Documents pour «Michel de Maule»

Documents pour "Michel de Maule"
Affiche du document Témoin n°4

Témoin n°4

Collectif

35min15

  • Sciences humaines et sociales
  • Youscribe plus
47 pages. Temps de lecture estimé 35min.
Pourquoi avoir choisi telle ou telle nouvelle matière ? On demande sans cesse à l'école d'enseigner de nouvelles matières, de la sécurité routière à l'informatique en passant par l'écologie. La question qui nous est posée est fondamentale. Pourquoi avons-nous collectivement choisi de privilégier certaines matières dans différents niveaux d'enseignements – l'école, le collège, le lycée ? De même, parce que les enfants sont assiégés par les images et qu'ils participent eux-mêmes au monde de l'image, on doit envisager de donner une éducation à l'image, en s'ouvrant notamment aux nouvelles technologies de l'information. Mais il serait suicidaire de privilégier ces nouveaux apprentissages au détriment de la capacité de lire des textes un peu complexes et de savoir écrire correctement une dizaine de lignes. C'est bien l'une des contradictions entre apprentissage et école de masse… L'innovation a tué le respect comme la folie de la communication a fini par tuer la transmission. En réalité, notre société a fini par oublier qu'il y avait du vertical dans la vie. Il y a des gens qui savent et d'autres qui ne savent pas. Quand on communique, on parle d'égal à égal tandis que dans la transmission il y a celui qui sait et celui qui ne sait pas… Le questionnement posé est celui de notre civilisation et l'école est bien entendu au centre de cette interrogation. Ce sont quelques-uns des thèmes de réflexion abordés par les intervenants dans ce débat sur l'éducation pour demain…
Accès libre
Affiche du document Nu comme l'âge de l'eau

Nu comme l'âge de l'eau

Thierry De La Croix

44min15

  • Poésie
  • Youscribe plus
59 pages. Temps de lecture estimé 44min.
Nous avions publié de cet auteur, en 1990, L’Ivre de M’hors. Nu comme l’âge de l’eau, est un longue méditation sur l’île, pas de l’homme vers l’ailleurs, l’infini, ou pas de Dieu vers l’homme, vers la terre, correspondance physique de il, pronom personnel, évocation abstraite de l’identité de l’homme, à la fois dénominateur de conscience et opinion public. 23 stances, 23 temps méditatifs, où le narrateur est tantôt sur la berge et observe, tantôt sur l’île et subit le regard du continent, comme tantôt débordé par la nature de l’eau, et tantôt l’au delà de la mer et son cri. Contrairement à L’Ivre de M’hors, poèmes diffractés, explosés, en ruptures constantes de langage et aux entrées multiples, les poèmes de Nu comme l’âge de l’eau, comme l’horizon qu’ils observent et dont ils sont en même temps issus, sont écrits dans un style méditatif, quasiment incantatoire, plane, à la mesure du paysage et des éléments qui le débordent. Des études de philosophie, de linguistique et de sémiologie conduiront Thierry de la Croix (né en 1952) au professorat qu’il abandonnera très vite pour la peinture, la critique d’art et de philosophie. Après quelques expositions, il sera, entre autre, l’un des animateurs de la revue l’Art Vivant (revue de la fondation Maeght).?Plus tard, il crée la revue musicale Silences.?Écrivain et éditeur, Thierry de la Croix a publié dans de nombreuses revues depuis vingt cinq ans.?Ce recueil est son vingtième.
Accès libre
Affiche du document Lettres de France d'un ambassadeur à son roi

Lettres de France d'un ambassadeur à son roi

Comte de Creutz

8h59min15

  • Témoignages et autobiographies
  • Youscribe plus
719 pages. Temps de lecture estimé 8h59min.
Gustav Philip, Comte de Creutz (1731-1785), a 35 ans lorsqu’il est nommé ambassadeur de Suède en France par le futur Gustave III de Suède. Il occupera cette fonction pendant dix-sept ans, se dépensant – et dépensant – sans compter pour mener à bien sa mission et représenter dignement son roi. Poète réputé, diplomate habile, honnête homme épris d’art et de musique, il devient rapidement une personnalité fort appréciée, une de celles qui « donnent le ton » et que l’on reçoit ­partout. Il fréquente les salons à la mode, connaît fort bien les philosophes, est très lié avec le cercle de Choiseul et courtise Madame du Barry – ce qui lui attire l’estime de Louis XV. Il tient table ouverte en son hôtel de Bonnac, joue aux échecs avec Marie-Antoinette et c’est lui qui ­présente le séduisant Axel von Fersen à la jeune reine. De son ambassade, le comte de Creutz laisse une correspondance en ­français aussi importante en qualité qu’en volume. Ces lettres, adressées en premier lieu à Gustave III mais aussi à Carl Fredrik et à Ulric Scheffer, retracent avec verve et minutie dix-sept années de la petite et de la grande Histoire, des intrigues de Versailles à la guerre d’Indépendance américaine. Tout naturellement, la mission diplomatique de Creutz occupe dans cette correspondance une place importante, mais aussi la culture et les mœurs françaises. Gustave III, franco­phile passionné, souhaite être tenu informé de tout ce qui se déroule à la cour de France, dans les salons et dans la ­république des Lettres. Si Creutz dresse des portraits remarquables de la famille royale et de la Cour, il ne laisse rien non plus ignorer à son roi des questions protocolaires, des détails parisiens, des caprices de la mode. Il exécute de même avec zèle les mille et une tâches que Gustave III lui confie. Il envoie en Suède des tableaux, des tapis, des meubles, des gravures, de l’argenterie, des bijoux, des caisses de vin ou encore les nouveautés littéraires. Creutz donne ainsi de la culture française et des relations franco-suédoises une image tout à la fois complexe et vivante. Sa correspondance fait de lui le témoin irremplaçable de l’Ancien Régime. Marianne Molander Beyer, docteur ès lettres, est depuis 1994 maître de conférences en didactique à l’Université de Göteborg en Suède, département des Sciences de l’Éducation, où elle est aussi responsable de la formation des futurs professeurs de langues modernes. Elle enseigne également, depuis 2001, la littérature française des xviie et xviiie siècles à l’Institut d’études romanes. Elle a été promue en 2001 au grade ­d’officier dans l’ordre des Palmes académiques.
Accès libre
Affiche du document Si la vie avait un sens !

Si la vie avait un sens !

Marcel Dejean

4h50min15

  • Religions et spiritualité
  • Youscribe plus
387 pages. Temps de lecture estimé 4h50min.
Nous ne sommes ni sages, ni savants, mais l'on ne nous fait pas pour autant gober toutes les histoires, tout en invoquant Dieu à toute occasion pour l'implorer ou le maudire. Car tous les jours, l'homme, la femme, rêve, croit, entreprend, recherche l'amour, le bonheur, et toujours plus. Il se tourne alors vers les dieux, les astres, les présages, mais aussi la raison et la réflexion. Il a besoin d'aide et d'histoires. Depuis des milliers d'années, un petit peuple du Moyen-Orient, issu de l'Irak d'aujourd'hui, cherche lui aussi sa voie. Ce peuple a essayé de décrire comment et pourquoi l'homme a été créé après le reste du monde. Puis il a été aidé par des prodiges et par la révélation à grand spectacle faite à Moïse, qu'il n'y avait qu'un dieu unique, et qu'il fallait respecter la loi donnée par lui à cette occasion. Plus tard, un autre prodige affirme que le propre Fils de ce Dieu est venu sur la terre pour confirmer et expliquer cette Loi déformée par le temps et les hommes, et pour faire savoir avec force que ce Dieu n'est pas un despote, mais un Père qui aime ses enfants créés à son image, afin qu'ils aiment eux-mêmes dans la Liberté et la Responsabilité. Pour prouver son amour, il est mort, tué parce qu'il n'apportait pas la puissance au peuple mais demandait un changement de comportement, et parce qu'il se prétendait Fils de Dieu. Il est ressuscité en rappelant qu'il y a une autre vie après la mort, pour tous les hommes. Qu'est ce que cette histoire incroyable, ignorée ou mal connue, parce que compliquée à l'excès par les sages et les savants, et comment la lire et la comprendre aujourd'hui dans les pays très urbanisés, individualistes, démocraties informées par l'à peu près médiatique qui pousse aux excès et encourage à se laisser aller ? Passé par Dachau, Auschwitz, Grossrosen, Flossenbürg, revenu à un sur quinze, Marcel Dejean tente de faire redécouvrir cette croyance, pas du tout démodée en son fondement, qui l'a aidé à tenir et à espérer, à la lumière de la folle histoire des hommes et de cette folle histoire du «Message de Dieu» qui affirme que la vie a un sens.
Accès libre
Affiche du document Des Français israélites

Des Français israélites

Samuel GHILES-MEILHAC

3h42min00

  • Histoire
  • Youscribe plus
296 pages. Temps de lecture estimé 3h42min.
Il y a encore quelques mois, je ne savais rien ou presque de l’histoire de mes ancêtres. Il m’a fallu ouvrir ces cartons anonymes qui s’entassaient dans un grenier familial pour y découvrir, nichée dans mon ascendance, une véritable histoire du judaïsme français. Mon arbre généalogique, au départ si mystérieux, s’est transformé au gré de mes recherches en une série de destins qui donnait à voir la naissance et l’épanouissement d’une élite israélite, à qui il est progressivement devenu possible d’être à la fois tout à fait française et tout à fait juive. L’histoire de ma famille, en enjambant quatre siècles et en puisant sa trame dans les bassins historiques du judaïsme français, éclaire cette double allégeance réussie : à la nation française et au judaïsme. À travers l’histoire de mes ancêtres, est également apparue sous nos yeux une histoire de France, avec certains de ses épisodes les plus importants : la Révolution, les campagnes napoléoniennes, la conquête de l’Algérie, la naissance de la IIIe République, la construction de la Tour Eiffel, la guerre de 1914-1918, la Résistance et Vichy, les Trente Glorieuses. J’ai souhaité écrire l’histoire de cette saga familiale, du dix-huitième au vingt-et-unième siècle, pour raconter le parcours de mes ancêtres, ces Français israélites qui ont connu l’émancipation, l’assimilation et enfin l’intégration à la nation et à la société françaises. Adrien Cipel est né en 1985. Descendant direct de ces Français israélites et diplômé de l’ESSEC, il est conseiller auprès de dirigeants de grandes entreprises françaises. Samuel Ghiles-Meilhac est historien, docteur de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Il enseigne à Sciences-Po Paris et a publié en 2011 Le CRIF – De la Résistance juive à la tentation du lobby, aux éditions Robert Laffont.
Accès libre
Affiche du document France-Allemagne, un marché de dupes ?

France-Allemagne, un marché de dupes ?

Bertrand Gallicher

2h41min15

  • Actualité, événements
  • Youscribe plus
215 pages. Temps de lecture estimé 2h41min.
La France en pleine déprime compte-t-elle sur l’Allemagne pour sortir de la crise après la réélection triomphale d’Angela Merkel, et son alliance avec les sociaux-démocrates ? François Hollande parie sur un infléchissement de la politique de Berlin, qui permettrait à l’économie française de bénéficier d’une reprise de la croissance en Europe. Car le décrochage entre les deux pays attise secrètement des tensions politiques, un demi-siècle après le Traité de l’Élysée qui les a réconciliés. L’envers du décor, ce sont des Français exaspérés de voir la situation se dégrader depuis des années dans l’hexagone, quand elle s’améliore constamment en Allemagne. Et des Allemands inquiets de l’absence de stratégie de la France qui se complaît dans de faux débats. Deux modèles s’opposent. L’un, délibérément tourné vers l’exportation, a fait de l’Allemagne la première puissance économique d’Europe. La France, elle, continue de créer des emplois subventionnés pour tenter de redresser les statistiques du chômage. Les initiatives franco-allemandes destinées à relancer la croissance relèvent-elles d’un marché de dupes ? Bertrand Gallicher, grand reporter au service étranger de France Inter, suit l’actualité internationale et en particulier les coulisses de la relation franco-allemande à Paris, à Berlin, ainsi qu’à Bruxelles lors des sommets européens. De 2006 à 2010, il a été l’envoyé spécial permanent de Radio France à Berlin. Il a publié L’Allemagne au pied du mur (La Table Ronde, 2009).
Accès libre
Affiche du document La Physique 2636 après Thalès

La Physique 2636 après Thalès

Denys Ridrimont

5h53min15

  • Sciences humaines et sociales
  • Youscribe plus
471 pages. Temps de lecture estimé 5h53min.
Satisfaits que la connaissance soit un aller vers l’objet, les hommes se détournent au moment d’en déduire le retour. croyant connaître, ils ne font que désirer leur propre échec. d’où vient qu’ils s’arrogent ainsi la mesure de l’abstrait selon des conditions finies ? comment cesser d’entendre « nature » (et, avec lui, tout son cortège : « être », « matière », « substance », « objet »…) dans « physique » ? Le stratagème de la raison s’accompagne ipso facto d’une extase, d’une recherche de conditions qui, pour la raison, se situent précisément hors d’elle. Tenir toutes les mesures dans l’effacement même du principe : ce n’est pas là simple jeu abstrait, mais discipline qui voue à l’inhumain. Reconduire les proportions vers le foyer d’une possibilité qui tranche : ce n’est pas là dessaisissement par la pensée de sa tâche propre, mais reprise terrible de ce qui, en elle, est davantage qu’elle. Qu’avons-nous à craindre ? Qu’est-ce qui nous retient ? Si les hommes ne peuvent vivre sans « les choses », le physicien doit du moins indiquer ce en quoi les choses s’évanouissent. Si la science est une tekhnè, la physique a, par et en elle-même, renoncé d’emblée à toute quête de salut. Non par désespoir, mais parce que la lucidité seule est joie. Le physicien est généreux car il reconnaît en son interrogation quelque chose de plus précieux que lui-même : voilà qui devrait inexorablement l’éloigner des hommes. Personne ne sera sauvé. S’il faut la vérité, elle se fera au prix de nous. Alexandre Lissner Après des études de philosophie, Denys Ridrimont est devenu architecte-paysagiste. Il parcourt la planète pour créer des jardins exceptionnels chez des particuliers ou des sociétés. Il a précédemment publié un ouvrage de référence, La Naissance de la nature (éd. de l’Éclat, 1996), et Lettre à Anne : pour introduire trois lettres de physique (Allia, 2000). Il vit dans le Sud-Ouest.
Accès libre
Affiche du document La Vénitienne de Bonaparte

La Vénitienne de Bonaparte

Gabriel Milesi

5h00min00

  • Roman historique
  • Youscribe plus
400 pages. Temps de lecture estimé 5h00min.
Venise 1795. L’aristocratie a tourné le dos aux valeurs qui ont fait sa force. Elle ne pense qu’aux plaisirs et dilapide les immenses richesses accumulées par les générations précédentes. La comtesse Isabella Teotochi, favorable aux idées des philosophes des Lumières, y tient un salon littéraire. Sa rencontre amoureuse avec un Français, Dominique-Vivant Denon – futur fondateur du Louvre –, va changer le cours de sa vie. Alors que l’armée d’Italie, commandée par le général Bonaparte, s’attaque à l’empire autrichien, son amant organise des réseaux pour promouvoir les idées révolutionnaires. Quand le Français est expulsé de Venise pour espionnage, Isabella, la séductrice, adulée par tous les poètes, courtisée par les aristocrates, prend sa suite et se met au service de Napoléon. Mais, elle se heurte aux ambitions d’un Inquisiteur sans scrupule. Amoureux d’elle, s’appuyant sur les monarchistes français réfugiés dans les États de Venise et sur une société secrète, il veut prendre le pouvoir. Ce roman fait vivre la chute d’un État puissant qui disparaît après mille ans d’indépendance. Il met en scène plusieurs personnages qui ont réellement existé, même si certaines aventures qu’ils vivent sont issues de l’imagination de l’auteur. Gabriel Milesi, économiste, ancien chef du service économique de France-Inter et rédacteur en chef à Europe 1, partage sa vie entre Venise et Paris depuis plus de vingt ans. Il a déjà publié Jacques Delors, l’homme qui dit non (Belfond, 1995), Le Roman de l’euro (Hachette Littérature, 1998) et Les Dynasties du pouvoir de l’argent (Michel de Maule, 2011).
Accès libre
Affiche du document Freud et la guerre

Freud et la guerre

Marlène Belilos

1h46min30

  • Sciences humaines et sociales
  • Youscribe plus
142 pages. Temps de lecture estimé 1h46min.
1932. Le fascisme et l’antisémitisme triomphent en Allemagne. Einstein pose à Freud cette question essentielle?: «Que peut-on faire pour libérer les hommes de la menace de la guerre??» Le psychanalyste lui répond longuement et cet échange épistolaire (reproduit ici) paraît en mars 1933 sous le titre Pourquoi la guerre?? Le livre entre dans l’autodafé berlinois du 10 mai de la même année. Pourquoi la guerre?? est important dans l’œuvre de Freud car l’auteur y poursuit une réflexion fondamentale qui l’amène à conclure que pulsions de vie et pulsions de mort sont liées – réflexion très tôt entamée dans des écrits comme Nous et la mort (1915), une conférence inédite dont nous proposons une nouvelle traduction. Terrible paradoxe, Freud dédicace un exemplaire de ce Pourquoi la guerre? à Mussolini, qui exige tout de même une enquête de police sur son auteur. C’est compte-rendu policier en mains que les intervenants réunis ici tentent de comprendre la raison de cette dédicace, tout en entamant eux-mêmes une réflexion sur la genèse de la guerre. François Ansermet, Philippe de Georges, Eugénie Lemoine-Luccioni, Ferdinand Scherrer et Laura Sokolowsky contribuent à cet ouvrage, préfacé par Jean Ziegler . Marlène Belilos a travaillé à la Télévision Suisse Romande de 1964 à 1971 et produit et assuré en tant que journaliste plusieurs émissions : Champ Libre, Carré Bleu, En Marge, La Quinzaine des Arts, Correspondances. Établie à Paris depuis 1991, après un passage dans l’enseignement secondaire à Genève, elle a travaillé pour plusieurs médias: France-Culture, TV5 Monde et aussi pour la Télévision Suisse Romande et la Radio Suisse Romande. Elle écrit aujourd’hui régulièrement pour Rue 89.com. et se consacre principalement à la psychanalyse. Elle est membre de l’École de la Cause freudienne.
Accès libre

...

x Cacher la playlist

Commandes > x
     

Aucune piste en cours de lecture

 

 

--|--
--|--
Activer/Désactiver le son