :Stevie Wonder - We can work it outPat Kala - Cabossé (titre issu de la Playlist RFI).
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Affiche du document Le pape François, le premier à avoir pris pleinement le virage du numérique

Le pape François, le premier à avoir pris pleinement le virage du numérique

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Des selfies en pagaille, des milliers de messages sur les réseaux sociaux et les immanquables publications d’images plus saugrenues les unes que les autres générées par les IA génératives. Le pape François s’est largement démarqué de ses prédécesseurs, en employant le numérique pour moderniser l’Église catholique. Le pape François a été, par exemple, le premier à avoir réellement investi le compte Twitter officiel du pape, lancé en 2012, aujourd’hui suivi par plus de 18 millions de personnes. Mais le virage numérique du souverain pontife débute concrètement en août 2013 quand il réalise un selfie en compagnie d’adolescents qui visitaient le Vatican.Le cliché fait alors le tour du monde sur les plateformes sociales en suscitant l’enthousiasme des internautes. Fort du succès de buzz phénoménal, le pape François, que l’on peut aisément classer parmi les premiers véritable geek siégeant au Vatican, a demandé aussitôt à ses équipes de communication de produire chaque mois de courtes vidéos en ligne. Les premiers clips seront diffusés sur YouTube, mais d’autres plateformes suivront. Ces vidéos dispensaient des messages qui avaient sa préférence, comme d’encourager les jeunes générations à adopter un mode de vie plus respectueux de l’environnement, l’un de ses thèmes de prédilection.Une conquête du numérique à double tranchantComme en témoigne l’avalanche des clichés humoristiques qui l’ont caricaturé à l’extrême, le grimant tour à tour en rappeur, en dinosaure ou en fan de bébé Yoda, le personnage des films et des séries de Star Wars. Côté intelligence artificielle (IA), bien avant l’avènement de ChatGPT, ce n’était guère mieux. Avec la multiplication de petits programmes non commandités par le Vatican qui pastillent la Toile. Notamment le logiciel créé en 2016 par IBM qui reprenait le personnage de fiction Pie XIII, imaginé par Paolo Sorrentino dans la série, plutôt sulfureuse, The Young Pope.La mission du programme AIMen, sur un site dédié qui n’existe plus aujourd’hui, était de répondre directement aux internautes de manière contextualisée par un verset de la Bible et de faire, au passage, la promotion de la série télévisée.Le pape François, l’une des premières victimes de l’IA générativeEn particulier lorsqu’une fausse photo de lui, entièrement généré par une intelligence artificielle dénommée Midjourney, le représentant revêtu d’une énorme doudoune, est devenue virale en 2023.Pourtant convaincu qu’Internet et le numérique sont des « cadeaux de Dieu », favorisant « les rencontres et la solidarité », il a mis en garde les internautes des dangers du cyberharcèlement sur les réseaux sociaux et de la « manipulation » des consciences, dont font preuve toutes les IA génératives. À voir aussiLe pape François et la voie de l'inculturation
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Affiche du document Le nom du prochain souverain pontife selon ChatGPT

Le nom du prochain souverain pontife selon ChatGPT

03min00

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Selon les règles très strictes du Vatican, les 135 cardinaux électeurs se réuniront début mai entre les murs de la chapelle Sixtine afin d’élire le prochain souverain pontife. Et les pronostics sur le résultat de cette élection pastillent désormais les réseaux sociaux. Des prédictions qui sont principalement établies à l’aide des IA génératives. Lors du décès du chef de l’Église catholique, les cardinaux de moins de 80 ans se réunissent en conclave dans la chapelle Sixtine au Vatican. Ils prêtent alors un serment de confidentialité et, à la suite d’une messe d’ouverture, commencent à voter. Le scrutin se déroule à bulletin secret jusqu’à obtenir une majorité des deux tiers pour désigner le nouveau souverain pontife à raison de quatre sessions par jour. À chaque séance, les bulletins qui sont brûlés délivrent, par une cheminée visible depuis la place Saint-Pierre, une fumée noire si aucun pape n’a été élu ou blanche en cas d’élection définitive.Mais à moins de se déguiser en surmulot pour espionner les délibérations du conclave, rien ne fuitera sur la désignation du prochain pape. En revanche, les programmes d'intelligence artificielle (IA) comme ChatGPT disposent désormais de nombreuses données pour établir un pronostic en évaluant les chances de tel ou tel cardinal. La dernière version d’OpenIA s’est donc métamorphosée en oracle afin de calculer leur possibilité de l'emporter, en s'appuyant sur cinq critères précis. Notamment, la composition sociologique du collège électoral, la volonté d'une continuité ou d'une rupture du prochain pape qui serait ressenti par les fidèles, la gouvernance et la diplomatie dont il fera preuve. L'âge et la santé du futur capitaine du Saint-Siège rentre dans ces critères, ainsi que l'idéologie qui anime les candidats, qui devront négocier avec les différents courants internes de l’Église.Le prochain pape serait l'Italien Pietro Parolin, selon ChatGPT Le cardinal, qui est le secrétaire d'État actuel du Vatican, obtient ainsi une « probabilité de 28 % » de l’emporter. Particulièrement, avec l’appui d’une part importante des 53 Européens, surtout Italiens, désirant « ramener la papauté à la maison » pour assurer ainsi une transition en douceur de l’Église vers ses fondamentaux. Toutefois, Matteo Zuppi, l’archevêque de Bologne, lui passerait devant si les cardinaux décident d’adopter la ligne réformiste initiée par le pape François. Son challenger serait le Philippin Luis Antonio Tagle qui totalise un score de 24 %, étant soutenu par « la quasi-totalité des 23 cardinaux asiatiques, africains et latino-américains », envisage ChatGPT. Le Ghanéen Peter Turkson arrive en 5ᵉ position avec 12 % des intentions de votes. Mais l’IA lui a attribué le statut de « faiseur de roi » dans cette élection, plutôt que celui de favori. Évidemment, la façon dont vous rédigez votre prompt influencera terriblement les pronostics du programme.Les probabilités qu'un nom surprise soit vainqueur, restent élevées« Les conclaves de 1978 et 2013 nous le rappellent », argumente ChatGPT. Dans ce cas, le Français Jean-Marc Aveline aurait toutes ses chances. Notamment, « si les votes des cardinaux italiens, de l’Asie, de l’Amérique latine et ceux d’une partie de l’Afrique, se neutralisent », anticipe le logiciel. Bien sûr, le programme d’OpenAI, comme ceux de ses concurrents, est incapable de prédire l’avenir. Mais le résultat du conclave constituera, en revanche, une excellente évaluation des progrès dans le domaine des statistiques, dont seraient capables les IA génératives.À lire aussiLe pape François, le premier à avoir pris pleinement le virage du numérique
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Affiche du document Tsipora Sidibé - podcast et justice reproductive.

Tsipora Sidibé - podcast et justice reproductive. "Tant que je serai noire" est un espace d'empouvoirement

32min15

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43 pages. Temps de lecture estimé 32min.
Tsipora Sidibé est une femme pleine de ressources. Elle a créé le podcast "Tant que je serai noire" il y a cinq ans . Elle y abordait à l'époque de nombreux sujets que certain.es pourraient voir comme tabous. Pour autant, il s'agit de sujets nécessaires et qui ont ouvert pour beaucoup la voie , les voies de la liberté. Liberté de dire ce qui est bon ou pas pour nous. Durant notre échange nous évoquons la genèse du podcast et aussi toutes les autres directions que Tsipora a prises depuis. Tant que je serai noire est devenu un empire de l'empouvoirement . Je vous incite à la curiosité en écoutant notre échange et en allant voir le compte Instagram de Tant que je serai noire pour comprendre que tout est possible quand on veut reprendre le pouvoir sur son corps, ses pensées, sa vie.Le compte instagram de "Tant que je serai noire" : https://www.instagram.com/tantquejeserainoire/Si vous souhaitez me contacter il y a plein de façon de le faire :toutlemondepassesurletrone@gmail.comhttps://www.linkedin.com/in/aminata-bleas-sangare-2556041b9/https://www.instagram.com/toutlemondepassesurletrone/Le podcast est une création originale d'Aminata Bléas-Sangaré, tous les épisodes sont mixés par Alice Krief : https://www.lesbellesfrequences.com/Musique d'@axelle_nllt et de @nathanaelgriot. RAP d'@aluxgt. Identité graphique : @leaguyaMerci à Elise, Kerrian, Kensoah, Prune-Agathe, Noadiah et Charlélie pour leurs voix.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Affiche du document Un chewing-gum pour combattre les virus

Un chewing-gum pour combattre les virus

03min00

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Un chewing-gum réduisant fortement la présence des virus que nous ingérons par la bouche, notamment ceux de la grippe et de l’herpès, a été mis au point par une équipe de chercheurs américains et finlandais. Cette gomme à mastiquer renferme une protéine aux propriétés antivirales qui est extraite des haricots Lablab, originaires d’Afrique. Les maladies infectieuses d’origines virales, comme la grippe saisonnière, représentent depuis longtemps un fardeau sanitaire et des pertes économiques considérables pour tous les pays du monde, alerte régulièrement l’Organisation mondiale de la Santé. Mais il n’y a pas que la grippe ! Le virus de l’herpès, par exemple, avec sa transmission silencieuse, infecte environ 4 milliards de personnes de moins de 50 ans dans le monde. Cette maladie d’origine virale est, par ailleurs, incurable, rappelle l’OMS, en précisant que notre système immunitaire est incapable d’enrayer la multiplication du virus une fois qu’il est bien installé au cœur de nos cellules.Diminuer la charge virale des infectionsToutefois, il serait désormais possible de diminuer les charges virales avant qu’elles émigrent profondément dans notre organisme, annoncent des chercheurs américains de l’Université de Pennsylvanie et leurs collègues finlandais. Leur innovation consiste à mastiquer un chewing-gum intégrant une protéine spécifique capable neutraliser plusieurs virus, y compris ceux responsables de la grippe et de l’herpès. Ce « piège » à pathogènes, dénommé « FRIL », pour Flt3 Receptor Interacting Lectin, est extrait des fèves du Lablab. Une légumineuse originaire de l’Afrique subsaharienne, qui est aujourd’hui cultivée principalement comme plante d’ornement ou complément alimentaire pour le bétail.Le « Bubble Gum » antiviral entre en phase d’essai cliniqueLes chercheurs ont d’abord testé l’efficacité de ce chewing-gum, à l’aide de simulateurs de mastication, qui imitent le mouvement de la mâchoire humaine. Lors de ces essais in vitro, la gomme a démontré une réduction de plus de 95% de la charge virale dans le cas de la grippe, précisément les H1N1 et H3N2. Une réduction du même ordre pour les virus de l’herpès simplex de type 1 et 2 a été constatée.Fort de ces résultats, le « Bubble Gum » antiviral est désormais entré en phase d’essais cliniques. Toutefois, il convient de préciser que l'intention des chercheurs n’est pas de remplacer des médicaments ou l’absolue nécessité d'aller se faire vacciner. Leur démarche est de proposer une première barrière contre les 40 millions de virus que nous ingérons quotidiennement par la bouche. Un piège aux infections virales qui permettrait aux individus d’agir de façon préventive lors d’une épidémie, afin d’alléger la pression sur les hôpitaux en cas de pandémie.Leurs prochains travaux consisteront à vérifier l’efficacité de cette gomme antivirale contre les différentes souches de la grippe aviaire. Des recherches menées dans la crainte qu’une mutation de ces virus mortels, du moins pour les volatiles à plumes, modifient leur propagation dans un mode 100 % interhumain. L’adaptation des virus de la grippe aviaire à notre espèce provoquerait alors une catastrophe sanitaire de niveau mondial, préviennent les virologues et les biologistes. En déclenchant, sans aucun doute, l’une des pires pandémies que l’humanité n’ait jamais eu à affronter dans son histoire.
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Affiche du document Comment l’administration Trump alimente le complotisme sur les vaccins

Comment l’administration Trump alimente le complotisme sur les vaccins

27min45

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37 pages. Temps de lecture estimé 28min.
Des chiffres alarmants sur l’autisme aux États-Unis ont donné lieu ces derniers jours à des déclarations exubérantes au plus haut sommet de l’état, et c’est la machine à désinformer qui s’emballe, avec le retour de vieilles théories conspirationnistes sur les vaccins. Les allusions à des causes de l'autisme non validées par la recherche aggravent les risques liés à la désinformation sur les réseaux sociaux, avec faux remèdes, régimes dangereux, et le risque d'un recul vaccinal à la clef. Les annonces de Donald Trump et de son ministre de la Santé Robert Kennedy Jr sèment le trouble dans la communauté scientifique. Ce dernier se dit en mesure de révéler dès le mois de septembre 2025 les causes de ce qu'il appelle une « épidémie d'autisme ». Certains observateurs y voient un signal clair que le ministre a l'intention de produire des recherches biaisées, de nature à confirmer certaines théories liant autisme et vaccination, des thèses pourtant invalidées de longue date par les travaux scientifiques. Sans attendre le résultat de l'étude commanditée par Robert Kennedy Jr, un flot d'infox se propage sur les réseaux sociaux, avec des recommandations de traitements fantaisistes, des escroqueries et des allégations sans fondements sur les causes du syndrome. Les publications antivax prolifèrent, à partir de déclarations de RK Jr antérieures à sa prise de fonction, concernant d'autres vaccins. Ces infox sont relayées dans les milieux complotistes à destination de différents publics, notamment en Afrique.Le spécialiste des virus et des vaccins, Frédéric Tangy de l’Institut Pasteur, nous aide à faire le point sur ce sujet aussi complexe que sensible.Frédéric Tangy est ancien directeur du Laboratoire d'innovation vaccinale de l'Institut Pasteur, directeur scientifique de la société Oncovita, professeur et directeur de recherche au CNRS. Il est notamment l'auteur de nombreux ouvrages, dont L'homme façonné par les virus (Odile Jacob, 2021) et Les vaccins pour les nuls, avec Jean-Nicolas Tournier.À lire aussiAutisme : plus d’1% de la population mondiale serait concernéeLa chronique de Grégory Genevrier de la cellule info vérif de RFI : Non, l’armée malienne ne vient pas d’acquérir des chasseurs F-35 et Soukhoï-35
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