A Casablanca, entre le passé et le présent, cinq destinées sont reliées sans le savoir. Différents visages, différentes trajectoires, différentes luttes mais une même quête de liberté. Et le bruit d’une révolte qui monte...
D'abord élégiaque, le récit se corse. La colère passe du froid au chaud, avec un final saisissant. Le Figaro
C’est peu dire que Nabil Ayouch sait filmer. Ses images restent longtemps dans les esprits. Aucune n’est banale, que ce soit ces gros plans sur des visages dessinés par la lumière, les impressionnantes scènes de manifestations et de violence -quel final !-, ou quand le cinéaste suspend le récit le temps d’un « As Time Goes By » au piano. Le Parisien
Ayouch nous entraîne dans sa course folle et poétique à la liberté, à travers cette ville qu'il déteste autant qu'il aime. Le Point
Ayouch plante littéralement son film dans un Maroc post-printemps arabe et désormais ultra inflammable. Mais portraitiser le réel d’une société marocaine schizophrène et écartelée, rétive aux différences et soumise à de violentes disparités, n’empêche pas la patte vive et romanesque du cinéaste. Première
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