Documents pour «Société des écrivains»

Documents pour "Société des écrivains"
Affiche du document Louis XVII est-il mort en Auvergne ?

Louis XVII est-il mort en Auvergne ?

Jean-Claude Autruc-Laurençon

2h09min00

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172 pages. Temps de lecture estimé 2h09min.
Malgré les analyses ADN réalisées en 2000 qui confirment l’appartenance du cœur supposé de Louis XVII au Dauphin, il reste des doutes quant à la fiabilité de ces conclusions. En effet, l’hypothèse selon laquelle le Dauphin aurait été enlevé de sa prison et mené en Auvergne pour y vivre sous un faux nom reste tenace, et de nombreux éléments poussent à valider cette hypothèse. Cette enquête minutieuse au cœur de la région auvergnate propose d’analyser un à un ces éléments, de les confronter aux faits historiques avérés pour appuyer de façon systémique cette thèse, sans toutefois pouvoir en prouver catégoriquement la véracité. L’implication de la franc-maçonnerie en ces temps troublés ne fait qu’ajouter au mystère, ou à la crédibilité du propos, c’est selon. Reste que les coïncidences parlent souvent d’elles-mêmes... Un livre fascinant qui décortique avec rigueur et minutie les tenants et les aboutissants d’un mystère historique entêtant. On en apprend beaucoup sur la période qui suivit la Révolution, sur les dissensions qui fourmillaient selon les régions et les appartenances sociales. L’auteur, dans un style sobre et élégant, communique avec aisance sa passion pour cette période, et son érudition se met entièrement au service de son propos, pour notre plus grand plaisir.
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Affiche du document Y a-t-il un principal de collège dans cette galère?

Y a-t-il un principal de collège dans cette galère?

Georges Costecalde

1h50min15

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147 pages. Temps de lecture estimé 1h50min.
"L’institution est beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît et ne mérite ni excès d’honneurs, ni excès de critiques. En démonter le fonctionnement au jour le jour, dans les menus détails, évoquer les problèmes et conflits qui s’y posent, grands ou petits, graves ou anecdotiques, importants ou dérisoires, induirait une approche plus juste et plus conforme à une réalité bien souvent méconnue ou déformée. [...] La subjectivité s’y déploie certes, mais elle ne peut être écartée ; elle éclaire parfois indirectement les blocages du système. Tout n’est pas parfait, loin de là. On y vit entre rage et désespoir, on y rit, on y pleure, on y est encore enthousiaste et dépressif, tout à la fois. On y passe parfois quarante ans de sa vie, sans rien regretter." Ce livre est le témoignage authentique et poignant d’un principal de collège à la retraite. La portée politique de cet ouvrage n’apparut certainement à son auteur qu’à la relecture de son œuvre. En effet, G. Costecalde a simplement souhaité partager avec le lecteur le quotidien d’un chef d’établissement, ses joies comme ses peines, ses difficultés comme ses succès, avec une simplicité dénuée de tout jugement de valeur. Les faits, relatés dans une langue rigoureuse, dominent ce texte, et c’est presque malgré lui que l’auteur interpelle le lecteur sur l’état de l’institution qui l’emploie. On ne peut qu’être admiratif devant l’humilité avec laquelle ce récit nous présente un métier qui demande une qualité trop peu dispensée dans la société actuelle: l’humanité.
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Affiche du document La Flèche plantée dans la femme qui s'en serait passée

La Flèche plantée dans la femme qui s'en serait passée

Hervé Savy

36min00

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48 pages. Temps de lecture estimé 36min.
"Après avoir mis en place le phare droit de sa voiture qu’il avait accroché dans le coffre, Achille retourna au commissariat où Elvige Vétrouvet l’informa de ses investigations que la machine voulait lui donner les rares fois où elle fonctionnait. Informations dont nous ne parlerons pas ici, puisqu’elles n’ont strictement rien à voir avec notre affaire. Puis il reçut les voisins d’Erica Davre de la rue Dimentaire ; Élie Censier et mademoiselle Nathalie Moger qui vivaient ensemble. Ils confirmèrent qu’elle était toute seule, son compagnon étant rarement présent. — Je ne l’avais jamais vue une flèche plantée dans le dos ! dit Élie Censier, ce qui ne surprit absolument pas Achille. — Ça ne devait pas être pratique, rajouta Nathalie Moger. — Et on se demande bien à quoi ça pouvait lui servir! — En tout cas pas à faire les courses, ni la cuisine! — Peut-être à tricoter." Nous sommes ici en présence d’un objet littéraire rare : un récit à la fois comique et satirique où l’auteur ne se prend pas une seconde au sérieux. Le but de cette histoire de meurtre loufoque est clairement de faire rire le lecteur, et on parcourt le texte avec le même sourire permanent aux lèvres que celui qu’avait l’auteur en l’écrivant. Ce dernier jongle avec les quiproquos et les situations improbables, mais avant tout avec les mots et les noms, situant le récit dans un cadre spacio-temporel inventif et allégorique. Les habitants de Taudis-sur-Rivière, dans le Patenkeça, ont ainsi des noms aussi évocateurs que Vincent Timaitre ou Phil Atture, et la police locale est une joyeuse bande de bras cassés. Un délice de légèreté et d’humour, à consommer sans modération.
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