Documents pour «anibwe»

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Affiche du document Yodovah et Panafricanisme – Résister pour survivre, s’unir pour renaître

Yodovah et Panafricanisme – Résister pour survivre, s’unir pour renaître

KLAH Popo

2h26min15

  • Roman historique
  • Youscribe plus
195 pages. Temps de lecture estimé 2h26min.
Ce livre rappelle quelques vérités essentielles sur le Yovodah, qui sont trop souvent obviées par les idéologues eurocentristes et leurs épigones françafricanistes. D une part, il n existe aucune preuve historiographique concluante quant à l existence de l esclavage en Afrique avant son agression millénaire par des peuples étrangers notoirement esclavagistes que furent les Perses, Grecs, Romains, Arabes et surtout les Européens. D autre part, la capacité extraordinaire des Africains à résister au Yovodah est l un des marqueurs socio-historiques les plus prégnants des sociétés panafricaines contemporaines. En effet, l ampleur de la résistance des Nègres au Yovodah est à la mesure de l ampleur incommensurable de ce crime contre l humanité africaine perpétré par les Etats esclavagistes européens. Enfin, la consolidation d une conscience historique collective de cette formidable capacité de résistance des Africains et Afrodescendants est une condition particulièrement favorable à l élaboration d une stratégie panafricaniste de renaissance civilisationnelle des nations nègres d Afrique et de la Diaspora. Ainsi, la Résistance au Yovodah est le moteur de notre histoire commune d Africains razziés, déportés, colonisés. Aussi, seul le panafricanisme peut-il mobiliser efficacement cette énergie de résistance protéiforme, en vue de construire un avenir prospère de renaissance artistique, économique, a fortiori politique, au profit de tous les Africains et Afrodescendants
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Affiche du document L’UPC de la solidarité idéologique à la division stratégique 1948-1962 – Essai d’analyse historique

L’UPC de la solidarité idéologique à la division stratégique 1948-1962 – Essai d’analyse historique

Simon Nken

6h18min45

  • Essais
  • Youscribe plus
505 pages. Temps de lecture estimé 6h19min.
Créée en 1948 par l'élite camerounaise comme réponse à de multiples frustrations du régime colonial, l'Union des Populations du Cameroun (UPC) se dota d'une équipe dirigeante au cours de ses deux congrès fondateurs. Les cadres dirigeants du parti nationaliste camerounais aux sensibilités différentes, se soudèrent autour de l'idéologie du parti, à savoir l'anticolonialisme, tout en revendiquant la réunification et l'indépendance du Cameroun. C'est dans une démarche méthodique et une solidarité particulières que l'équipe dirigeante exerça la gestion des mécanismes de fonctionnement du parti dans la phase légale. Avec cohésion et dynamisme, elle essaima ses structures dans 1a majeure partie du territoire camerounais. Reclus dans la clandestinité à la suite des émeutes de mai 1955 par les autorités coloniales françaises, les divergences apparaissaient aussitôt dans les rangs de l'équipe dirigeante. La gestion du parti connaissait ainsi des dysfonctionnements : une absence de cohésion dans la prise des décisions, des divergences stratégiques et tactiques dans la coordination des actions, mais aussi l'émergence sporadique des pseudo leaders plus ou moins indisciplinés, faisant fi des statuts en vigueur. La disparition tragique de l'emblématique secrétaire général du parti Ruben Um Nyobé en 1958, dans son maquis de Boumnyebel, en dépit de la vigilance du CNO, plongea davantage le mouvement dans le désarroi - avec l'apparition des luttes fratricides, génératrices de la déliquescence du mouvement nationaliste camerounais, à l'aube de l'indépendance du jeune Etat le 1er janvier 1960.
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