Pendant l’été 1975, Pier Paolo Pasolini termine le montage de son dernier film, « Salò ou les 120 journées de Sodome ». Son œuvre suscite de fortes polémiques et provoque des débats par la radicalité des idées qu’il y exprime. Au mois d’août, le négatif original du film est dérobé et une rançon importante est exigée. Prêt à tout pour récupérer son film, Pasolini va se laisser enfermer dans une terrible machination qui le conduira à sa perte.
Une errance hypnotique, entre fiction et réalité, tragédie et complot. Télérama
Sombre, mais touchant, le film ne cherche pas à mettre en valeur sa radicalité. Au contraire, il nous montre un personnage déterminé dans son travail et ses idées, mais conscient de sa fragilité. L'Humanité
Le film de David Grieco est un document de dénonciation méritoire, mais qui, hélas, manque de clarté et de tension narrative. Les Fiches du Cinéma
Par moments, c'est un peu trop scolaire et les reconstitutions appliquées donnent à l'ensemble un aspect figé. Mais il bénéficie d'un atout de taille, en la personne de Massimo Ranieri, qui campe un Pasolini bouleversant et plus vrai que nature. L'Express
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