La guerre à l’Est de l’Ukraine a fait parler de la région du Donbass, autrefois très connue, surtout grâce au film « La Symphonie du Donbass » de Dziga Vertov. Ce film a mis la première pierre dans la construction d’un mythe de mineurs héroïques.
C’est une histoire d’une déchéance et d’un siècle de propagande forcenée. La symphonie du Donbass se transforme en cacophonie.
La vie passée dans l'illusion et le mensonge, manipulée par une idéologie ressemble au proverbe : « Qui sème le vent récolte la tempête ».
On est à la fois face à une comédie noire, un drame ou un film d'épouvante avec ce patchwork d'images semblant sorties d'un autre monde. Une cacophonie à la fois éprouvante et hypnotisante. L'Express
À l’approche des élections ukrainiennes, un film d’archives passionnant d’Igor Minaiev, La Cacophonie du Donbass, offre une perspective cavalière sur l’histoire de cette région minière. Le Figaro
Un film brûlant, décryptant comment le Donbass, présenté dès 1920 - au mépris de toute vérité - comme un paradis par le pouvoir soviétique, a conduit à l’enfer et à la guerre de 2014. De la propagande aux fake news, un constat salutaire sur la propagation de la haine. Les Fiches du Cinéma
Décidément, ce documentaire fonctionne sur des correspondances qui l'enrichissent et nous avec. Positif
Le mélange de tragique et de grotesque rappelle Une femme douce (son chef-d’œuvre, sorti l’an dernier), mais la farce est plus affirmée. Télérama
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