Les années 90. Lina, 18 ans, débarque à Paris pour ses études. Elle vient chercher ce qu’elle n’a jamais trouvé au Liban, son pays d’origine : une certaine forme de liberté. L’instinct de survie comme seul bagage, elle vogue d’un Paris à l’autre au rythme de ses rencontres amoureuses. Parce qu’à 18 ans, on rêve d’embrasser le monde et pas qu’un seul garçon...
2017
Lumières de la presse étrangère : nommée pour la révélation féminine de l'année (Manal Issa)
2015
Festival de Cinéma Européen des Arcs : Prix d'interprétation féminine (Manal Issa)
"Peur de rien" s’impose et tient la distance, en dépit de quelques longueurs sur la fin. Une jolie réussite. Le Nouvel Observateur
(Le) regard sur la jeunesse estudiantine parisienne paraît juste et touchant? Les scènes à la fac (...) sont délectables. Bravo. Le Journal du Dimanche
Film touchant et poétique, Peur de rien est un petit bijou d’humanité porté par des acteurs percutants. aVoir-aLire.com
Scotché à de jeunes acteurs gagnant à être connus, Peur de rien s’ouvre et s’élargit à mesure que l’héroïne prend son envol, gagnant en substance, en profondeur, en universalité, en intérêt… La Voix du Nord
(…) on retiendra surtout la précision d’écriture de la cinéaste et la sensuelle sobriété de son filmage, qui épouse dans un style sec chaque mouvement de l’actrice principale, Manal Issa, jeune inconnue et révélation totale de ce farouche portrait de femme. Les Inrockuptibles
Tout le charme de "Peur de rien", meilleur film à ce jour de Danielle Arbid, tient à ce que, sous sa simplicité et son aspect grand public, se nichent un message politiquement basique mais rassurant, un plaidoyer pour l'intégration, pas désagréable en ce moment, et surtout une fine esquisse psychologique du personnage de Lina. Libération
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