Documents pour «Editions Le Manuscrit»

Documents pour "Editions Le Manuscrit"
Affiche du document Répondre ensemble aux défis de l'insertion

Répondre ensemble aux défis de l'insertion

UP for Humanness

1h05min15

  • Actualité, événements
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  • Livre epub
  • Livre lcp
87 pages. Temps de lecture estimé 1h05min.
DANS CE LIVRE Les formes de vulnérabilité vis-à-vis de l’emploi sont nombreuses. Handicap, maladie, vie à la rue, grande précarité, prostitution, exil forcé, maltraitances, sortie de détention… Pour répondre à cet enjeu sociétal, l’État tente et finance des expérimentations, les associations se plient en quatre, des entreprises bousculent leurs préjugés et s’engagent à « inclure », certains citoyens offrent de leur temps libre. Tout cela ne suffit pas. La coopération est peu efficiente, les accompagnements ne sont pas personnalisés, les chiffres stagnent pour les demandeurs d’emploi les plus exclus et - au-delà des chiffres - des personnes souffrent. UP for Humanness choisit d’associer l’action sociale de terrain à une réflexion globale. Elle a créé en 2020 un parcours d’insertion, UP Emploi, ouvert à tous et gratuit, dont elle expose dans ce livre les fondements et les impacts. Parallèlement, le think-tank a réuni des analyses et témoignages de demandeurs d’emploi en situation de fragilité, d’acteurs de l’insertion et d’entreprises, et il leur a donné l’occasion de confronter leurs expériences lors d’une journée de recherche. Inspirée par son action de terrain, une enquête et une journée de recherche, UP for Humanness présente dans cet ouvrage des propositions pratiques pour offrir une réponse globale et collective au défi de l’insertion des plus exclus.
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Affiche du document De la France occupée à la Pampa

De la France occupée à la Pampa

Hélène Gutkowski

2h31min30

  • Histoire
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  • Livre lcp
202 pages. Temps de lecture estimé 2h31min.
Après les neuf membres du groupe « France, douce France de notre enfance?? » - un groupe de parole né à Buenos Aires - qui dans le premier volume de cette trilogie ont évoqué les multiples formes que prit la persécution nazie dans la France occupée, ils sont douze dans celui-ci à remémorer leur vie d'enfants et d'adolescents dans la France de l'Exode, des interdictions, des rafles, douze à évoquer ce dont ils se souviennent - parfois très peu - et à essayer, en confrontant leurs souvenirs à ceux de leurs amis-témoins, de reconstruire ce qu'ils ont oublié. Leur mémoire s'étoffe ainsi de ce que leur renvoie le miroir des réminiscences de leurs camarades : la recherche de villages sauveurs ou d'un toit pour une nuit, l'aile protectrice d'une maîtresse d'école ou du directeur du collège où ils sont pupilles, la présence réconfortante de leurs parents, parfois d'un seul d'entre eux lorsque l'autre a déjà été déporté, ou encore celle d'une soeur ou d'un frère. En effet, alors que, dans le volume précédent, chaque parcours a été restitué sur la base principalement de la mémoire même du rescapé, les douze membres qui, ici, exposent leur vécu le font grâce à l'entrelacement de leurs souvenirs personnels avec ceux de chacun des vingt-neuf autres membres du groupe, souvenirs des uns rappelant toujours, chez les autres, une situation similaire, mais parfois aussi des faits tout à fait différents qui avaient été oubliés. La réalisation de ce volume a été possible grâce à ce travail collectif de mémoire et aux trésors que représentent les photos, les lettres et les documents que la plupart d'entre eux ont préservés, mais aussi grâce à la richesse des différents fonds d'archives que l'auteure a consultés.
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Affiche du document Une mémoire personnelle marquée par la Shoah

Une mémoire personnelle marquée par la Shoah

Simon Wuhl

1h12min00

  • Histoire
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96 pages. Temps de lecture estimé 1h12min.
Le père de Simon Wuhl, Isacher, pris dans la rafle du Vél' d'Hiv', a été déporté et mort à Auschwitz. Simon Wuhl qui n'avait que 23 mois, et sa mère Rébecca, raflés également, ont été relâchés de justesse car l'enfant n'avait pas deux ans. Au-delà du récit de cette tragédie familiale, l'auteur poursuit un double objectif : 1. Restituer la vie intense de son père avant la Shoah. Isacher en effet, a vécu une existence de juif sécularisé, engagé dans les combats de l'émancipation pour les Juifs et bien au-delà, lors de trois périodes : Dans la Pologne des années 1920 d'abord, en intégrant le mouvement des sionistes de gauche. Dans la Palestine des années 1930 ensuite, sous mandat britannique, travaillant comme ouvrier du bâtiment dans un kibboutz où il a rencontré la mère de l'auteur ; il s'est alors radicalisé politiquement comme militant communiste. Dans la France de l'avant-guerre enfin, où les parents de l'auteur, attirés par l'évènement du Front populaire pensaient ne rester qu'un an ou deux, avant d'être rattrapés par la guerre et la Shoah. 2. Rendre compte des difficultés matérielles à vivre et à survivre dans la France d'après-guerre, pour la mère de l'auteur surtout, et montrer que les conséquences de la Shoah se sont prolongées bien au-delà de la fin de la guerre. Par ailleurs, l'auteur accompagne le récit d'un certain nombre de réflexions sur le comportement de la police de Vichy et d'une administration pourtant issue de la troisième République; sur l'atmosphère de déni dans la France des années 1950 et 1960, d'une guerre dans la guerre, celle de l'extermination des Juifs ; et, au plan plus personnel, l'impact de la Shoah sur ses difficultés d'intégration et d'une vie sociale normale dans sa jeunesse notamment.
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Affiche du document Ne pleurez pas, mes fils…

Ne pleurez pas, mes fils…

Eva Golgevit

1h04min30

  • Témoignages et autobiographies
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86 pages. Temps de lecture estimé 1h04min.
La solidarité est au cœur de la vie d’Eva. Cette femme juive d’origine polonaise, au dynamisme peu commun, s’est toujours investie dans ce sens. Dès septembre 1940 à Paris, où elle s’est mariée et a donné naissance à son premier fils, elle s’engage dans le groupe Solidarité, section juive du mouvement de résistance communiste de la MOI (Main-d’œuvre immigrée). Au même titre que ces héros de la Résistance, son arrestation est le résultat de filatures des Brigades spéciales françaises. Emprisonnée, comme la majorité de son réseau, elle est déportée par le convoi no 58 du 31 juillet 1943. Son groupe est soudé par un double lien de solidarité et d’amitié. À son arrivée à Auschwitz début août 1943, elle est projetée dans l’un des lieux les plus terrifiants et abjects de cet enfer  : le Block 10 où les nazis pratiquaient des «  expériences médicales » sur des cobayes humains. Durant dix mois, elle parvient cependant à échapper au pire, physiquement et psychiquement. C’est encore grâce à sa force morale et aux complicités qu’elle suscite qu’avec quelques camarades, elle sort de cet enfer, puis de celui de Birkenau où s’achève alors l’extermination massive des Juifs de Hongrie. Après environ trois mois, Eva parvient à être transférée dans un camp annexe d’Auschwitz, Rajsko (ferme agricole expérimentale), dans lequel les conditions de survie sont relativement moins dures. En janvier 1945, devant l’avancée de l’Armée rouge, les nazis pro-cèdent à l’évacuation des camps entraînant dans leur fuite éperdue les survivants de cet enfer. Avec ses deux camarades encore en vie, Eva aura survécu à trois « marches de la mort » qui la mèneront aux camps de Ravensbrück et de Malchof. Au-delà des horreurs dont elle témoigne dans son récit, Eva livre à ses fils et au lecteur un chant d’espoir empreint de cette foi en la vie dont elle ne s’est jamais départie.
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Affiche du document Dans la prison de mes souvenirs

Dans la prison de mes souvenirs

Charles Baron

55min30

  • Témoignages et autobiographies
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74 pages. Temps de lecture estimé 55min.
Charles Baron a été l’une des grandes figures de la mémoire de la Shoah, très tôt investi dans des associations et auprès des jeunes. Il présentait ainsi son livre dans sa première édition restée confidentielle : À partir des nombreux témoignages que j’ai pu faire dans les écoles au contact de notre belle jeunesse, j’essaie de donner une impression de l’enfer que j’ai vécu durant les trente-deux mois de captivité dans l’univers concentrationnaire, dans lequel règnent l’arbitraire et le sadisme, où la violence et la mort sont omniprésentes. Sa voix portait d’autant plus auprès du jeune public que Charles a été déporté à 16 ans et deux mois, le 18 septembre 1942. Sans qu’alors il le sache, les nazis avaient déjà fait de lui un orphelin : ses parents, victimes de la rafle «  du Vél’ d’Hiv’  » (16-17  juillet  1942), ont été assassinés à Auschwitz avant même son arrestation. Son parcours de déporté est impressionnant, avec pas moins de neuf camps différents. Charles a fait partie des Juifs accaparés par l’industrie de guerre et d’armement du IIIe Reich en manque de main-d’œuvre, lors d’un arrêt de son convoi, le no 34, à Cosel. La description des camps de travail forcé qu’il nous rapporte, mettant en lumière leur fonction-nement et leur diversité à travers ses cruelles expériences, est un apport fondamental à la connaissance de l’univers concentrationnaire nazi. Entre les camps de Silésie et ceux de Bavière où il a été transféré, Charles a également été détenu au camp d’Auschwitz  II-Birkenau. Tatoué A17594, il y végète trois mois à la quarantaine, où il échappe de peu à deux sélections pour la chambre à gaz. Exceptionnelle aussi est sa sortie de l’enfer des camps nazis, fin avril 1945, avec la réussite de son évasion dont on lira ici la version détaillée écrite peu après son retour à Paris, le 18 septembre 1945. Avec ce témoignage d’une grande probité, Charles Baron prolonge son exhortation à la jeunesse afin qu’elle puise dans la mémoire des rescapés les ressorts du combat quotidien pour la liberté et la sauvegarde de l’humanité.
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Affiche du document L’éducation par la nature : Théories, pratiques, formations

L’éducation par la nature : Théories, pratiques, formations

1h51min00

  • Sciences de l’éducation
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148 pages. Temps de lecture estimé 1h51min.
Les démarches dites de «  pédagogie par la nature  », d’«  éducation par la nature », d’« éducation en plein air », d’« école-forêt » ou encore d’«  école/classe dehors  » constituent une nouvelle hydre éducative à mille têtes qui interroge la communauté scientifique de par les enjeux épistémologiques, éducatifs et formatifs qu’elle sous-tend. Ce sont ces enjeux pluriels que l’ouvrage discute, en mettant en regard réflexions didactiques et analyses de pratiques venant d’univers francophones variés et ancrés dans des approches disciplinaires elles aussi hétérogènes, à l’image même de l’objet de l’ouvrage. L’objectif est d’apporter des exemples de dispositifs d’éducation et de formation dont les fondements, les déroulés et les impacts sont analysés par des chercheurs et des chercheuses. Destiné aux étudiants, aux chercheurs, aux formateurs et aux praticiens, ce plaidoyer à nombreuses voix pour une (r)évolution verte de l’éducation se positionne à mi-chemin entre héritage et innovation  : héritage des grands courants issus des ou adoptés par les sciences de l’éducation et de la formation, et de la didactique (énaction, interactionnisme, socioconstructivisme, écoformation, etc.), et innovation, de par l’essence même des démarches d’éducation par la nature, qui sont portées par des enjeux écologiques propres à l’époque, interrogées par la perte ou la refonte des liens ou «  connexions  » entre (animaux) humains, animaux autres qu’humains, végétaux, concernées par la fragmentation des territoires. En filigrane des textes présentés, c’est finalement la dimension auto-socio-éco-transformative de cette aventure humaine qu’est l’acte d’accompagner des jeunes en nature qui sera soulignée.
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Affiche du document Parcours de génétique théâtrale

Parcours de génétique théâtrale

Ana Clara Santos

1h33min00

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124 pages. Temps de lecture estimé 1h33min.
Les approches et les études présentées ici illustrent bien la façon dont la génétique théâtrale s’est renouvelée ces dernières années, à l’échelle européenne, conduisant la recherche à un élargissement épistémologique autour de la notion d’œuvre, entendue comme œuvre en mouvement. Si on s’interroge sur les conditions de production et de circulation culturelle, nous nous rendons compte que toute création dramatique ou théâtrale sous-entend une logique de recréation, ou plutôt, de réécriture. Ce phénomène suppose différents procédés d’appropriation, voire de manipulation. À cette question s’ajoute celle des procédés de transposition dramatique, voire de remodelage poétique ou de transmodalisation, qui suppose le passage d’un genre à l’autre, qu’il s’agisse de la plume d’un même écrivain ou de phénomènes d’appropriation du texte d’un Autre et par un Autre. Comment mettre au jour ces réseaux de circulation des œuvres par-delà les époques et les cultures ? Au sein de la fabrique, en quoi les brouillons scéniques, qui témoignent des choix effectués par l’artiste pour construire son esthétique, sont-ils décisifs pour renouveler l’approche du chercheur ? Ce volume prétend apporter des réflexions autour de ces questions de génétique théâtrale, toujours actuelles, au travers de plusieurs études de cas issues du théâtre européen du xixe au xxie siècle.
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Affiche du document Empathie et bienveillance au cœur de l’apprenance

Empathie et bienveillance au cœur de l’apprenance

2h14min15

  • Sciences de l’éducation
  • Youscribe plus
  • Livre epub
  • Livre lcp
179 pages. Temps de lecture estimé 2h14min.
Cet ouvrage regroupe des textes issus des actes du colloque sur les notions d'empathie et de bienveillance en éducation et formation qui s'est tenu à l'université Paris-Est Créteil en 2019. Il accompagne les actes en ligne comprenant quinze conférences complémentaires. Cet évènement a réuni des chercheurs de différentes disciplines, des thérapeutes, des éducateurs, des enseignants, des formateurs et des acteurs du monde associatif. Ceux-ci clarifient les concepts en lien avec leurs champs disciplinaires et leurs contextes, se questionnent, ouvrent des pistes permettant d'oeuvrer pour une transformation des pratiques éducatives favorisant la collaboration plutôt que la compétition, la résonance et la confiance mutuelle plutôt que la défiance et les injonctions. Les études et expériences partagées dans cet ouvrage convergent sur un point crucial : l'empathie est une disposition qui ne s'enseigne pas comme une discipline scolaire, mais qui s'apprend au travers de l'expérience vécue, la connaissance de soi, le partage réflexif, l'analyse de situations... Elle met en jeu la qualité des relations entre tous les acteurs : élèves, étudiants, éducateurs, enseignants, parents, institutions. Empathie et bienveillance s'inscrivent dans des pédagogies expérientielles, relationnelles et existentielles et requièrent un renouvellement des dispositifs de formation.
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Affiche du document Retour à Jitomir

Retour à Jitomir

André Sirota

1h14min15

  • Histoire
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  • Livre epub
  • Livre lcp
99 pages. Temps de lecture estimé 1h14min.
Ici est donné à lire une fiction autobiographique. Elle relate la longue marche, au xxe  siècle, d’un père né en Ukraine, à Jitomir  et d’une mère née en Algérie, à Mostaganem. Siècle de deux grands totalitarismes exterminateurs. Au début de celui-ci, Jitomir comptait près de 100 000  âmes. David Sirota, mon père, y est né. Fin mars  1919, dans le quartier où se trouvait à l’époque la rue Tchoudnovskaïa, où il habitait, un massacre de masse y fut perpétré, pendant les quelques jours où l’Armée Rouge avait abandonné la ville. Semyon Petliura en était l’un des inspirateurs. Subitement orphelin, le petit Douvid, du haut de ses 7 ans, a aussitôt fui sa ville natale pour ne plus jamais y revenir. En ce temps-là, la judéophobie y étant monnaie courante, les familles juives de cette région du monde s’attendaient chaque jour au prochain pogrom annoncé. Quand vint la Seconde Guerre mondiale, Jitomir fut mise à feu et à sang par les Nazis. Via ce Retour à Jitomir, m’imaginant marcher dans les pas de mon père, j’ai conçu un récit montrant la capacité de terreur sans limite que les plus égarés de ce xxe siècle ont infligé au plus grand nombre de leurs contemporains, provoquant des destructions massives de vies humaines et d’immenses dévastations matérielles. Ce qui a autorisé chez bon nombre, pour des décennies, une levée des interdits fondamentaux. Ce sont, en effet, les plus maffieux et thanatophores de nos populations qui, s’affichant les plus forts, offrent aujourd’hui aux yeux des plus aveugles un modèle nihiliste d’identification et un horizon fallacieusement enviable.
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