C’est beau, novateur, émouvant. Le Nouvel Observateur
Le nouveau film d’Hicham Lasri inspire, malgré de grands moments, un sentiment de légère déception. Les Fiches du Cinéma
Impossible sans doute de le juger sévèrement, mais aussi de le considérer comme réussi. Les apprêts de la mise en scène, la singularité des images et des coupes enferment le protagoniste, ses acolytes et ses adversaires dans une représentation trop contrainte pour ne pas paraître froide (...). Positif
Aussi foutraque que pertinent. Première
Dénonciation sociale, caméra frénétique, farce amère : c’est la manière d’Hicham Lasri depuis son premier long-métrage, The End (2011). La veine prend ici une couleur fellinienne hardcore, narrée par la voix intérieure de Tarik, un type lessivé qui se travestit. S’ensuit un parcours surréaliste déconcertant. Le Monde
Quelques fulgurances poétiques pour dénoncer l'oppression de la société marocaine, mais aussi pas mal de poudre aux yeux dans ce puzzle éclaté, narrant les mésaventures d'un travesti, harcelé par un policier. Trop formaliste et décousu, le film décourage vite le spectateur. Télérama