Damas, mars 2011. La révolution commence à gronder. Nahla, 25 ans, est tiraillée entre son désir de liberté et l’espoir de quitter le pays grâce au mariage arrangé avec Samir, un Syrien expatrié aux États-Unis.
Mais Samir lui préfère sa jeune sœur Myriam, plus docile. Nahla se rapproche alors de sa nouvelle voisine, Madame Jiji, qui vient d’arriver dans l’immeuble pour ouvrir une maison close.
2018
Festival de Cannes (Un Certain Regard) : Nommé pour le Prix spécial du jury
Nommé pour le Prix de la mise en scène
Nommé pour le Prix Fipresci
Nommé pour le Prix de la Caméra d'Or
Nommé pour le Prix du scénario
Si l’on a l’impression de perdre le fil de l’histoire, Gaya Jiji signe des images d’une grande esthétique et le jeu de ses actrices est remarquable. Dans ce film écrit par une femme, porté par des femmes, la sensualité n’est pas l’affaire des hommes, elle est nôtre, elle nous émancipe et nous appartient. L'Humanité
Le résultat témoigne d'un bel équilibre entre ces deux dimensions, inscrivant le parcours intime d'une Syrienne désillusionnée dans les lendemains précaires de son pays. Critikat.com
Un autre cinéma arabe est possible, en voici la preuve aussi instable qu’étincelante. Première
Un premier film personnel porté par des comédiennes convaincantes. Le Journal du Dimanche
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