Josée Ouimet

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Affiche du document Joseph-Armand Bombardier : L’inventeur

Joseph-Armand Bombardier : L’inventeur

Josée Ouimet

33min00

  • Découverte
  • Livre epub
  • Livre lcp
44 pages. Temps de lecture estimé 33min.
Joseph-Armand Bombardier est né le 16 avril 1907 en Estrie. Dès treize ans, il démontre un réel talent d’inventeur. À 17 ans, le jeune homme quitte son village natal de Valcourt pour Montréal, où il espère parfaire ses connaissances en suivant des cours du soir en mécanique et en électricité automobile. C’est lui qui mettra au point la célèbre autoneige B7 en 1937. D’autres inventions le feront connaître à travers le Canada et poseront les assises de la compagnie multinationale qui porte encore aujourd’hui son nom. Joseph-Armand Bombardier est un grand inventeur et créateur de notre époque. Il demeure une figure emblématique du XXe siècle.Joseph-Armand Bombardier est né le 16 avril 1907 en Estrie (Cantons-de-l’Est) dans le 5e rang d’Ely du petit village de Valcourt où son grand-père Octave avait choisi de vivre. À la suite de la mort prématurée de ce dernier, son père Alfred, âgé d’à peine 14 ans, doit seconder sa mère et pourvoir aux besoins de ses huit frères et soeurs. En 1906, le père de Joseph-Armand épouse Anna Gravel qui lui donne dix enfants, dont quatre mourront jeunes. Dès treize ans, Joseph-Armand démontre un réel talent d’inventeur. Un « patenteux », comme le surnomme affectueusement ceux qui sont témoins de sa fougueuse imagination et de son habileté de bricoleur. Avec des pièces achetées chez un bijoutier et les outils prêtés par son père, l’ingénieux Joseph-Armand construit toutes sortes de jouets mobiles, bateaux, locomotives et autres, pour la plus grande joie de ses cousins et cousines. Son séjour obligé au séminaire* Saint-Charles-Borromée, à Sherbrooke, ne fera que confirmer qu’il ne veut pas être prêtre, mais mécanicien. En 1924, âgé de 17 ans, Joseph- Armand fugue de chez ses parents et quitte son village natal pour Montréal, où il espère parfaire ses connaissances en suivant des cours du soir en mécanique et en électricité donnés par la compagnie Ford. Le jour, il travaille dans un garage de la ville. Ses talents de mécanicien le rendront célèbre et surtout lui donneront la certitude qu’il a fait le bon choix. Au printemps 1926, il retourne à Valcourt où son père l’aide à construire son premier garage. Les routes enneigées empêchant les résidents de se rendre où ils veulent durant l’hiver deviennent un enjeu majeur qui motive Joseph-Armand à travailler d’arrache-pied à la fabrication d’un véhicule capable de se déplacer sur ces surfaces immaculées : l’autoneige*. Les années 1930, qui suivent la Grande Dépression, mais surtout la mort de son fils deviennent des raisons majeures pour mettre au point son invention de traction barbotin chenille appliquée à l’autoneige B7 qui le fera connaître à travers le Canada et posera les assises de la compagnie multinationale qui porte encore aujourd’hui son nom.
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Affiche du document Mary Travers : Madame Bolduc

Mary Travers : Madame Bolduc

Josée Ouimet

27min45

  • Découverte
  • Livre epub
  • Livre lcp
37 pages. Temps de lecture estimé 28min.
La biographie d’une femme attachante, la première chanteuse populaire du Québec Mary Travers, Madame Bolduc, est née le 4 juin 1894 dans le petit village de pêcheurs de Newport, en Gaspésie. Elle démontre très vite un goût prononcé pour la musique. À treize ans, elle part pour Montréal, engagée comme domestique. Grâce à ses talents de musicienne, elle rencontrera Édouard Bolduc qui deviendra son mari et le père de ses quatre enfants. La récession causée par la Grande Dépression de 1929, mais surtout l’accident de son époux, obligent Mary à endosser le rôle de soutien de famille. La musique devient ainsi son gagne-pain. Excellant dans l’art de la turlute et de la chanson, Mary compose et enregistre des disques à un rythme effréné en s’inspirant des actualités. Première auteure-compositrice-interprète québécoise du début du XXe siècle, Madame Bolduc demeure une figure féminine emblématique de son époque. Encore aujourd’hui, pas moins de cent de ses chansons survivent et font la joie des amateurs de musique folklorique.« Un soir, dans les coulisses, elle se mit à fredonner une des chansons qu’elle avait composées dans le secret de sa cuisine, alors qu’elle tournait une cuillère de bois dans une soupe aux légumes. — Y’a longtemps que je couche par terre… J’vas coucher dans mon lit ce souerre. — C’est quoi cette chanson-là ? l’interrogea alors Alfred Montmarquette, son pianiste. — Une chansonnette que j’ai écrite en souvenir de mon travail aux camps de bûcherons. — Je ne savais pas que tu écrivais des chansons, dit-il, surpris. — C’est juste un passe-temps. — Pourquoi tu ne la chantes pas ce soir ? — Es-tu fou ? Ce n’est pas assez bon ! — Tu es trop modeste, Je suis certain que les gens vont aimer ça. — Tu ne l’as même pas entendue au complet. — On n’a pas le temps. Allez on entre en scène dans dix secondes ! Mary eut à peine le temps de ramasser son violon, sa guimbarde* et son harmonica avant d’entrer en scène. Ce soir, elle le savait, ce serait en débutant avec son vieil harmonica, ce précieux compagnon de son enfance, qu’elle s’aventurerait à présenter son petit air folklorique, inspiré des nuits passées dans le camp de bûcherons, sur des paillasses de fortune éparpillées par terre.»
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Affiche du document La Faute des autres - Tome 1 Les rêves

La Faute des autres - Tome 1 Les rêves

Josée Ouimet

5h29min15

  • Livres audio
  • Romans et nouvelles
439 pages. Temps de lecture estimé 5h29min.
Montérégie, 1943. Le spectre de la conscription plane encore et toujours au-dessus de la tête des jeunes Canadiens français. Leurs seules chances d’y échapper : la prêtrise, le mariage « de raison » ou l’amputation d’un doigt…Fernand Dupré, 30 ans, fait partie de ces célibataires qui ne peuvent avoir leur dispense. Le mariage devient la seule avenue possible pour ce fils de cultivateur qui rêve de reprendre la terre paternelle, mais dont les projets seront contrecarrés par son père, peu enclin à céder ce qu’il considère comme son bien, et l’arrivée inopinée d’un frère détesté qui revient le hanter.La vie de Fernand bascule soudain grâce à la rencontre fortuite d’Henriette Camirand, une bien jolie orpheline… Les deux jeunes gens sont devant le néant : Henriette n’a plus d’autre ressource que de prendre mari pour sortir de sa misère et Fernand, lui, doit à tout prix éviter l’armée.Par la faute des autres, mais surtout victimes d’un destin capricieux, Fernand et Henriette se retrouveront unis, pour le meilleur et pour le pire, tout en donnant une chance à l’amour qui pointera bientôt le bout de son nez…À travers l’existence de ses héros et des personnages qui gravitent autour d’eux, Josée Ouimet fait revivre le quotidien de ces temps troublés où le nécessaire remplaçait le meilleur, où l’accommodement remplaçait le bonheur, mais, surtout, où le désir d’aimer et d’être aimé animait les rêves et les passions oubliées.
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