1977, Éric Gaubert assassine Olivier, l’enfant de Nicole Parmentier. Vingt-cinq ans plus tard, cette mère à la vie brisée donne rendez-vous au meurtrier de son fils qui vient de sortir de prison. Quel est le but de cette rencontre ? Une simple vengeance ou la volonté de comprendre ce qui a poussé cet homme à commettre l’irréparable ?
Les deux comédiens, Clémentine Célarié et Serge Riaboukine, servent avec une rare intelligence de jeu cette abrasive partition, qui alterne l’intensité tempétueuse et la sidération hagarde. Positif
Clémentine Célarié et Serge Riaboukine portent cet étrange huis clos sur le deuil — premier long métrage de fiction d’une documentariste —, où le pathos est sans cesse désamorcé par les artifices théâtraux. Dommage que la cinéaste n’exploite pas davantage son décor désolé à la Samuel Beckett. Télérama
Un huis clos peinant à convaincre, tant dans le fond que dans la forme, et qui aurait plus sa place dans un théâtre que dans une salle de cinéma. Les Fiches du Cinéma
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