"Francisco, comporte-toi bien ! Je sais que c'est ton anniversaire, que tu as trente ans maintenant, que c'est le carnaval et que tu t'es déguisé en cow-boy pour ta fête de l'école, que tu es entouré de gosses que tu hais...
Mais ce n'est pas une raison pour tirer la gueule. Francisco, répète aprés moi : "Jusqu'à trente ans, tu as la gueule que Dieu t'a confiée. Après cela, tu as la gueule que tu mérites"".
L'histoire d'un homme qui refuse de grandir : ses interrogations et ses doutes au sein d'un pays qui ne cesse de se moderniser.
Rarement on a vu un premier film tenant sa route avec un tel aplomb (...). Les Cahiers du Cinéma
Cette sorte de "Magicien d'Oz" kitsch suivi d'un happening en forme de clin d'oeil à Rivette et à Chéreau est des ces oeuvres prometteuses, qui se méritent. Le Monde
On aimerait bien voir plus souvent débarquer sur nos écrans des films de la teneur de "La gueule que tu mérites", premier long métrage aussi étonnant que réjouissant signé Miguel Gomes. Les Inrockuptibles
La critique en son pays l'a appelé tantôt "l'une des plus belles étoiles" ou alors "la honte" du cinéma portugais, mais disons, pour raccourcir, que les allergiques au Rivette de Céline et Julie risquent l'oedème très compliqué. Libération
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