Edouard BRéZIN

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Affiche du document The major accident at Fukushima

The major accident at Fukushima

Alain CARPENTIER

1h16min30

  • Sciences formelles
102 pages. Temps de lecture estimé 1h16min.
“On March 11, 2011, the North-East of Japan was struck by a huge earthquake followed by a major tsunami and a series of accidents that took place at the nuclear power site at Fukushima, with emissions of radioactive elements”. This was the message addressed by Prof. Kanazawa, President of the Science Council of Japan (SCJ), only a few days after the catastrophe, to his colleagues Presidents of the Science Academies, adding that he nourished the hope the “the academies would continue in the future to help with the necessary rehabilitation work”. The idea arose immediately to set up an ad hoc academic Working Party, with the assigned mission to analyse the events that had taken place in Japan, to make a status report regarding seismic and nuclear risks both in metropolitan France and in overseas territories and to draw conclusions and make recommendations as deemed appropriate to the situation. The academic Working Party comprised three separate sub-groups, each dealing with one of the three aspects – seismic, nuclear and medical – of the drama as it unfolded. For each of these components, objects of the three parts of this report, the analysis of observed events in Fukushima was supplemented by a reflection o the strengths and weaknesses of these areas in France, in order to formulate the necessary recommendations and to answer scientific and societal question public arises. Although uncertainties remain and that new information still come each month to enrich the record, the enclosed reports seemed complete enough to be published in the state, after the anniversary of this tragedy that will long continue to challenge us.
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Affiche du document Demain, la physique

Demain, la physique

Sébastien BALIBAR

2h45min00

  • Sciences formelles
  • Livre epub
  • Livre lcp
220 pages. Temps de lecture estimé 2h45min.
« Ce livre est le récit de quelques-unes des incertitudes de la physique d’aujourd’hui en devenir, avec l’ambition de montrer que les questions posées sont l’effet d’une logique interne qui nous a conduits immanquablement là où nous sommes. Il nous a semblé qu’il était possible de raconter en mots, sans équations ni long investissement préalable dans la lecture d’ouvrages difficiles, les interrogations auxquelles sont confrontés les physiciens de notre temps. Le monde qui nous entoure est bien présent dans ces pages puisque la physique n’est que confrontation entre concepts et réalité. Rien ne permet de penser que le bouleversement de nos modes de vie dû à la science des siècles derniers est en voie de s’arrêter. Mais notre conviction est que c’est bien le propre de l’homme que de connaître le monde dans lequel il vit, et que c’est à ce prix qu’il pourra en tirer parti sans tomber dans les pièges qui lui sont simultanément tendus. » S. B. et E. B.À l’initiative de l’Académie des sciences, les plus grands savants français sont réunis ici pour nous faire partager les extraordinaires avancées de la physique moderne. Contributions de Alain Aspect, Roger Balian, Gérald Bastard, Jean-Philippe Bouchaud, Bernard Cabane, Françoise Combes, Thérèse Encrenaz, Stephan Fauve, Albert Fert, Mathias Fink, Antoine Georges, Jean-François Joanny, Daniel Kaplan, Denis Le Bihan, Pierre Léna, Hervé Le Treut, Jean-Paul Poirier, Jacques Prost et Jean-Loup Puget.
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Affiche du document Physique et mathématiques

Physique et mathématiques

Edouard BRéZIN

1h15min51

  • Mathématiques
  • Physique
La physique et les mathématiques sont étroitement mêlées depuis toujours. Tantôt c'est la première qui conduit à développer les mathématiques impliquées par les lois de la nature, tantôt des structures mathématiques élaborées sans référence au monde extérieur se trouvent être précisément adaptées à la description de phénomènes découverts pourtant postérieurement. C'est là l'efficacité déraisonnable des mathématiques dans les sciences de la nature dont parlait Eugène Wigner. Jamais les interactions entre physique et mathématiques n'ont été plus intenses qu'à notre époque, jamais la description des phénomènes naturels n'a requis des mathématiques aussi savantes qu'aujourd'hui. Pourtant il est important de comprendre la différence de nature entre ces deux disciplines. La physique n'établit pas de théorèmes ; jusqu'à présent elle se contente de modèles dont les capacités à prédire, et la comparaison avec l'expérience établissent la validité, avec une économie dans la description et une précision parfois confondantes. Néanmoins nous savons que tous les modèles dont nous disposons actuellement, toutes les lois, ne sont que des descriptions "effectives" comme l'on dit aujourd'hui, c'est-à-dire adaptées aux échelles de temps, de distance, d'énergie avec lesquelles nous observons, mais dont nous savons de manière interne, avant même que des phénomènes nouveaux les aient invalidées, qu'elles sont inaptes à aller beaucoup plus loin. Y aura t-il une description définitive qui, tel un théorème, s'appliquerait sans limitations? Ce rêve d'une théorie ultime, où la physique rejoindrait les mathématiques, caressé par certains, laisse beaucoup d'autres sceptiques ; quoiqu'il en soit la question ne sera certainement pas tranchée rapidement.
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Affiche du document Pourquoi la matière change-t-elle d'état : la compétition entre ordre et désordre

Pourquoi la matière change-t-elle d'état : la compétition entre ordre et désordre

Edouard BRéZIN

1h08min23

  • Physique
"Les changements d'état de la matière, sous l'effet d'une élévation ou d'un abaissement de température, sont des phénomènes bien familiers. De même, on connaît depuis longtemps des substances dont la structure ou encore les propriétés électriques ou magnétiques, se modifient de manière discontinue avec la température ; citons les études de Pierre Curie sur l'apparition ou la disparition de l'aimantation des oxydes de fer, ou encore celles qui concernent la supraconductivité.Or, si ces phénomènes sont bien quotidiens, ils n'en restent pas moins fort surprenants si l'on examine leur signification à l'échelle microscopique des atomes et molécules. La solidification d'un fluide se traduit, sous l'effet d'un minime abaissement de température, par la mise en un ordonnancement spatial régulier d'un grand nombre d'atomes, sans que rien ne soit venu modifier les forces qui régissent les interactions entre les constituants. Ces changements d'état sont dominés par des questions de symétrie : c'est ainsi que les forces entre atomes ne privilégient aucune direction particulière, et que pourtant, tant la cristallisation que l'apparition d'une aimantation par simple refroidissement, font apparaître des orientations bien déterminées. Le changement d'état est donc une brisure spontanée de symétrie : l'état du système est moins symétrique que les forces entre atomes constituants ne pouvaient le faire prévoir. Cette notion de symétrie brisée domine plusieurs branches de la physique de notre temps : au-delà des études de nouvelles phases de la matière évoquées ci-dessus, elle est présente dans la théorie moderne des interactions entre particules élémentaires, ou encore dans les modèles cosmologiques d'univers "" inflationnistes "" primitifs."
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