Séoul, 1975. Jinhee a 9 ans.
Son père la place dans un orphelinat tenu par des sœurs catholiques. Commencent alors l'épreuve de la séparation et la longue attente d'une nouvelle famille. Au fil des saisons, les départs des enfants adoptés laissent entrevoir une part du rêve, mais brisent aussi les amitiés à peine nées.
Jinhee résiste, car elle sait que la promesse d'Une vie toute neuve la séparera à jamais de ceux qu'elle aime.
2010
Berlinale : En Sélection officielle
2009
Festival de Cannes : En Sélection officielle
Sensible et inspiré, (…) Une vie toute neuve révèle une authentique personnalité de cinéaste. Positif
Tourments violents filmés sans psychologisme pesant. L'émotion de ce devoir de mémoire est renforcée par un sens du cadre distant et complice. L'Obs
Ounie Lecomte ne montre pas l'adulte, elle filme un état d'âme, un sentiment d'exaltation enfantine. Le Monde
La facture du film est classique mais au meilleur sens du terme : précis et explicite, plus grave que véritablement triste. Libération
Ounie Lecomte (…) dessine avec délicatesse le quotidien d'une communauté d'enfants perdus (…) évitant la noirceur comme la mièvrerie. Télérama
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