Tommaso, simple berger, veille jusqu’au jour de sa mort sur un palais abandonné dans la région de Naples en proie aux pillages et réduit à l’état de décharge par la camorra. Polichinelle émerge alors des profondeurs du Vésuve pour accomplir sa dernière volonté : prendre soin d’un jeune buffle. Ils voyagent ensemble à travers les paysages sublimes de l’Italie. Entre mythe et réalité, une fable sur l’Italie contemporaine, belle et perdue...
2015
Festival du Film de Locarno : Prix du jury des jeunes
Nommé pour le Prix Fipresci
Nommé pour le Prix Boccalino
Nommé pour la Mention spéciale du scénario
Après un début aussi exigeant, l'on pouvait se demander ce que serait le second film du cinéaste. "Bella e Perduta" apporte une réponse éclatante. Positif
Un voyage qui offre à Pietro Marcello l’occasion de plans somptueux de son pays, de la richesse chromatique et sensuelle de cette terre qu’on sait pourrie de l’intérieur. Le Monde
Là où le cinéaste parvenait à une vraie grandeur dans "la Bocca del Lupo" (2009) en filmant les bas-fonds de Gênes, ici, le mélange entre le conte de fées et le documentaire est plus hasardeux. Néanmoins, le film ne ressemble à personne : les élans poétiques, à eux, seuls, sont des instants de bonheur. Le Nouvel Observateur
x Cacher la playlist
Commandes | > | x |
---|---|---|