Quarante ans après son lancement par l’UNESCO, le programme MAB a largement diffusé sur l’ensemble du Globe et les réserves de biosphère se comptent par centaines. Robert Barbault se félicite de ce résultat, mais le relativise : au plan du développement durable, les résultats varient d’un territoire à l’autre, avec la dynamique de la société civile. Une partie de l’explication réside certainement dans la communication limitée sur les grands concepts, méthodes, outils et expériences menées dans ces territoires.